La Fureur du Dragon

L'ami Bruce débarque à Rome pour aider un restaurant asiatique en détresse, victime de vilains profiteurs...

Bien plus orienté comédie, surtout dans sa première partie, ce film tranche pas mal avec les précédents Bruce Lee. On a parfois l'impression d'être confronté à une parodie de lui même... C'est du coup beaucoup moins intéressant dans le fond. Bien moins sombre, c'est une autre ambiance...

Mais le maître envoie toujours autant du bois quand sa bastonne. On retiendra notamment la scène aux nunchakus et bien sûr la le final contre Chuck dans le Colisée.

La Fureur Du Dragon ne brille pas pour son scénario. Mais on appréciera toujours les scènes chorégraphiées, la puissance qui se dégage de Bruce Lee et le combat culte qui rehausse à lui seul toute l'oeuvre.

A voir !

Evidemment, si vous regardez cette version et, que vous l'a comparez avec la "version VHS" renée Chateau !...ce n'est pas le mème "dialogue"..il a été "modifié" pour je ne sait qu'elle raison ?! et, ces "paroles" deviennent moins "intelligentes"... au début,dans la cour "bruce" ne veut pas blesser un des "japonais" qui s'est avancer pour le "défier" et, lui "rétorque" qu'il va le "couper" en deux!..sous-entendant que vu comme il est "petit" et, pas trop épais qu'il ne risquerait rien ..au moment, ou "bruce" va faire sa démonstration le "chef cuistot" arrive...et, "stop tout" histoire de nous faire "languir"?! (bien vu!)...beaucoup d'humours dans ce film car, généralement "bruce" est "très sérieux" mais, aujourd'hui on dirait surtout qu'il est "coincé"!

Si je me souviens bien, cette fois, Bruce Lee passe arme et bagage sous production américaine. Résultat, il partage l'affiche avec un autre combattant (américain?). Il est aussi derrière la caméra, et , bon ... c'est pas du grand niveau. Le film se suit sans déplaisir, même si ce il ne se passe pas grand chose d'intéressant - j'aime bien le début mais après çà traine en longueur avec des scènes répétitives, le cadre de la caméra est souvent bancal. Par contre, toutes les scènes d'entrainements et de petite bagarre font partie du mythe Bruce Lee. Et puis, de toute façon, à chaque fois qu'on regarde ce film c'est pour le dernier quart d'heure : un combat à la vie à la mort, qui se passe dans une arène romaine. Le combat est énorme, il ne vieillira jamais, tout y est concentré, brut de brut : petit pas de danse, cri caractéristique quand le poing est lancé, et cette hargne dans le visage. Le genre de film qu'Hollywood ne pourra jamais remaker.