Sucker Punch

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Mimipasse
Graine de psychopathe - 88 critiques
publié le 07/05/2011 - 18:31
10
 

Une expérience unique !

Après les zombies, les guerriers de l'antiquité, les super-héros, et les chouettes, Zack Snyder revient à l'essentiel, et le plus important : les femmes ! Et chez le réalisateur de 300 (2007) elles sont aussi féroces que des spartiates.... Au lieu de Sucker Punch, je préfère le titre : Show Girls ! Dans ce film d'une originalité remarquable, nous sommes propulsés dans un univers sanglant de jeu-vidéo. Le projet soutenu lors du tournage à été magnifiquement exécuté sur le grand écran. Snyder nous en met plein la vue. Au niveau de l'action, et du dosage fantastique, on peut dire, que ce film en donne beaucoup plus qu'Inception, même si l'autre reste meilleur dans l'ensemble. Sucker Punch fonctionne sur différents plans : la réalité parallèle où l'asile devient un gros bordel et se transforme en grande magie ! Je suis assez satisfaite par ce film qui est d'une fascinante énergie. Je dois vous avertir : ce film est le délire le plus spectaculaire de la carrière de Snyder. Devant ce film surprenant, on voit se déployer les troupes de ses femelles armées jusqu'aux dents ! Un autre titre attire mon attention : Girlfight ? Non ? Je veux dire ça ne vous dit rien ? Peut-être que ça ne ressemble pas à ce film, mais le titre pourrait très bien convenir. Superbe spectacle de fantasy très original, à couper le souffle !
JeanTandevoy
Newbie - 1 critiques
publié le 24/04/2011 - 20:15
10
 

Un voyage à travers les dimensions

Sucker Punch, une épopée plus qu'un film. (spoils!) Au début, l'introduction musicale montre bien l'atmosphère pesant qui conditionne l'univers de Babydoll et qui adoucit le meurtre de sa soeur, tuée par son détestable beau père. Elle est ensuite emmenée dans un asile psychatrique, et c'est à se moment là que ses jours sont comptès. Le High Roller (en gros un lobotomiseur) va la...lobotomisé. L'héroîne et un groupe d'amis tentent de sortir de cet enfer et par l'intermediaire des rêves "éveillés" de la protagoniste, elles doivent retrouver 5 objets dont l'un est un mystère... Un très beau film d'action/fantastique qui nous emportera dans des contrées encore inexplorées du septième art, que dire, quelle pure merveille que nous donne-là Zack Snyder!
Crossface
Newbie - 1 critiques
publié le 23/04/2011 - 22:22
10
 

Une pure merveille

Etant nouveau sur Horreur.net et que je n'ai jamais eu l'occasion de critiquer un film, dès que j'ai vu Sucker Punch l'idée m'est venue. Connaissant les films de Snyder (300, L'armée des morts) je suis sur et certain que celui-ci est le meilleur. Tout d'abord, le scénario est archi originale, il n'est pas inspirée d'aucune oeuvre existante à part de Snyder lui même, la bande son du film est diversifiée et Emily Browning se fait même l'honneur de chanter quelques titres de la BO, les effets spéciaux, monumentales surtout le rêve de Babydoll, plongée en plein milieu d'une guerre mondiale post-apocalyptique, bref quel bon moment passé entre amis!
Portrait de Goodmad Goodmad
Serial Killer - 873 critiques
publié le 19/04/2011 - 13:49
10
 

Snyder et ses droles de dames

Surement pas le meilleur de Zack Snyder, mais son plus abouti. Beaucoup l'ont critiqué comme un jeu vidéo géant avec une histoire sans queue ni tête, grosse erreur! Il y a bien une logique à toute cette histoire assez complexe, c'est sûr on est complement perdu à la fin du film, on a dù à comprendre le film. C'est après quelques heures de reflexion qu'on comprend tout. Je m'explique. Pour ceux qu'ils l'ont vu mais qui n'ont rien comprit SPOILER Baby Doll c'est imaginé une maison close pour une bonne raison, parce que dans l'hopital elle se fait abusé sexuellement par le (ou peut etre les) "gardien", elle a préféré s'imaginé dans une maison close respectable entre parrenthèse pour évacué le coté glauque de ses abus, s'évadé au max tout en restant un minimum fidèle à la réalité. Dans la maison close elle dance pour faire diversion, dans la réalité elle se fait abusé, encore une évasion spirituel. A la fin quand elle se fait lobotomisée, on voit une des filles qui à réussi à s'échappé, on ne sais pas si elle s'imagine qu'elle s'est sacrifié pour quelqu'un pour donnait un sens positif à sa lobotomie ou si elle l'a vraiment fait, ça c'est à vous de voir, moi j'ai adoré cette vision des choses qui au final est monstrueux et glauque FIN SPOILER. Donc pour ceux qui n'ont pas vu le film (et n'ont pas lu le spoiler j'éspère) je vous le dit tout de suite, l'histoire est beaucoup mieux que l'on peut l'espèrer, très réflechie en faite, si vous allez voir le film en croyant allez voir un jeu vidéo géant bête et méchant, allez voir un film direct, vous allez etre déçu. Bravo Snyder pour l'histoire! Niveau visuel c'est du Zack Snyder pur jus, c'est une sacré claque! Les scènes d'actions sont de mieux en mieux, la scène du train avec les robots je suis resté scotché! L'univers jeux vidéo du film est un véritable paradis pour les geeks avec ses gozesses en mini jupe cassant la gueules à tous ses zombies nazis, dragons, robots et companie, un pur fantasme sur péliculle. Le casting peut paraitre etrange à première vue, voir risqué, Emily Browning en Baby Doll (vu dans les Intrus). Vanessa Hudgens (High School Musical!!) à 1er vu on pourait pensé que Zack Snyder est plus tomber amoureux de son phisique que son talent d'actrice (comme on le comprend). Abbie Cornish, jamais entendu jusqu'a maintenant, et dans le role de sa petite soeur Jena Malone (vu dans les excellent Contact, Ma meilleur ennemie et Into the Wild, mais pas très branché fantastique/action à 1er vue). Et la coréenne Jamie Chung en Amber la pilote de la bande (vu dans plusieurs séries à succes et au ciné dans Sorority Row et Dragon Ball evolution, Une des seuls avec Emily Browning à avoir touché au fantastique, à l'action, et l'horreur). En dehors des héroines on retrouve Carla Gugino (Spy Kids, Sin city, Watchman, Snake eyes et j'en passe), Oscar Isaac (Agora) super flippant quand il s'y met, et Scott Glenn (bon là je ne presente pas) qu'on à le plaisir de retrouvé en sort de père spirituel pour Baby Doll. A première vue ça peut faire assez peur, mais Snyder à un putain de talent pour le casting et la musique aussi au passage (un des rares pour moi), tout le monde est parfait et joue super bien leur personnage, même Vanessa Hudgens m'as assez surpris (on est à mille lieux de High School Musical). La musique aussi peut faire peur à 1ère vue, et pourtant ça colle super bien encore une fois! Même moi qui n'aime pas du tout ce genre de musique (c'est sûr que de passé de Sepultura et Cannibal Corpse à ça ca fait bizare) ca m'as envouté. Je retiens la scène d'ouverture avec cette magnifique reprise de Sweet Dreams, magistral! En gros un film sincère, suicidaire au possible et maitrisé à la fois, J'attends avec une grande impassience Man of Steel. Ma 3e claque de l'année 2011 avec Black Swan et The Horseman de Steven Kastrissios.
Mathon
Newbie - 2 critiques
publié le 12/04/2011 - 20:48
10
 

Une claque visuelle !

Malgré toutes les mauvaises critiques, j’ai pris le parti de défendre Sucker Punch qui, d’après moi, mérite vraiment qu’on s’y attarde. Souvent jugé pour ses films aux scénarios assez mince, Zack Snyder peut être comparé à un gosse à qui on donne une caméra et un budget important pour filmer son univers. Ce que tout le monde admettra, c’est que graphiquement parlant le réalisateur a déjà prouvé son talent avec 300 et Watchmen. Dans Sucker Punch, il va encore plus loin puisqu’il signe un scénario dans lequel il peut avoir accès à tous les délires sans la moindre limite narrative ou visuelle.

La réalisation est des plus esthétiques : Sucker Punch est un petit bijou graphique. Le film commence par une introduction sous forme de clip musical, sans le moindre dialogue durant 5 minutes. Chaque détail est travaillé, on évolue dans un univers non daté, plutôt moderne mais avec des costumes anciens, de vieilles bagnoles américaines, des radios des années 60… et le moindre petit briquet ou marteau est choisi avec minutie pour donner une âme particulière à chaque seconde du film. Tout ceci est mélangé à une bande son ultra moderne, ce qui fonctionne à merveille. Les différents univers dans lesquels se déploie l’action sont uniques. Les images passent d’une couleur quasiment monochrome lors des séquences angoissantes dans l’asile à une avalanche de couleurs dans le dancing où évoluent les filles ultra sexy. Enfin les combats délirants empruntent chacun les codes des jeux vidéo dont ils s’inspirent : guerre moderne, héroic fantasy, futuriste ou encore combat. Des plans-séquences impressionnants dans lesquels Snyder utilise l’espace et le temps à sa convenance, abusant des ralentis et des mouvements de caméra à 360°.

Le scénario dans tout ça est, comme dit plus haut, évidemment fait pour laisser une liberté quasi totale au maître du visuel. Et malgré tout ce qu’on peut entendre, Snyder pour son premier essai à la plume réussit un travail honorable. Bien sûr, des oublis se remarquent et certains raccourcis sont trop simplistes. Mais le récit de Sucker Punch se déploie sur 3 niveaux de conscience et il n’est pas évident de rester cohérent dans ces conditions. Et même s’il perdra nombre de spectateurs à cause de la complexité de la narration, il faut admettre qu’il y a un fond derrière l’histoire : ce délire visuel n’est autre qu’une évasion de l’esprit créée par le subconscient de notre héroïne pour échapper à un choc psychologique.

Nous avons donc affaire à un scénario mettant en scène une jeune femme enfermée dans un asile. Elle va se faire lobotomiser d’une manière assez archaïque. Sans aucun moyen de s’échapper, notre héroïne va se créer un monde imaginaire, entre comédie musicale et maison clause, on n’est pas loin de Moulin Rouge. A cela s’ajoutent des clichés allant du patron/mac misogyne à la meneuse de revue méprisante. Enfin, dans le troisième niveau de conscience (on va en perdre quelques-uns) l’héroïne s’évade lorsqu’elle danse, dans des univers de jeux vidéos pour récupérer des objets qui lui permettront de s’enfuir de son asile.

Les fans de jeux vidéos en auront pour leur argent et on se sent obligé de faire un parallèle avec Scott Pilgrim, visant également la génération jeux vidéos (on ne parle pas d’adaptations de jeux vidéo à l’écran façon Resident Evil ou Final Fantasy, mais bien de longs-métrages utilisant les codes du genre pour créer une œuvre originale). Ainsi passant de Call of Duty à Dead Rising sans oublier God of War et Warcraft, tout le monde sera servi, même si malheureusement les passages sont très inégaux. On regrette par exemple la scène du train bien moins réussie que les autres.

Par ailleurs, la bande son du film colle parfaitement avec ses prétentions : des morceaux énergiques et puissants de rock electro qui suivent l’action et permettent d’admirer les images comme si on regardait une publicité pour un éditeur de jeux vidéo qui voudrait nous montrer tout ce qu’il sait faire. On retrouve de nombreux remix de Bjork, Queen ou encore de Marilyn Manson.

A coté de tout ça, le casting n’est malheureusement pas à la hauteur du reste. Mais pouvait-on demander mieux à ces acteurs qui ne sont en fait que des personnages de bornes d’arcade (on n’a jamais demandé à Lara Croft de jouer du Shakespeare). Alors effectivement, mis à part leur joli minois et leurs formes affriolantes, les jeunes filles ne crèvent pas du tout l’écran. Emily Browning qui joue l’héroïne Babydoll (attention les noms sont ridicules) ne nous fera pas pleurer pour un sou, Abbie Cornish sa comparse qui interprète Sweet Pea non plus, mais en même temps, elles n’en ont pas vraiment l’occasion.

Sucker Punch est donc une apologie du visuel et ses détracteurs oublieront certainement qu’un autre film a connu un succès mondial en 2009, ne s’appuyant que sur le graphisme et laissant totalement de coté le scénario (qui était plus mince qu’un rouleau de papier toilettes) … il s’agit bien sûr d’Avatar de James Cameron. Sucker Punch vieillira probablement très mal à cause de son trop plein d’effets spéciaux, mais en 2011 il est une preuve de ce qu’on peut obtenir de plus beau avec 85 millions de dollars et des idées plein la tête.

Sucker Punch se regarde plus qu’il ne se comprend. C’est une véritable claque visuelle sous fond de scénario totalement déjanté pour geek en mal de jolies filles et de combats épiques. Une belle preuve que le cinéma n’est pas qu’un scénario ou un jeu d’acteur mais parfois aussi une belle image.

Seifer
America's Most Wanted - 642 critiques
publié le 08/04/2011 - 13:13
10
 

Magnifique

Ce film est enorme grandiose il en mais plein la tete et je parle pas de la fin dire que la presse a trouver sa moyen moi j'ai trouver ca parfait en tout point zack snyder continue dans son chemin avec que des bon film ce film et sublime a voir urgence
Sylder71570
Newbie - 3 critiques
publié le 06/04/2011 - 20:21
10
 

Mon avis

Quelle superbe film, j'ai été choqué tellement ce film m'avait plu, car il fait dans le fantastique mais aussi style jeu video qui est trés bien quand on le regarde en 3D. Les effets visuels sont très presents. Pour moi ce film mérite 9.5, car dans les mondes parallèles, babydoll et son équipe sont trop fortes, ce qui ne nous donne pas l'illusion des combats typiques de ce genre de film, mais je lui mets 10 car il n'y a pas 9.5. Un excellent film.
Portrait de Alol7 Alol7
America's Most Wanted - 505 critiques
publié le 06/04/2011 - 17:23
10
 

Fascinant !

Sucker Punch est un film fascinant ayant de grandes qualités visuelles comme scénaristiques où tous les éléments font assez manga et jeux vidéos.

Je vais tout d’abord commencer par l’intro du film qui est une merveille (la meilleure sans doute que j’ai pu voir) avec une bande son alléchante dans ce contexte (Sweet Dreams) qui rend parfaitement bien. Le début du film forme un vrai coup de théâtre amenant déjà de l’émotion, qui plonge le spectateur dans le vif du sujet.

Dans l’ensemble, l’histoire reste assez simpliste mais elle est exploitée de façon originale. L’idée de l’imagination qui est développé par la danse (et réciproquement) est assez charmante. Les scènes d’imaginations reprennent et respectent bien les événements de la réalité (par exemple : Lors de la première mission dans l’imagination, les personnages principaux doivent chercher une carte qui coïncide avec l’objectif dans la réalité). Dans le monde imaginaire, j’ai beaucoup apprécié la variété des éléments des différentes missions (le décor, l’objectif et les ennemis changent). Le film présente des moments touchants voire quelques fois choquants avec l’intro par exemple mais il y a un autre passage marquant totalement brutal. La fin se veut philosophique mais bon je ne me suis pas trop attacher à cette perception car je trouvais qu’elle manquait un peu de profondeur mais bon cela reste toujours un plus au film donc je ne m’arrête pas à là (à revoir je comprendrais un peu plus l’idée développée).

Sucker Punch reste avant tout une magnifique réalisation visuelle. Dans l’ensemble du film, le décor est plutôt sombre. L’asile est présenté de façon glauque ayant une représentation de prison (les barreaux, le côté crasseux) qui montre cette coupure de liberté (qui renvoie directement à l’objectif principal des personnages principaux). Le monde imaginaire est sublime avec un décor apparent comme apocalyptique.

Les scènes d’actions sont très réussies dont quelques unes qui sont au ralenti aux moments les plus judicieux et les plus attrayants. Il y a juste une scène par contre, où la caméra bouge un peu trop dans tous les sens (celle dans le train) sinon tout le reste, les mouvements de caméras sont bons. En plus de ses effets spéciaux, le film veut en mettre plein la vue aussi sur ses personnages féminins. Ces jeunes femmes sont vraiment séduisantes, interprétées par des actrices qui assurent bien leur rôle respectif.

Le film fait pas mal de clins d’œil en commençant par l’intro qui reprend l’ambiance du film des « 2 Sœurs » qui a été repris par les Intrus avec Emily Browing mais n’ayant pas vu ce dernier je ne peux pas trop affirmer sur celui-ci (même si je me doute un peu qu’il devrait y avoir un petit clin d’œil) ; reprenant aussi l’univers des Seigneurs des Anneaux : Les deux Tours avec l’une des imaginations. Et bien sûr, quelques scènes d’actions faisant référence à Matrix, qui ont été vu dans pleins d’autres films mais en s’en lasse jamais.

Sucker Punch est donc un film somptueux qui m’a fait frissonné de plaisir. Pour ma part, il est bien parti pour être le film de l’année même si je sais que l’année est loin d’être finie et qu’il y a des films qui font beaucoup de bruits que je n’ai pas encore vu.

Leduffpascal@cp
Copycat Killer - 30 critiques
publié le 06/04/2011 - 13:46
2
 

à éviter !

Apparemment SUCKER PUNCH serait le premier film d'auteur de Zack Snyder. Le terme " film " est un peu fallacieux car cet objet est plus un jeu vidéo qu'un film. Et parler de film d'auteur encore plus. Il s'agit plus simplement du premier scénario original qu'il écrit. Et ce n'est pas fameux. Dès le démarrage, un montage ultra clippeux d'un drame familial interminable laisse craindre le pire qui sera constamment vérifié. La construction en vignettes qui s'imbriquent les unes dans les autres se veut probablement très original mais jamais on n'atteint le niveau du film INCEPTION de Christopher Nolan. Malgré sa froideur extrême, le film de Nolan est tout de même plus rigoureux et jamais déplaisant. Rien ne fonctionne ici, ni les aller-retour entre réalité imaginée et réalité encore plus imaginée. Zack Snyder se veut complexe mais il fait tout simplement n'importe quoi. Comme toujours chez lui, il abuse de ralentis et d'effets gratuits qui lassent très vite. Même le casting est difficilement récupérable ici. Les héroïnes censées représenter une certaine idée de la liberté sont d'un vide sidéral. Jamais Jena Malone n'avait été aussi mal servie ( Rocket ), elle qui avait su être si émouvante dans des films aussi variés que " Donnie Darko ", " Les Ruines " ou " Into the Wild ". Abbie Cornish, vue dans " Bright Star " dans un tout autre registre se sort plutôt bien d'un personnage aussi stéréotypé que les autres mais elle n'est vraiment pas gâtée par ce qu'on lui " offre " à jouer. L'actrice principale Emily Browning n'est ni expressive ni particulièrement charismatique et les pauvres Vanessa Hudgens ou Jamie Chung se contentent de faire de la figuration. Scott Glenn se prend pour la réincarnation de David Carradine, Gerard Plunkett en fait des tonnes en beau-père abusif, Oscar Isaac déjà absent du film AGORA dont il était une des têtes d'affiche est un bien ennuyeux méchant qui n'aura retenu que le pire de l'oeuvre de Rod Steiger... N'en jetez plus, la coupe est pleine. Quant à la morale finale, elle laisse pantois plus qu'elle ne choque. De la philosophie de pacotille bien fade.
Portrait de Jason71 Jason71
Graine de psychopathe - 110 critiques
publié le 03/04/2011 - 20:46
10
 

Mon avis

Quel magnifique film! J'ai été submergé par la bande son epoustouflante, les effets visuels complètement emerveillant et bien sur le casting, bien qu'il soit presque entièrement féminin, la prestation magnifique d'Emilie Browning, le suspense qui est présent dans tous les recoins du film et l'histoire des mondes parrallèles qui dégage quelque chose de magique j'ai été un peu déçu par la faiblesse du bestiaire de ces mondes parrallèles mais quel film. Allez-y tous!

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