The Reef

Bon film de requins, des similitudes avec "open water" & "dérive mortelle" mais 10 fois mieux je trouve.
Après faut aimer ce genre de film sans actions mais avec une ambiance stressante en revanche, surtout la deuxième partie du film.

The Reef un excellent téléfilm australien réalisé par le réalisateur de Black Water il se classe dans le top 4 a la 4 ème place derrière Shark 3D Peur Bleue et Les Dents de la Mer mais sinon les apparitions du requin font sursauter et malgré le nombre assez faible de morts on en voit 3 morts a l'écran et la mort de warren qui a décidé de "rester au sec" plutôt que de nager et avec le message à la fin "malgré de nombreuses recherche on jamais retrouvé la trace de warren et du bateau " bien sûr ne vous attendez pas a du gore du saignant juste de l'eau teintée de rouge mais bon on n'y fait attention en bref un téléfilm comme on en voit rarement car The Reef est le meilleur téléfilm de requin .

Au début, lorsque qu'on me l'a ramené, je me suis dit dit: "allez! encore un film de requins." Mais j'ai été "surpris" par la "simplicité" du scénario, du réalisme ,du "jeu" des acteurs qui ne "surjouent" pas! Un "requin", un "vrai de vrai" que l'on devine ou que l'on voit pas... mais si vous voulez du "sang" et des "boyaux" mieux vaut passer votre chemin! Du cinéma efficacement "authentique", c'est ce qui manque, alors, quand ça arrive...

Le meilleur film de requin depuis Jaws. Voilà, je pense que ça résume bien mon sentiment sur cette nouvelle très bonne surprise australienne. Film d'autant plus intéressant que son sujet est traité très différemment du classique de Spielberg. Ici on est à l'eau avec les protagonistes. Après 30' on fait réellement partie du groupe et la tension n'en fini pas de monter. C'est véritablement ça la force de ce film. Bien loin d'un Open water qui avait tenté le même pari il y a quelques années mais là on ne voyait rien (il ne se passait d'ailleurs pas grand chose). The reef nous montre un véritable grand blanc (et celui-ci est très grand), alternant belles images type documentaire suffisamment rares pour maintenir toute l'aura et le mystère du magnifique prédateur et images floues et courte distance telles que perçues par les naufragés. Le comportement du squale est très réaliste (plus que Jaws), celui-ci se contentant souvent de roder et observer,... Les attaques sont également réalistes et éprouvantes. Bref, ce n'est évidemment pas par son scénario que se démarque ce film aquatique mais par sa mise en situation suffocante. Excellent.

The reef est ce que j'ai vu de mieux en requin tueur depuis les dents de la mer. De quoi vous fâcher avec la grande bleue!

5 vacanciers prennent le large et se retrouvent perdu au milieu de l' océan avec comme matériel de survie, un masque de plongée et une planche est polystyrène! Deux couples partent a la nage pour tenter de rejoindre la cote, tandis que le dernier reste sur l'épave du bateau.

Malgré une première moitié de film ou il ne ce passe pas grand chose. La tension monte dés la première morsure. Pour nous donner une deuxième partie assez angoissante. Le requin est plus que crédible, les attaques plus dans le subjectif plutôt que dans les effets spéciaux. Les acteurs sont pas trop mauvais et le scénario tient la route, à défaut d'être innovant!

J'aurais préféré une petite musique bien stressante plutôt que seulement des bruitages, mais bon il faut savoir vivre avec son temps.

7/10

The Reef est un concentré de ce qui se fait de meilleur point de vue requins ces derniers temps. Andrew Traucki parvient à renouveler un genre jusqu'à maintenant flirter bon le navet ou carrément le nanar et qui plus est en s'appuyant sur une histoire vraie. Un suspense qui tient jusqu'au bout sans jamais faillir réservant quelques frissons et surtout prenant soin d'installer une angoisse, un stress permanent, ce que peu de films de ce genre arrive à faire.

On peut inévitablement faire le rapprochement avec un certain Open Water qui lui aussi jouait la carte du fait réel, mais la différence s'arrête là, car The Reef possède tous les ingrédients d'un grand film et surtout un réalisateur talentueux sachant mettre en scène ses protagonistes et ses requins pour ne faire qu'un car l'on sent d'abord la mise en situation réelle des acteurs avec ces requins ce qui rend bien entendu le métrage encore plus réaliste.

Les premières apparitions d'aileron laissent bouche bée, le film grimpe en intensité, la peur atteint son paroxysme. The Reef est sans conteste la nouvelle référence à placer au coté des dents de la mer, l'histoire vraie est bien retranscrite, les acteurs impliqués, une réalisation efficace, une ambiance enfin retrouvée, bref une perle du genre.

Et bien il peut prétendre à l'être. Enfin voila un film de requin dont toutes ses apparitions seront des images réelles se mariant enfin parfaitement avec le film (Spielberg l'a aussi fait pour Jaws) car depuis le temps que Nu images et autre joyeux fanfarons se sont cassés les dents à se prêter à cet exercice de style, cela fait du bien de voir qu'il fallait simplement, pour y arriver, avoir du talent et une certaine implication pour son film (le mini making off inclus dans le film est certes promotionnel mas interessant tout de même sur le sujet).

Même si le film est assez long avant de voir le premier aileron, nous aurons au moins la chance d'être en compagnie de personnages loin d'être énervant mais surtout très concerné par leurs rôle, jusqu'à ce que le cousin de Bruce (le nom du requin de Jaws) vienne leurs piquer la vedette. Et là, mes aïeux, le tensiomètre va monter en flèche et ne redescendra qu'après un final tout simplement stressant et mémorable.

"The Reef" est un énième film de requins mais il a pour lui le plus important : il est très bien fait. Le pitch rappelle le très bon "Open Water" et à l'instar de ce métrage, "The Reef" a une réalisation très réussie et très typée documentaire donnant un cachet réaliste. Cela réhausse le suspens et l'intérêt de l'oeuvre. Les attaques du requin sont réellement surprenantes et brutales et c'est bien là la grosse réussite du film. Au niveau des points positifs, on ajoutera également des personnages certes simples mais extrêmement crédibles et attachants. Bref une bonne surprise venant d'Australie !

Effectivement, mon avis converge vers tout ce qui a été écrit. The Reef sera désormais une référence de haut niveau. La réalisation, les comédiens, le suspens, le métrage tient de bout en bout. L'efficacité des plans constitue un atout majeur. Les cadrages, vues plongeantes et hors de l'eau, prises de vues circulaires puis immobiles. Une prouesse rare. le jeux des acteurs et actrices remarquable. Ensemble, ou pas, sous l'emprise d'une angoisse de situation qui évolue, chacun assure une crédibilité très réaliste. Le rythme avec ces variations et véritable oscillations : perdition,doute, angoisse, terreur et cette ligne conductrice de la survie. Et à juste titre, la présence de requins. Nul besoin d'effets spéciaux avec surenchères. La caméra capte l'essentiel dans un beau tourbillon: une maîtrise des scènes qui repose sur cette distorsion imprévisible entre la proximité des proies potentielles, et la menace qui rode (remous; ailerons; approches; attaques). Une réussite.

Un voilier fait naufrage au large de l’Australie. Les survivants s’organisent, ils prennent la décision de regagner la terre ferme, à environ 15 kilomètres, à la nage. Tout semble se passer pour le mieux jusqu’à ce qu’un grand requin blanc les traque. Les films de requins sont légion, mais en trouver un qui sorte du lot est une chose plus délicate. Alors que l’on se noie sous un raz-de-marée de navets plagieurs, The reef fait partie des exceptions qui nous rappellent pourquoi nous chérissons tant le survival animalier. Avec à la barre Andrew Traucki, coréalisateur de l’excellent Black water, on ne peut qu’être rassuré par les intentions engagées.

Black water ne se cachait pas de son influence sur Open water. Tous deux des films âpres à l’ambiance travaillée et immersive. En cela, The reef marque des similarités évidentes avec ses prédécesseurs. Une réalisation intimiste qui privilégie l’angoisse perpétuelle de la survie, quitte parfois à se perdre dans des moments de flottements (cela accentue davantage le malaise qui émane de la situation), à une prétentieuse et vaine montée d’adrénaline subite (comme dans les téléfilms bas de gamme). Dans le cas présent, la menace est latente, invisible. Les fonds marins sont propices à ce type de procédé et le cinéaste utilise à fond la carte de l’attente, véritable torture psychologique.

Fort heureusement pour nous, la tension est au rendez-vous grâce à une caractérisation des protagonistes qui ne peut laisser indifférente. Au lieu de nous ressasser les poncifs du genre (la midinette éberluée, le beau gosse couard et sournois…), on s’accorde à ce que les personnages demeurent le plus juste possible. De fait, on n'attend pas avec impatience qu’ils se font croquer par le requin. Il en découle plutôt une certaine fébrilité puisque l’on finit par s’y attacher. C’est à mon humble avis le point essentiel sur lequel on base notre ressenti et notre perception de cette situation désespérée. Il s’agit également de l’élément sur lequel il aurait été le plus facile à se perdre. Force est de constater que le cinéaste s’en sort avec brio.

Bref, The reef s’avère le film de requins incontournables en cette année. Voilà qui ravive le moral après de sombres idioties comme l’immonde Malibu Shark attack ou l’innommable Shark in Venice. L’histoire est axée sur le réalisme de la situation. Un choix accentué par la participation d’un véritable requin au lieu d’images de synthèse bon marché qui l’aurait périclité par le fond. Jouant sur l’immensité de l’océan et par la même sur le sentiment de solitude et d’isolement par des plans larges ou rapprochés, la mise en scène entretient une tension permanente qui ne vous lâchera pas une seconde. The reef est le digne successeur de Black water. Si vous aimez Open water et ce dernier, voilà le film à ne manquer sous aucun prétexte.