Les Griffes de la Nuit

9.3/10
Les Griffes de la Nuit

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Portrait de Hades Hades
Graine de psychopathe - 228 critiques
publié le 14/03/2021 - 09:56

Ce film initie un nouveau

Ce film initie un nouveau style de meurtre au travers des rêves et rend l'intrigue d'autant plus prenante que le tueur agit telle une ombre omniprésente sur les protagonistes et la fin nous renvoie à une incertitude sur l'avenir de Nancy.
A noter que ce Freddy est beaucoup plus sombre et moins loufoque que dans ses futurs apparitions.
Seul reproche c'est quand l'heroine piège son bourreau dans la réalité et lui fait vivre un vrai calvaire jusqu'à la quasi mort de celui-ci qui emporte la mère de celle-ci avec lui et la on ne sait plus si on est dans le rêve ou le réalité, on s'y perd un peu. Surtout si on suit la saga et que dans 《La fin de Freddy》 c'est justement par la même méthode de Nancy que les protagonistes tuent une fois pour toute Freddy en l'amenant dans la réalité, du coup on ne sait pas ce qui a rater dans le premier pour qu'il revienne tout de suite après.
Ça reste un excellent film avec des jeunes acteurs investis dans leurs rôles surtout Heather et la futur grande star Johnny Deep.

Portrait de JasonChris5 JasonChris5
Graine de psychopathe - 130 critiques
publié le 23/06/2015 - 13:58
10
 

Sursaut de frayeur

Ce premier opus de la celebre saga "Freddy" est remarquable, à la hauteur du style "slasher"

Heather Langenkamp et Robert Englund sont excellents, ne surjouent pas et donne a ce film le succes qu'il connait encore et toujours.

La peur est revele par de nombreux sursauts notament à chaque meurtres ou surgit Fraddy sans qu'on le voit arrivé (on le devine biensure à la seconde pres) c'est la particularite de ce tueur en serie qui intervient de la sorte sur touts ses meurtres.

Une reelle reussite, les meurtres sont bien prononcés sans traitement de faveur, à l'etat pur et sont longs c'est juste parfait.

Portrait de Fab-4 Fab-4
I am Legend - 1037 critiques
publié le 08/02/2014 - 19:04
10
 

L'un des trois grand

L'un des trois grands méchants des 80's : Freddy, Jason et Michael. L'une des trois grandes sagas horrifiques old school qui fait toujours autant plaisir à visionner. Dans un style tout à fait symbolique de cette période avec pafois quelques longueurs en deuxième partie et une fin discutable, ce film n'en reste pas moins une oeuvre culte pour beaucoup d'entre nous. L'idée de départ est déjà énorme (ne dormez pas où...), le personnage de Robert Englund et son histoire sont quant à lui excellant de "beauté", de charisme et d'originalité, et l'ensemble est bien réalisé avec des scènes marquantes. Le début d'une grande série...A voir ou à revoir !
Portrait de JoeyCrusel JoeyCrusel
Copycat Killer - 19 critiques
publié le 01/07/2013 - 15:43
10
 

Superbe oeuvre de Wes Craven

Les Griffes De La Nuit sans doute un des films d'horreur le mieux réaliser des 80's. Robert Englund est un acteur né pour incarner Freddy. Le film nous met déja dns l'ambiance avec le rêve de Tina ou elle est poursuivit dans une chaufferie et la surgit Freddy sans prévenir ou plutot si, il nous prévient de sa venue grâce a son rire angoissant sa voie rauque qui lui confère un aspect maléfique, et évidement le célèbre crissement de griffes sur les tuyau qu'il utilise un bon nombre de fois. Après le personnage de Nancy est plutôt interessant celui d'une ado tourmenté par le personnage de Freddy qui va tenter de découvrir avec ses amis (au prix de leur vie x)) pourquoi et qui est cet individu. Après maintes et maintes indice cela remonte vers les parents des ados de Springwood. Les deux visions que l'on pourrait donc avoir de ce film est que c'est un film d'horreur, mais aussi un film "policier" ou les victimes tentent désespérément de trouver l'identité de celui qui s'en prend a eux. Les lieux sont aussi soigneusement choisi la rue déserte ou Tina est tué est de bon choix cela montre davantage quelle est dans son rêve et au vue de l'obscurité qui règne dans cette rue on peut ainsi deviner que rien de bon ne peut lui arriver. La ou cette règle ne s'applique pas c'est lorsque Nancy est bloqué dans la chaufferie et ou on croit qu'elle va mourir qu'elle se réveille et apporte de son rêve le chapeau de Freddy. Pour la suite la mort de Glen est plutôt rapide ,ce qui est bien dommage mais qui reste de bonne réalisation. La fin est plutôt bizarre Nancy part avec ses amis au lycée et sa mère se fait attraper par la fenêtre alors qu'elle est tuée juste avant en brûlant sur son lit et que Freddy est normalement mort. Mais encore une fois le fait qu'il soit le maître des rêves peut jouer en sa faveur et ainsi pouvoir provoqué une suite.
Orion666
Graine de psychopathe - 188 critiques
publié le 18/06/2013 - 16:37
10
 

Un, deux, Freddy te coupera en deux...

Cette fichue chanson m'est restée en tête un bout de temps après le visionnage de ce monument du film d'horreur. On peu dire que c'est une réussite.

Bon, le film a un peu vieilli mais franchement ça passe comme une lettre à la poste. La musique colle parfaitement au film, l'ambiance est soft tout en tombant sans prévenir dans un milieu plus sombre et froid par moments. Les acteurs sont très bons (Depp jeune... incroyable ce qu'il a peu changé). Robert Englund a donné naissance à un bon gros croque-mitaine qui sait manipuler la joute verbale sans langue de bois. L'idée du monstre attaquant dans les rêves (dont la transition rêve/réalité est juste parfaite, on n'y voit que du feu) est une bonne trouvaille permettant ainsi de mettre à profit n'importe quelle idée si l'on le souhaite, c'est un rêve donc tout est permis.

Les seuls points noirs que je peux donner sont: les parents ENCORE complètement débiles et bouchés (c'est récurrent chez moi, ça m'agace au plus haut point) et une gaffe de montage (oui je chipote mais je suis maniaque pour certaines choses) où Freddy, avant de tuer Tina, porte son gant à la main gauche et non la droite.

L'épisode qui a vu naître Freddy mérite largement son statut de film culte, tout comme son personnage.

Portrait de Warhammer Warhammer
I am Legend - 1058 critiques
publié le 30/05/2013 - 13:31
8
 

Vous n'allez pas aimer...

Je vais en faire sursauter quelques-uns de leur fauteuil mais je ne trouve pas ce film génial, je ne le considère même pas comme un grand classique de l'horreur. Pourtant, l'histoire de base est géniale mais le reproche que je ferais en premier lieu, c'est son manque de rythme. C'est bien simple, à chaque fois que je le regarde, j'ai de gros coups de barres, aussi je trouve les acteurs moyens, à part John Saxon et Robert Englund, les autres font une performance neutre, y compris Johnny Depp qui n'en était qu'à ses débuts je le rappelle. Mais attendez avant de m'envoyer des messages d'insultes, le personnage de Freddy est le Boogeyman par excellence, à la fois drôle et terrifiant, dans le genre c'est une réussite. Malgré de bonnes idées et d'excellentes séquences horrifiques, je n'ai jamais trouvé ce film effrayant, même quand j'étais jeune. De vous à moi, j'ai préféré le 3 ème opus, qui reste pour moi le meilleur de la série, mais ce n'est que mon avis et visiblement je suis l'un des seuls dans ce cas.
Portrait de VonRolling VonRolling
America's Most Wanted - 368 critiques
publié le 17/11/2012 - 12:50
10
 

50ème : La griffe de Craven au sommet.

Pour ma 50ème critique, je voulais parler d’un excellent film d’horreur. Et comme il fut le premier à m’avoir autant marqué, je me devais de rendre hommage à celui-ci.

1984 : année du grand film de Wes Craven. Peut-être même de son meilleur. Le publique a déjà vu Friday The 13th et Halloween, mais A Nightmare On Elm Street va changer la donne. Car ce slasher movie va prendre une dimension fantastique inédite qui marquera l’histoire du cinéma d’horreur.

Je ne raconterai pas une nouvelle fois l’histoire que la plupart connaissent déjà. Ce film est avant tout un projet personnel de Wes Craven. Il est issu de ses lectures, de ses souvenirs, et de ses cauchemars. Craven combine astucieusement le monde réel (avec ses codes liés aux slashers précédents) au monde des rêves (idée nouvelle dans ce genre). Et le résultat fonctionne à merveille : on a peur !

Même après l’avoir vu une bonne trentaine de fois, j’arrive encore à frissonner devant ce spectacle époustouflant. J’adore le concept de l’icône maléfique qui s’introduit dans les songes. J’adore le personnage de Freddy : sorte d’épouvantail rouge et vert aux mimiques si caractéristiques. Et j’adore cette ambiance 80’s où les étudiants se réfugient chez eux dans leurs cocons d’adolescents, alors qu’ils jouent les adultes à l’extérieur. Là où le film se montre le plus jouissif, c’est lorsque l’héroïne perd les pédales entre rêve et réalité tout en entraînant le spectateur à la frontière de sa propre (possible) folie.

A Nightmare On Elm Street est pour moi le film d’horreur parfait : bien équilibré, bien rythmé, avec une histoire vraiment envoutante. Il y a pourtant très peu de meurtres dans ce premier épisode, mais cela prouve bien que c’est suffisant lorsque le scénario est bien rôdé.

Les effets spéciaux n’ont pas vieilli. La magie reste intacte depuis 84. Le film regorge d’originalité et de trouvailles visuelles. Et tout spécialement dans le premier meurtre, ou dans celui de Johnny… Toujours impressionnants.

Le casting est remarquable : digne de celui très réussi du Black Christmas de Bob Clark 10 ans auparavant. Robert Englund livre ici l’interprétation la plus impressionnante de Freddy Krueger. Son costume se rapproche d’un cadavre en décomposition. C’est vraiment repoussant. Englund joue beaucoup sur la gestuelle : tantôt lente et sadique, tantôt violente et électrique. Mais ce qui fait vraiment peur chez Freddy, ce sont ses yeux exorbités, son sourire malsain (aux dents pourries), sa voix, et son rire démoniaque. Je recommande d’ailleurs le film en VO pour jouir pleinement de tous ces effets. Et il faut en profiter, car tous ces atouts horrifiques vont évoluer dès le deuxième épisode.

Heather Langenkamp joue remarquablement bien, et ses compagnons (dont Johnny Depp) réussissent à donner de l’épaisseur à leurs personnages. On est bien loin des équipes de screameuses écervelées habituelles, et c’est tant mieux. Tina nous fait partager sa terreur, Nancy sa fragilité, son innocence, et son courage.

La musique de Charles Bernstein est indéniablement un gros point fort de ce premier Freddy. Les thèmes son diversifiés. On passe de la chansonnette pour enfants aux musiques speed ou stressantes lorsque le monstre se manifeste. Sans oublier la fabuleuse mélodie du thème principal au piano. Elle sera d’ailleurs ré-exploitée tout au long de la saga.

En conclusion, A Nightmare On Elm Street est pour moi un film d’horreur mythique. Un sommet. Et chaque nouvelle vision me conforte dans l’idée que dans son genre, c’est mon préféré.

Portrait de Dark-girl Dark-girl
Newbie - 1 critiques
publié le 23/10/2012 - 11:37
10
 

Très bon film

C'est vraiment LE film d'horreur qui ne ressemble a aucun autre ! J'adore le scénario ! Wes craven ne manquait pas d'idées.
Portrait de SupRGmie SupRGmie
Graine de psychopathe - 127 critiques
publié le 14/10/2012 - 19:16
10
 

Mon avis

J'ai vraiment bien aimé ce film. Même s'il a vieilli, les effets spéciaux font encore de l'effet. Le jeu de Robert Englund rend vraiment Freddy effrayant. Une tension sexuelle malsaine apparaît avec lui, ce qui est cohérent avec son passé de tueur d'enfant sadique. Le bémol avec la fin qui est un peu incompréhensible, on peut voir ce qu'on veut en somme... Cauchemar de Nancy ou de Freddy?
Portrait de AqME AqME
America's Most Wanted - 604 critiques
publié le 02/05/2012 - 23:55
8
 

De la peau brûlée

Que faut-il pour qu’un célèbre psychopathe devienne une véritable icône du genre horrifique ? Quand on y réfléchit, il faut une dégaine qui fait peur avec un masque ou une peau rappelant des choses pas très gaies (une poupée abîmée, un masque de fantôme rappelant le cri de Munch, un masque évoquant un patchwork de différentes peaux rapiécées, etc), et surtout, il faut aussi un certain charisme, une certaine prestance, et cela peut se faire de deux manières différentes : soit le tueur est silencieux, implacable et increvable, soit il sort des vannes douteuses et possède un certain talent pour être le plus sadique possible. Wes Craven, avec les griffes de la nuit, arrive à sortir un personnage charismatique au possible et qui fera par la suite les beaux jours du cinéma d’horreur. Freddy Krueger fait partie de ces personnages, au pouvoir horrifique important et au charisme révulsant mais diablement magnétique. Alors comment, en un film, ce méchant est-il devenu une icône du film d’horreur ? Le film en lui-même est-il un bon film de flippe ? Petite analyse du premier film mettant en avant le tueur au visage cramé.

Commençons par le commencement pour bien cibler les différents points forts de ce film. Je commencerais donc par le scénario, qui pour l’époque reste totalement innovant. Wes Craven propose de visiter nos rêves et plus précisément nos cauchemars en le hantant par un tueur brûlé possédant un gant griffu. Une jeune fille du quartier d’Elm Street fait des cauchemars et visiblement, elle n’est pas la seule à faire ce drôle de rêve. Le problème, c’est qu’elle va se faire zigouiller durant son sommeil et la légende d’un tueur venant des rêves se fait entendre. Bien entendu, notre héroïne va tout faire pour ne pas dormir et pour buter notre vilain croque-mitaine. Alors évidemment, vu comme ça, le film reste un slasher stéréotypé, avec un tueur et des jeunes servant de viande fraîche, mais l’exploration de nos cauchemars et de nos phobies reste vraiment bien réalisé et on prend part à l’histoire avec tous ces jeunes insouciants. De plus, Craven joue avec nos peurs primitives, comme la peur de mourir noyé, la peur de se retrouver coincer dans une situation délicate. Bref, tout cela contribue à faire du scénario quelque chose d’effrayant et aussi d’innovant.

Mais ce qui fait la force de ce film, c’est la combinaison de trois données importantes dans tout bon film d’horreur. La première donnée importante est l’ambiance. Le film se déroule bien souvent la nuit, dans un endroit calme et isolé. De ce fait, la rupture entre rêve et réalité se fait dans un silence morbide, et le spectateur ne sait plus trop sur quel pied dansé. Il s’agit alors d’installer le doute et la peur dans l’esprit des gens et pour une fois, Wes Craven ne se plante pas. La deuxième donnée est le thème principal abordé, le rêve. Le réalisateur pose ici les bases de quelque chose qui a toujours fasciné et qui reste un mystère du subconscient. Ainsi, les rêves permettent de faire ce que l’on veut et même de mourir, cela a pour but de nous rendre plus vivant au réveil. Mais si on mourait vraiment dans notre rêve à cause d’un vilain monstre ? De ce fait, le thème devient effrayant, d’autant plus que le besoin de sommeil est capital pour notre santé, mais si on s’endort, on meurt et si on ne s’endort pas, on meurt aussi, alors que faire devant cette inéluctable issue ? Ainsi, le rêve devient un cauchemar récurrent, et l’horreur envahit l’écran tout le temps, dans la lutte contre le sommeil et dans les cauchemars.

La troisième donnée est la plus importante car elle concerne le boogeyman en question. On connaissait Michael Myers et son silence morbide, on connaissait Jason et sa carrure impressionnante, voici le premier tueur surnaturel qui a du bagou et un sens de l’humour assez particulier. Freddy, pédophile de son vivant, voit sa vie bouleversée par la vengeance d’un groupe de parents. Se réincarnant dans les rêves des enfants qui ont grandi, il assouvit lui aussi sa vengeance mais avec un certain style autant dans le verbe que dans le geste. Physique et tenue effrayante, arme originale et efficace, il deviendra d’emblée l’un des plus grands boogeyman du cinéma. Bien évidemment cela ne serait rien sans ce bon vieux Robert Englund, s’en donnant à cœur joie et affichant un sourire bien glauque. Les autres acteurs ne sont pas en reste, et Heather Langenkamp campe une héroïne crédible, torturée et cherchant vainement une solution à son gros problème. Le film est aussi l’occasion de voir Johnny Depp dans son premier rôle au cinéma, et il faut dire que cela fait bizarre de le voir en jeune adolescent presque boutonneux. John Saxon fait aussi partie de la partie et comme à son habitude, il est impeccable dans son rôle de flic bourru et un peu trop aimant.

Enfin, il faut aborder les effets spéciaux, les effets de peur et les effets gores. Les griffes de la nuit réunies à peu près tous les ingrédients fort belle manière. Les effets spéciaux pour l’époque sont relativement bien fichus. Le maquillage de Freddy est crédible et bien dégueulasse, mais d’autres passages restent bien mémorables, comme lorsque ses bras s’allongent ou encore lorsqu’il tue sa première victime en la faisant valdinguer dans tous les coins de la chambre. On peut voir certaines faiblesses sur la scène finale, mais cela rajoute du charme au film, voir même un peu de poésie macabre. Les effets gores quant à eux sont peu nombreux, mais diablement efficaces. Freddy se mutile, un personnage meurt broyé dans un geyser de sang, une autre se fait déchiqueter à mort, bref, on en a pas beaucoup, mais ils restent marquants et intéressants. Bien entendu, certains effets sont effrayants en eux-mêmes, et je pense notamment à la vision de l’héroïne qui voit sa copine se faire tirer dans un sac mortuaire puis se relever ou encore les passages dans l’usine désaffectée, terrain de jeu de Freddy, lieu inquiétant et glauque au possible. Et comment ne pas aborder la scène dans la baignoire qui est devenu une scène culte.

Au final, les griffes de la nuit s’impose comme un film culte dans le domaine de l’horreur et engendre l’un des plus grands méchants du cinéma. Quand on sait qu’il y a 7 suites et un remake, on voit rapidement que tout cela a marqué les esprits. Bref, un film efficace, effrayant même pour l’époque, possédant des passages cultes et des passages bien gores. La fin reste assez poétique et surtout, Craven ne prend pas les spectateurs pour des idiots en balançant des explications bien lourdes. Freddy est un salaud et sa force réside dans notre croyance en lui, personnellement, moi j’y crois, même si le remake est vraiment moisi.

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