Hellraiser : Deader

L'intrigue est un peu plus travaillée qu'à l'habitude en tout cas m'a plus intéressé qu'à l'accoutumée, se centrant davantage sur la douleur intérieure que la douleur physique. La mise en scène plus inspirée cette fois-ci qui marque un renouveau, de flash-back en scènes chocs, je pense notamment la scène lorsque Amy Klein/Kari Wuhrer se retrouve un couteau dans le dos. Les personnages ne sont pas inoubliables mais assurent le minimum. Par contre l'espoir de revoir les cénobites plus présents a disparu, ils ne sont là que pour clôturer le film , et puis c'est tout, on se demande dans ce cas pourquoi ils ont continué à faire des suites et des suites si c'est pour les montrer tout juste dix minutes à l'écran alors que tout repose sur eux.

Bref, Hellraiser Deader demeure une suite certes très inégale à cause d'un scénario toujours aussi insensé ,mais s'assure un mieux grâce à une ambiance lugubre quelque peu retrouvée, sans pour autant crier au génie loin de là.