Final Fantasy VII : Advent Children
Critiques spectateurs
Réalisateur: Tetsuya Nomura, Takeshi Nozue Avec Takahiro Sakurai, Maaya Sakamoto, Ayumi Ito, Tsuduruhara Miyuu, Keiji FujiwaraInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
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publié le 16/11/2013 - 23:31
C'est beau ! Snif...
publié le 11/09/2012 - 23:18
Mon avis
Quel est l'interet de voir des gugusses invincibles se battre. On les voit faire des sauts d'une centaine de mettre, faire des chutes d'une hauteur encore plus folle. Ce qui est censé représenter une action impressionante devient en fin de compte soporifique. on sait que les pignoufs vont survivre a un immeuble qui s'écroule sur la figure, a une chute de 20 km... le suspense est totalement absent. D'ailleurs, la physique tres "gamers" fait parfois peine dans un film : quand un bonhomme tape, la physique s'abolit et il semble voler. la encore, le coté époustouflant meure complètement.
Les bastons (plus de la moitié du métrage) sont épileptiques, on ne comprend pas toujours l'action et la encore, un seul mot arrive : ennui ! Un gros point noir (encore !) qui fait mal : la musique. Il ne suffit pas de mettre de la musique épique composé à l'arrache pour rendre la bagarre grandiose. Et encore, ce n'est pas le pire, la plus part du temps, elle est au choix sirupeuse et niaiseuse a en faire vomir un mort, ou alors elle est complètement a coté de la plaque.
Je n'ose parler des dialogues écrient par un ado prépubère. d'ailleurs, tout l'univers fait très (trop) ado. ok, c'est tiré du jeu, mais a chaque fois on oscille entre le truc pour gosses et des scènes plus noir, plus mature. on ne sait plus sur quel pied danser. Un peu rageant. Que ce soit les perso avec leur coupe de cheveux "tendance", les dialogues (encore) ou l'univers même.
Alors ok, ce n'est pas le bousin ultime. les graphismes ont dans l'ensemble bien vieilli, le rythme soutenu garde un peu en haleine et l'univers est sympa. Mais l'impression de voir une vidéo maladroite de jeu vidéo se fait trop sentir et ce final fantasy VII rate la marche du cinéma. une autre fois peut être.
publié le 04/08/2010 - 19:02
J'ADORE!!!
publié le 16/08/2009 - 07:26
Je crois que tu as un épis....
- c'est est qui sépi-ross? (prononcé tel quel...)
- c'est quoi la riviere de la vie?
- pourquoi ils ont tous des coupes de merde?
- c'est quoi les bouboules de toutes les couleurs?
enfin bref des conditions idéales pour la vision d'un film.
Sinon en version longue je dois dire que le métrage perd un peu en lisibilité. a cause de sauts dans le temps fréquents et assez désagréables, mais on gagne en scene de baston (avec le retour de turks soit disant disparus).
Visuellement magnifique le duel final contre sépi-ross est toujours aussi jouissif.
publié le 30/07/2009 - 18:22
Je ne serais jamais un souvenir
Nous voici donc deux années après la chute du météore et Midgar se remet tant bien que mal du cataclysme qui l’a assaillis. Les géo-stigmates ont fait leurs apparitions. Une sorte de gangrène qui touchent les enfants. On ne connaît ni son origine, ni son mode de propagation. C’est en cette période tourmenté que Cloud parcours les environs de la ville tel un fantôme. Lancé à sa poursuite, un groupe de 3 personnages mystérieux l’attaque pour quelques mystérieuses raisons. Je pourrais raconter indéfiniment l’histoire de FF7 AC, mais je vous laisse découvrir l’intrigue par vous-même. La première chose que l’on remarque est la qualité visuelle du titre. Tout simplement époustouflante, jamais images de synthèse ne fus autant enchanteur et magnifique. Renvoyant à leur planche à dessins les studios occidentaux. Cela m’amuse de voir que Pixar (un studio que j’apprécie pourtant) est considéré comme un des leaders de l’imagerie virtuelle dont les films sont d’une beauté époustouflante. Je ne dénigre pas le travail de ses studios, mais resituons le contexte. Au moment où sortait FF7 AC dans nos contrées, Pixar nous offrait son Cars. Comme toujours à grand renfort de médias, on parla à tort et à travers du film et l’on vanté la qualité visuelle du nouveau bébé de Pixar. Soyons clair, rien ni personne n’arrive à la cheville de FF7 AC. Encore aujourd’hui, il reste inégalé. Les gars de Square Enix sont juste des surhommes maîtrisant pleinement les nouvelles technologies. Inutile de dire que le blu-ray rend l’expérience encore plus époustouflante qu’elle ne l’était déjà il y a déjà 3 ans.
Outre ses qualités graphiques indéniables, FF7 AC c’est aussi la continuité d’un univers cohérent et extrêmement complexe où se mêle de multiples complots, des péripéties haletantes et bien plus encore. On ne saurait résumer toutes les subtilités de ce monde à part. L’intrigue est à la hauteur de nos espérances avec de multiples rebondissements. On retrouve avec joie de vieilles connaissances, mais aussi de nouveaux personnages. A noter que dans la version Complete, Denzel prend une part un peu plus importante que précédemment et l’on apprend son histoire avant sa rencontre avec Cloud. Comment ne pas citer la calamité tombée du ciel, le cauchemar, dont l’ombre et la présence spectrale plane tout au long du film, j’ai nommé le seul, l’unique, le charismatique : Sephiroth. Le plus grand méchant de toute l’histoire vidéoludique tout simplement. A tel point que j’ai longuement hésité entre Dante et Sephiroth comme pseudo sur ce cher site qu’est Horreur.net. Plus qu’un personnage, un véritable mythe dont l’essence même est empreint de mystères et de conflits intérieurs.
Comment ne pas citer également, la bande-son du film tout bonnement divine. Les symphonies de FF7 AC ont été reprises des plus beaux morceaux de l’OST de FF7. Que de souvenirs à l’écoute de Aerith’s Theme ou One-winged angel (ici rebaptisé Advent one-winged angel pour l’occasion). Notons au passage les inombrables clins d’œil au jeu éponyme. Je vous en donne quelques-uns : le mémorial vu de dessus est la représentation du logo de FF7, la peluche Mog, la musique de portable de Loz (musique de victoire dans le jeu), les limites de Cloud… Une pléthore de références dont je n’ai pas encore trouvé les plus subtiles. Vous l’aurez compris, l’univers de Final fantasy 7 m’est très cher, à tel point que de temps à autre je l’analyse, le décortique et porte des réflexions sur certains détails.
Pour conclure (car il le faut malheureusement), Final fantasy 7 Advent Children est une petite merveille à tous les niveaux. Maintenant, je peux comprendre que les personnes n’ayant pas connu le jeu vidéo à l’époque se sente un peu perdu tellement ce film est ancré dans la droite lignée de son illustre prédécesseur. Un univers dont je ne me lasserais jamais et auquel je continuerais de vouer un culte sans limites. Vous avez dit fan ? Si je pourrais je lui mettrais facilement 20/10, mais je me contenterais du 10/10. Je vous quitte à présent, il faut que j’appelle les développeurs de Square Enix. Je vais les harceler pour qu’ils nous pondent enfin le remake que j’attends depuis tant d’années.
publié le 29/07/2009 - 11:45
Mon avis
publié le 01/01/2007 - 00:00
Chef d'oeuvre
publié le 01/01/2007 - 00:00
....
publié le 01/01/2007 - 00:00
Mon Avis
publié le 01/01/2007 - 00:00
Giga bon
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