King Kong

Entre le monument de 1933 et le monumental remake de 2005, il y avait ce grand film d'aventure des 70's que je me souviens encore regarder en famille à la TV dans les années 80/90. Je viens de me le revisionner et il n'a pas pris une ride. C'est du très très bon !

Un remake qui a plutôt des allures de reboot tant il y a de changements dans le scénario, les personnages, l'action elle-même (avec des p'tits trucs en plus et d'autres en moins). Beaucoup plus d'humour également. Mais l'ambiance est préservée et la trame principale reste la même : une équipe en mal de gloire, l'île, les indigènes, le grand singe... jusqu'au retour à New-York.

Les acteurs sont bons, les paysages et prises de vue magnifiques, les effets spéciaux très convaincants, la musique pesante à souhait et l'émotion bien palpable.

Une relecture géniale qui n'a pas à rougir de sa concurence.

Ce film je l'ai vu ...une fois il y a très longtemps. Et là c'est extraordinaire , il est sorti en 1977, et je me rappelle avoir vu un affichage publicitaire pour un magasin de bricolage faisant référence à ce film !, la mémoire est quelque chose d'extraordinaire; Certes on reprend le même trame de l'histoire que la version des années 30. C'est le héros +la belle+la bête+le magnat, qui se retrouve sur une île isolée. Là on nous ressort le coup des indigènes qui vénèrent Kong, en lui offrant un sacrifice, par contre pas d’animaux préhistoriques cette fois. Et là le réalisateur introduit des préoccupations typique de ces années là, car il y a la question énergétique avec le pétrole qui tout ce monde là est venu chercher, et aussi écologique avec un Jeff bridges en savant qui cherche à protéger tout cet habitat naturel contre......le capitalisme exacerbé.Et encore plus curieux, l'héroïne semble (enfin je l'ai compris ainsi) une actrice de film X, car un moment on évoque "gorge profonde. Impensable dans les années 30, de mettre en scène une' héroïne qui ne serait pas une oie blanche, qui symboliquement défend sa virginité contre les ardeurs d'un gorille gigantesque, d'ailleurs la réplique comme quoi le singe voulait violer la belle me fait un peu marrer !, vu la taille du singe, imaginer un peu la taille de son appendice sexuel, a faire pâlir de frustration tout les mâles qui fréquentent ce site, la fille si elles est actrice de film porno a beau en avoir vu d'autre , mais tout de même !..Alors c'est vrai comme je l'ai dit c'est un peu la m^me chose, notre magnat de l'or noir se rend compte que le pétrole est en fait inexploitable et pour satisfaire les actionnaires décide de se reconvertir en organisateur de spectacle en capturant le singe gigantesque et le faire paraître dans un spectacle a New-York. Et là le film vire carrément à l’imbécillité, mais attention à l’imbécillité démontrée. En gros on fait .... exactement ce qu'il ne faut pas faire : exhiber le singe avec une couronne sur la tête en cage qui est parait-il indestructible (comme la cage à requin des "dents de la mer"), sous les flash crépitant des journalistes venu exprès le photographier, pauvre Kong !, et pauvres....cons !. Kong s'échappe, mais curieusement ne fait pas spécialement un carnage, il recherche la belle, et la poursuit jusqu'au Twin tower, que malgré sa force il ne parvient pas à détruite, 25 ans plus tard d'autres emploieront d'autre moyens.C'est bien joué et bien réalisé, car l'acteur qui à conçut le costume de singe (Non non, ce n'est pas un gorille véritable), joue le rôle du singe tout en singeant très bien les singeries de l'animal !, avec des réactions très crédibles . Là c'est très important, car si ça colle pas, là c'est le nanars assuré, de plus à cette époque , point de numérique mais des images en sur-impression, qui sont très bien faite.

Je suis bien content de lire sur les autres commentaires , que je ne suis pas le seul à aimer le King Kong de 1976 , bon c’est sur que le revoir après la version de Peter Jackson , lui fait avoir une pale figure , mais quand même ce King Kong la pour son époque était tout simplement un projet couillu (crée une maquette de Kong ainsi que deux bras électronique de taille géante ) , casse gueule( le tournage fut menacer de grève par les électriciens du film , la maquette électronique de Kong tombant sans cesse en panne et le budget pour le film ne fessant que grimper en flèche ) mais le rêve de terminer ce film et ainsi voir la réaction du publique au bout du compte aura porter ses fruits , et pour cela je trouve que le film mérite amplement le respect que certain magasine de cinéma lui doivent au lieu de le descendre en rafale de douze en l’occurrence mad movie qui depuis préfèrent pompé le nœud de Jackson , pour moi King Kong de John Guillermin et Dino de Laurentiis sera toujours le film qui me fessais scotché devant la télé , les yeux ébahit quand celui-ci passait a la télé et ça, ça n’a aucun prix .

Cette version de King Kong se laisse regarder meme si les effets spéciaux ont quelque peu vieilli mais à la limite c est ce qui fait le charme du film de meme qu un certain manque de sérieux du entre autre au personnage de Jessica Lange. En effet, cette dernière (très jolie dans ce film) joue une cruche totale et quasiment chacune de ses répliques fait sourire (genre elle dit au singe sur un ton sérieux: "ça ne peut marcher entre nous"). Par contre la relation entre la fille et le singe est plus forte et plus émouvante dans cette version que dans l original de 1933. De meme certaines scènes n ont pas perdu beaucoup de leur force comme la fin sur le World Trade Center ou la capture de King Kong. Le tout est honnetement réalisé par John Guillermin qui a eu sa petite heure de gloire dans les années 70-80 (avec Mort sur le Nil ou la Tour Infernale). Bref un divertissement plutot inoffensif mais plaisant et en aucun cas un nanar!

Bon remake plutôt teinté d'érotisme léger, avec effets speciaux kitchs mais bons pour l'époque!!!

Franchement, je ne vois pas pourquoi on a été dur avec ce film. il est très différent des 2 autres versions. il est peut etre pas gore mais il est très sombre. pour moi il merite plus d'etre vu que la version 33.

Personnellement que sa soit la version de 1933 ou de 1976 je les adore toute les 2 ...Tout dabors parce que j'adore les films avec de grosses bestioles et j'adore les films faient en pat a modeler (pour celle de 1933) Seul point négatif de la version de 1976 : Kong !!!...Voir un singe marché sur ces 2 pattes arriere tout le long du film n'est pas tres crédible... surtout qu'a la base il ressemble plus a un blaireau déguiser en singe qu'a un "vrai "singe Ils auraient pu au moin se casser le cul pour les mouvements du bonhomme pour qu'il ressemble a vrai singe (marché ,se tenir comme un singe quoi!!!) ...bref le Kong ne ressemble pas du tout a un gorille...Par exemple lorsque le singe est enfermé dans le bateau ,La jolie Jessica Lange tombe dans la cage ,il la rattrappe puis il se couche dans un coin ...A ce moment la ,j'ai eu plus l'impression de voir un beauf affaler sur son canapé avec une bouteille de biere a la main que de voir un gorille géant. Par contre par rapport a la version de 1933 la relation entre Ann et Kong est plus "présente" et le singe fait plus "humain" surtout au niveau des sentiment. Un remake bien symphatique ^^

Ce remake contemporain de KING KONG est bien mais il manque quand même le charme de ce lui de 1933, en effet le scénario a complêtement changé hormis le peuple de l'île du crâne et KING KONG qui fait une chute vertigineuse (mais en tombant du World Trade Center cette fois). De plus, le casting est tout à fait rentable nottament la participation de Jessica Lange. Mais je dois avouer que la version de 1933 est quand même mieux à mon goût. Mais à l'heure où je vous écris, j'ai visionné le KING KONG de Peter Jackson au cinéma et croyez-moi si vous voulez voir le KING KONG de 1976 faites le avant de voir celui de Jackson sinon vous seriez très déçu de cet opus.

Près de quarante ans après le film originel, ce remake s'en tire plutôt bien. Jeff Bridges est peu marquant certes, mais le gorille géant est bien réussi et Jessica Lange bien mignonne. Sans tomber dans l'outrance propre à beaucoup de blockbusters actuels, ce film est surtout la preuve du talent indéniable de Guillermin, excellent artisan du cinéma des années 70-80. Une bonne surprise !