Hostel

J'ai aimé le film, mais je m'attendais à plus de gore. Il y a eu (de nouveau) un peu trop de publicité autour de Hostel et je n'aime pas trop ça car je peux souvent être déçue. Hostel est un super film avec des paysages magnifiques, les fans de tortures sont vraiment cinglés! Les lieux des meurtres sadiques sont humides, fétides et obscures, bref assez flippant. L'ambiance est très bonne, prenante et on s'ennuie difficilement devant ce film. Le seul bémol sont les personnages, car ces jeunes mecs représentent un peu le style de gars que je n'aime pas ( par leur comportement je veux dire) mais bon, cela ne m'a pas vraiment gênée et c'est tant mieux.

Je ne comprend toujours pas pourquoi certains critiques de magazines disent que Hostel est nul et Eli Roth (dsl pour l'orthographe) prétencieux, mais il faut reconnaître que son film est assez novateur dans le sens où avec Saw ils ils ont relancé la mode du film de torture, hostel grâce a la slovaquie ou je sais pus ou quelque part dans l'est nous baigne dans une athosphére glaçante tous au long, le début ressemble a un film pour ados avec c'est trois pense-bites, pour tourner radicalement vers l'horreur sale, craspec, gore. vraiment le film bien que suportable nous glace d'effroi surtou lors du meurtre de la chinoise qui en faite n'est pas morte sur le coup mes vraiment coupé l'oeil au ciseaux c'est assez harde, un bon film qui ne dépasse pas trop les limites ce qui permet de pouvoir le visioner sans étre dérangé.

A voir, Roth un concurent à Rob zombie !

Le suspence est super,les scène de torture sont dur par moment il vaut l'avoué.Déjà qu'Eli Roth c'est fait un nom avec Cabin fever mais là avec Hostel il a fait fort!A découvrir mais attention le film est extrement malsain et en plus il est tiré de faits réels....

Alors qu’ils passaient des vacances gentiment décadentes en Europe, trois amis vont suivre les conseils vaseux d’un étudiant hollandais à qui vous n’auriez pas prêté un euro, et partir la fleur au fusil pour Bratislava, où les femmes, plus désirables les unes que les autres sont particulièrement ouvertes aux relations sexuelles de groupe. Hélas, s’il est vrai que la slave n’est pas farouche, le séjour va vite tourner vinaigre pour nos sympathiques érotomanes qui vont bien plus morfler que conclure en slovaquie. Après une très bonne exposition où Eli Roth réussit à nous rendre crédible ses sympathiques branquignoles, Hostel prend la tournure d’un conte à faire peur, à la limite du fantastique. Intelligemment, il isole Oli, Josh et Paxton dans un Bratislava d’opérette à l’architecture douillette de dépliant touristique qui abrite en fait un enfer insondable. L’incompréhension et le déchaînement de fureur qui frappent les protagonistes fonctionnent donc à plein pot, d’autant qu’ils subissent les pires outrages et que le gore est bien craspec. Jusqu’à ce que, terrifié par sa propre audace, Eli Roth, dans une dernière bobine invraisemblable, transforme un film jusque là dérangeant en un Rape and Revenge nigaud et curieusement politique correct. Tiré par les cheveux, elle rend ainsi Hostel aussi inoffensif qu’un caniche nain alors qu’on pensait avoir à faire à un Pitt bull. Vous dire la désillusion…