Masters of horror 10 - Liaison bestiale

7.3/10
Masters of horror 10 - Liaison bestiale

Critiques spectateurs

Réalisateur: Lucky McKee Avec Angela Bettis, Erin Brown, Jesse Hlubik, Marcia Bennett, Mike McKee

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Portrait de Dexter Dexter
Serial Killer - 475 critiques
publié le 27/12/2007 - 10:27
6
 

Toujour aussi taré

Rien que voir la performance d'angela bettis ça vaut le coup d'oeil
Gringoslem
Copycat Killer - 59 critiques
publié le 27/12/2007 - 00:15
8
 

Aïe ça pique !

Histoire très réussie que celle de cet insecte inconnu envoyé à une passionnée de ces bestioles... Dans sa conception, le film me fait penser à un métrage des années 60-70 vus le look de l'héroïne et la tournure de l'histoire (mis à part qu'ici on se retrouve avec un couple de lesbiennes, chose impossible à montrer à l'écran à cette époque). On se croirait dans un de ces films fauchés qui doivent plus suggérer que montrer faute de moyens et le résultat, pour moi, est vraiment réussi. Peu de sang ou d'horreur mais on a quand même droit à quelques scènes vraiment assez dégoûtantes avec la bestiole ou l'oreille d'une des jeunes femmes.
Portrait de Dynamithe8 Dynamithe8
Copycat Killer - 18 critiques
publié le 01/01/2007 - 00:00
6
 

Dur à appréhender mais...

Cet épisode passe donc le seuil de la qualité grâce à son ton frais, pourtant traité dans un style très eighites. Ce qui fait plaisir, c'est qu'on à l'impression de vivre une histoire qui pourrait se dérouler dans le même univers que May, on navigue donc en terrain connu et déja on est conquis. Le pitch est basique et propice à une belle petite étude de moeurs comme sait si bien le faire McKee. On s'attache réellement au couple des deux jeunes filles (Angela Bettis, géniale et Misty Mundae, craquante) et ce n'est pas tant l'histoire très B qui nous accroche ici mais bien la relation entre nos deux héroïnes. On assiste donc tout le métrage aux dommages collateraux que peut causer une telle relation et à la complication qui vient s'ajouter, personnifiée par un énorme insecte inconnu. Le segment est plein d'humour et de peps... jusqu'a la conclusion! Basculement dans l'horreur grand-guignolesque pure, surprenante et marquante. Reste que le tout n'est pas inoubliable non plus et laisse tout de même un arrière goût d'inachevé, avec ses personnages secondaires caricaturaux et inutiles.
Chris_Carter
Newbie - 13 critiques
publié le 01/01/2007 - 00:00
2
 

Le pire de la série?

Après 2 chefs d'oeuvre (épisode 8,9), un bon épisode 7...je redécouvre avec effroi qu'on pouvait faire aussi pathétique que l'inénarrable 'Chocolat'. Le début est calme, presque plat mais c'est après que ça se complique, ça descend sans arret vers le ridicule, le pathétique, en un mot l'horreur. Entre film X de lesbiennes pour ados en manque et film d'horreur complètement raté, cet épisode est tellement nul que contrairement à chocolat, j'ai pas pu me retenir d'accéler les images à partir de la 35e minute pour voir la fin...J'aurai pas du me diriez vous? car la fin est le summum du ridicule encore une fois. Pourtant ce réalisateur m'a agréablement supris cette année avec The Woods, dommage qu'il descende aussi bas avec cet épisode, vraiment désolant...
Portrait de Scarecrow Scarecrow
America's Most Wanted - 302 critiques
publié le 01/01/2007 - 00:00
8
 

Bonne idée

Une bonne histoire, mais le probleme vient du manque d'action, mais autrement ya rien à dire. Jai eu peur quand on voit le visage de la fille vers la fin!! Et puis une terrible scene avant la fin! Et puis un peu d'humour.
Marc.mlc
I am Legend - 1113 critiques
publié le 01/01/2007 - 00:00
10
 

Excellent!

Lucky McKee confirme tout le bien qu on pensait de lui après May avec cette Liaison Bestiale d' excellente fracture! Alors oui on peut reprocher que beaucoup d ingrédients de May sont repris dans cette épisode (une femme qui se sent incomprise comme personnage principale, des filles aux tendances homosexuelles, l horreur qui n intervient qu à la toute fin..) mais ça ne gache aucunement le plaisir. Et contrairement à May, le ton est ici plutot humoristique et décalé. Le couple féminin vedette composé de l actrice fétiche de McKee, la talentueuse Angela Bettis, et de Erin Brown fait des étincelles, on s amuse devant les hésitations et les moues de l une et devant les crises de folies de l autre. Vraiment cet épisode comportant son lot de dialogues savoureux se démarque des autres grace à l univers si personnel de McKee, le seul bémol étant les trucages de la fin qui sont assez grossiers. Mais malgré cela, on a affaire à l un des meilleurs épisode de la première saison.
Sir Gore
America's Most Wanted - 525 critiques
publié le 01/01/2007 - 00:00
8
 

L'un des meilleurs de la série

Lucky McKee nous avait subjugué il y a de cela quelques années avec son sublime May, un film d'horreur viscéral transcendé par la composition d'Angela Bettis, fascinante dans ce personnage de jeune fille mal-aimée et vengeresse non sans rappeler celui de Carrie, l'étudiante esseulée et méprisée par ses camarades autant que douée de télékinésie, qui avait marqué les mémoires de toutes une génération de cinéphiles dans l'œuvre éponyme de Brian De Palma. La proposition de réaliser un épisode de la série Masters of Horror, chapeautée par Mick Garris, ne fit guère deux fois vent aux oreilles de McKee, qui a décelé là une aubaine rêvée, celle de rivaliser avec une petite horde de spécialistes issus d'une génération précédente, et ce dans leur propre terrain. Décidément peu enclin au conformisme, le cinéaste exerce sa grammaire qui lui est propre, signant avec Liaison Bestiale une sorte de faux remake de May où le script puise cette fois-ci ses influences du côté de La Mouche - sans aucun doute la version mise en scène par Cronenberg bien davantage que celle de Kurt Neumann - dont il retrouve par instants la clinique froideur ainsi que l'obsession pour les mutations génétiques, sans parler du canevas thématique et de l'histoire en elle-même, tous deux subtilement similaires. McKee y adjoint ainsi une aventure de lesbianisme peu ordinaire et applique le savoir-faire technique qu'on lui connaît désormais: photographie léchée, grande fluidité dans les mouvements d'appareil, montage et découpage audacieux, la réalisation brille de mille feux et hisse Liaison Bestiale sur le haut du podium réservé aux épisodes de Masters of Horror les plus aboutis dans le cadre formel. Le format télévisuel n'est guère une excuse pour bâcler sa besogne; cette devise, Lucky McKee l'a parfaitement assimilée, tout comme celle qui consiste à diriger ses comédiens de la façon la plus rigoureuse possible, quitte à faire dépasser les limites de leurs capacités, le cas se présentant ici avec Erin Brown, alias Misty Mundae l'égérie de Shock-O-Rama, une compagnie de cinéma érotico-trash indépendante, qui nous révèle là une autre facette de son «talent». Angela Bettis se veut quant à elle toujours aussi surprenante en femme tourmentée et incomprise, sorte d'antithèse de l'héroïne au physique généreux et au psychisme réglé comme une horloge. Liaison Bestiale privilégie le mystère et la psychologie des personnages au détriment de véritables effets horrifiques, spectaculaires ou encore grand-guignolesques, dont la présence se résumera en un dénouement assez choc, bien qu'un poil gâché par des trucages relativement grossiers. Le meilleur et le plus étonnant restaient à venir avec une fin où triomphe le paradoxe, s'ingéniant à retourner le film comme une vulgaire crêpe afin de le fignoler sous le ton de la comédie pétillante. Il n'y avait sans doute que McKee pour jouer sur l'antonymie cinématographique de cette façon tout en conservant une parfaite maîtrise de son sujet. Au milieu de toute cette bande de vétérans, il fallait bien un jeune réalisateur érudit pour conférer une touche de fraîcheur à la série Masters of Horror; en résulte cet excellent Liaison Bestiale, sacrément bien mis en scène et interprété, qui captive de la première à la dernière minute avec une économie d'effets. À voir assurément.
Portrait de GORE MANIAC GORE MANIAC
Serial Killer - 797 critiques
publié le 01/01/2007 - 00:00
8
 

Décalé !

McKee, cinéaste de la nouvelle génération, fait partie des réalisateurs qu'on découvre un peu par le biais de cette série. Après le réputé May, cet épisode prouve son attirance pour les jeux d'actrices (ici remarquables) et les sujets à controverse (les lesbiennes et une relation trouble avec un insecte). Partant au départ dans un registre assez burlesque, cet épisode s'oriente pour finir vers une terreur plutôt bien maîtrisée, sans égaler les meilleurs métrages de cette première saison. Pour ceux qui ont apprécié Mimic, l'humour en plus...
Boogie
America's Most Wanted - 343 critiques
publié le 01/01/2007 - 00:00
8
 

Sicky...

Héhéhé... Cette petite histoire de lésbiennes inféctées m'a plu. Certaines situations force le sourire. Cet épisode m'a fortement fait penser aux Contes de la Crypte... Un brin de nostalgie s'est donc emparé de moi....
Portrait de DorianGray DorianGray
I am Legend - 1998 critiques
publié le 01/01/2007 - 00:00
6
 

Grosse bête va!

Comme toujours avec McKee, on a droit à quelques femmes attirées par d'autres femmes se bécotant comme des collégiennes entre le fauteuil et le lit ... et l'horreur là-dedans ... comme toujours avec McKee, bof, elle arrive mais souvent trop tard ou mal placée. Cet épisode fait exactement la même bourde que les précédents films et ainsi lorsque la créature fait son apparition, on n'a plus envie de rire ni de frémir ... trop tard! Reste un final un peu lourd et une bêbête pas fort bien réalisée (pas la femme, hein ... la bête elle-même!!!).

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