Hostel: chapitre 2

Hostel 2 est pour moi bien mieux que le premier, je m'expliques. Le premier était un peu ras les paquerettes, la psychologique était pratiquement absente, il nous restait plus que les effets chocs pour nous servir l'histoire. Dans cette opus c'est l'histoire qui nous sert les effets chocs. On voit mieux l'organisation et les tréfonds de l'être humain, on apprend que les apparences sont trompeuses et surtout la plus grandes morale du film est a faire frémir, ce ne sont pas les rapide ou les plus forts ou les plus intelligents qui s'en sortieront mais les plus vislards, bravo a Eli Roth.

Cette note est purement personnelle, mais, en voyant le 1, y'avait quelque chose d'accrocheur, meme si, a mon gout, le film étant un peu lent, avec des temps morts, mais au moins, les scenes gores qu'on nous offrait ne nous avaient pas fait attendre pour rien. On avait pris soin de bosser un minimum la "psychologie" des tueurs, du coup, lorsque l'on se mettait a la place de la victime, il y'avait un sentiment d'effroi qui se fesait ressentir, d'opression, une sorte d'adrenaline ... et pis les effets speciaux n'étaient pas "degueulasses" ( dans le sens ou on se foutait pas de nous, on voyait du gore ). Mais la, on a rien de tout ça, aucun des defauts du premier opus qui auraient, changés en qualités, fait de ce film un bon film d'horreur n'ont été corrigés, a la place, on essait de nous impressioner par le nombre de victimes, mais a quoi bon si l'on est pas plongé dedans, et pis on attend bien longtemps avant la 1ere scene gore ( dont j'ai été très deçu ... ). C'est lorsque l'on est completement stressé de la scene et qu'on est plongé dedans, que le realisateur se demerde pour tout casser, en masquant la pitoyable scene "gore" avec une fontaine de sang, si vous cherchez la revolution du gore, elle n'est malheureusement pas la et le pire, c'est qu'elle ne vaut meme pas une seance de cinema ... ( a 8€ !!! :( ) Donc juste un truc pour resumer, ne pas y'aller avec de grands espoirs, il n'en sera pas a la hauteur ...

Je me suis dit vu le 1, la suite sera pas top...Au contraire terrible c'est tout! Deja le debut il y se je ne sais trop quoi de speciale qui nous plongent dedans...Jai bien aimer la vente au enchere!^^Bon sa commence comme le premier mais plus on avance plus on sent que sa aprroche...Les scenes sont bien Hardcore comme meme ( surtout sur la... du gars, entre les jambes des gars c'est mieux^^) alors la waouuu^^ Les scenes sont plus recherchées par rapport aux 1, mois bourrin et plus glauque! Et la fin quand les jeunes jouent avec la tete de la fille, c'est vraiment bien trouver! Bien jouer Elie Roth!

C'est vrais qu'on l'a attendu celui la avec l'innevitable angoisse du second opus foireux,et ben au final c'est plutot reussi.J'ai quand meme trouvé beaucoup de similitude avec le premier volet,mais bon c'est normal.J'ai cru comprendre qu'E. Roth avait beaucoup consulté son public avant de realisé son film,resultat:un scenar bien ficelé,de bons rebondissements et en définitive peu de scenes gore mais attention elles sont quand meme sevèrement brutales... finalement la scene qui ma le plus haluciné c'est la scene des enchères...

Pourquoi Hostel II est LE plus grand film gore à ce jour ? Dithyrambique ma critique ? Sans doute et elle n’engage que moi mais je défie quiconque de trouver plus gore, plus inquiétant, plus glacial et plus renversant que ce deuxième opus consacré à l’enfer du Elite Hunting. On reprend la même idée de départ c’est-à-dire une organisation qui offre à des gens qui ont les moyens de torturer et tuer des victimes après mises aux enchères. Ces victimes ne se doutent de rien et tombent dans le piège infernal tendu par des « rabatteuses » de charme. Et là se déroulent des scènes insoutenables de torture. Eli Roth suggère une nouvelle fois plus qu’il ne dévoile par des moyens détournés. Exemple cette scène où l’on voit une femme prendre son bain dans le sang de sa victime qu’elle écorche au dessus d’elle. Le sang gicle, les cris sont insoutenables et la folie du bourreau vous pétrifie d’effroi. Nous sommes alors en présence de la scène la plus gore du cinéma d’horreur qui vous marque, vous glace le sang et vous place devant un constat édifiant : « on vient de franchir un cap ». Hostel II dépasse tout ce qu’on a pu voir avant et relègue le reste au rang de comptes pour enfants tant l’horreur est primitive, froide et sans relâche ni pitié. Plus encore que les scènes de torture psychologique et physique ce sont les interprétations magistrales des acteurs qui répondent parfaitement et minutieusement aux demandes du génial réalisateur. Car pour vous emmener au-delà de l’horreur pendant 1h30 il faut une mise en scène irréprochable et c’est le cas. La direction des acteurs est sans faute et le spectacle avant d’être abjecte est avant tout visuellement parfait et filmé avec beaucoup d’originalité et d’innovation. Autre qualité de ce film c’est le scénario en béton. Eli Roth nous piège à tout moment et quand à chaque fois on croit connaître la suite des évènements il survient un contre-pied déroutant et plus malsain encore. Chaque particule de candeur, de naïveté ou encore de tendresse est impitoyablement réduite à néant. En 1973, Tobe Hooper bouleversait le cinéma d’horreur par son Massacre à la Tronçonneuse. En 2007, Eli Roth nous emmène en plein cœur de l’enfer. Un enfer situé ici sur terre et orchestré par des gens comme vous, comme moi et qui passent de l’état « social » à l’état « bestial et pervers ». Les adjectifs me manquent…