Masters of Horror 16 - V comme Vampire

Bon debut qui a pourtant l'air d'un film pour ado. Le debut est sympa donc, mais les acteurs pas top. Quelques trucs sanglants, mais ça s'enfonce dans la mediocrité.

La premiere chose à laquelle j'ai pensé durant les premieres minutes de visionage, c'est si je n'était pas en train de regarder un épisode de Chair de poules ... hahaha non bon sava . J'ai particulierement aprécié la premiere partie, là ou nos eux jeunes ados visite le funérarium, je trouve l'ambiance assez glauque, on ressent une certaine angoisse, c'est pas mal fait franchement ! bravo au réalisateur pour reussir a nous faire ressentir cela ! La fin du film n'est malheuresement pas de la même facture, j'ai pas vraiment su ou voulait en venir le réalisateur, pas mal de début d'idée mais rien qui va au bout des choses, du cout, je suis un peu dèçu ! par la fin également tellement prévisible ! Sinon, bon point pour les effets spéciaux particulierement réaliste et a certains plans de caméra magnifique (au début) jolis maquillages également . Bref, ni bon ni mauvais mais bon divertissement .

Je ne vais pas dire que V comme Vampire est mauvais en tout point mais il y a déjà eu mieux. En tout cas en ce qui concerne la série ! Car ce qui sauve cet épisode c’est bel et bien sa belle facture visuelle. Agréable à suivre, je ne me suis pas plaint car le gore était au rendez-vous. Dont une très belle décapitation. J’ai aussi beaucoup apprécié les personnages, caractérisation d’une jeunesse en manque. Avec un pareil tableau, il y avait de quoi mettre en boîte une bonne péripétie vampirique. Mais le scénario, pourtant écrit par Mick Garris, ne tient pas toutes ses promesses. Un peu comme si vous étiez affamé et qu’on ne vous tendait qu’un quart de morceau sur une pizza toute entière. La durée d’un épisode est certes limite mais d’autres metteurs en scène ont bien réussis le coup avec des histoires plus « larges ». Il n’y a donc pas d’excuses. Est-ce imputable au réalisateur Ernest Dickerson ? En partie car il aurait dû y avoir une mise en scène un peu plus élaborée et un scénario original. Je suis quand même resté un minimum accroché durant 56 minutes. Et puis comment ne pas succomber au charme de la toujours ravissante Jodelle « Silent Hill » Ferland ?

Nah, deja a la base les vampires c'est pas mon trip, je peux pas les supporter je les trouve nuls, donc je ne serai surement pas objective, l'histoire est ZzzZzzZzz... mais je mets 2 pour le beau black lol

Début très prometteur que cet épisode des Masters of Horror. En effet, la partie qui se passe dans la morgue est super bien filmée. On ressent l'atmosphère oppressante et terrifiante qui y règne et on y est plongée avec les deux héros. Ensuite, malheureusement, on a droit à notre héros, devenu vampire, luttant contre ce qu'il est devenu, le bien contre le mal quoi ! L'épisode commence à trainer en longueurs à partir de ce moment-là. Et ce n'est pas la fin qui le sauve, archi-conventionnelle, malheureusement... Heureusement, quelques petites scènes gores bien faites et bien sanglantes viennent un peu agrémenter ce "V comme Vampire".