Masters of horror 20 - La guerre des sexes
Critiques spectateurs
Réalisateur: Joe Dante Avec Jason Priestley, Kerry Norton, Linda Darlow, Brenna O'Brien, Steve LawlorInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
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publié le 26/03/2013 - 15:00
Mon avis
publié le 09/07/2012 - 01:02
Mon avis
L'idée de depart était pourtant bonne mais c'est gaché par l'arrivée des extraterrestes, qu'est-ce qu'ils viennent faire la ? Y avait mieux à faire quand même !
Heureusement les acteurs sont corrects.
publié le 28/10/2011 - 12:25
Moyen
publié le 19/11/2010 - 22:04
Femmes, je vous aime
publié le 14/06/2009 - 07:53
Moui
publié le 27/02/2009 - 20:08
Fanatisme Viril...
publié le 19/01/2009 - 14:53
Cruel et froid
publié le 01/01/2007 - 00:00
Très bon!
publié le 01/01/2007 - 00:00
La Solution Luciole
Alors certes, la qualité esthétique de cet épisode tout comme tous les autres, aurait pu être meilleure — mais ce n'est de toute façon pas là que le spectateur attend la série. Non, ce que veulent les personnes regardant les Masters of Horror, ce sont avant tout de courtes visions de cauchemars à l'instar de ce que faisait Les Contes de la Crypte et autres ; le tout saupoudré d'un brin de violence et de gore. Et à ce niveau là, La Solution Luciole remplit pleinement son rôle et c'est avec un plaisir douteux que le spectateur observe tous les personnages masculins retomber dans leurs plus bas instincts et exterminer l'élément "femelle" comme ils s'acquitteraient d'une tâche primaire et nécessaire à leur survie. À ce sujet, il est amusant de voir les petites critiques insérées dans l'histoire et avec lesquelles Joe Dante joue; ainsi pour toutes les personnes non contaminées, c'est quasiment tout de suite l'explication du fanatisme religieux qui saute à l'esprit et la plupart des personnages n'en démordront pas durant la plupart de l'épisode (le mouvement "Les Fils d'Adam"). De même concernant la manière dont Alan et Barney défendent leur virus exterminateur, et ne cessent de clamer à qui les accuse que "ça n'a rien à voir, notre virus vise une espèce bien précise".
Ce qui me permet d'aborder ce qui est, à mon goût, le seul vrai point noir de La Solution Luciole : la fin. En effet, après tout un épisode ciblant clairement les libertés prises par l'homme au niveau des espèces qu'il veut voir vivre ou mourir, on aurait aimé que la fin suive la même logique au lieu de partir dans quelque chose de complètement abracabrandesque et qui semble sorti de nul part pour conclure l'épisode (une fin qui date du roman d'origine). [SPOILER]N'aurait-il pas été en effet beaucoup logique d'au final dire que le virus qui extermine l'Humanité dans l'épisode, soit bel et bien celui crée par Alan et Barney; un virus qui aurait dégénéré, ou qui à cause d'une quelque faille génétique se serait attaqué à l'homme.[/SPOILER] C'aurait été une fin teintée d'ironie noire parfaite que l'on regrette de ne pas voir venir clore l'épisode. Mais d'une autre côté, qu'est-ce que quelques minutes de film pour un épisode aussi prenant ? Certes, une bonne fin est un passage crucial pour parachever tout chef d'œuvre, mais pour une fois, omettons ce détail et acceptons tous cet épisode très bien manié, prenant, et qui nous dessert de la violence de la manière la plus naturelle qui soit — le tout emballé et faisant écho à des comportements sexistes qui malheureusement sont tout à fait observables dans notre monde.
Au final, ça ne me servirait pas de m'étendre plus sur La Solution Luciole; après tout ce n'est qu'une heure de bonheur, et la meilleure des critiques n'en vaudrait pas la vision de cet épisode.
publié le 01/01/2007 - 00:00
Relativement bon
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