The Mist

Et bien si the mist est une histoire sorti tout droit d’un cauchemar de Stephen King , j’aimerais vraiment pas être a sa place , car the mist est vraiment un film cauchemardesque , flippant et par la même occasion couillu , j’ai été largement étonné de la bifurcation dons se tourne le film étant la religion du christianisme est c’est la ou Stephen King a été bien couillu c’est d’arriver a les faire passer pour les pires salop de la terre , comment s’attendre que cette dame prêchant la (bonne ?) parole de dieu aller prendre une telle ampleurs , seul bémol c’est que une fois sur deux lorsque que les gens discute entre eux il faut que soit les vielles rancœurs revienne a la surface , dans des moment vraiment pas approprié ou soit faut que la discussion parte dans un délire philosophe du style oui mais l’être humain est bon patati et patata , mais cette menace est telle l’œuvre de dieu venu punir les pécheurs , grande question car au passage de l’attaque des créatures volantes la femme religieuse se fait épargné par l’une d’elle , pourquoi ? avait t’elle raison et dieu la épargné , ou tout simplement ces créatures sont le mal incarné et ont reconnues en elle un autre démon caché derrière la parole de dieu ? pour ce coup Stephen King arrive a bien faire gambergé sur la véritable moralité de la religion chrétiennes , pour ce qui est des attaques notamment celle ou les personnages sont a la pharmacie celle ci est réellement efficace , c’est créatures nous donne la chaire de poule et personnellement en regardant ces araignées d’une taille hors norme ca n’a pas arrêté de me gratté sur tout le corps , un passage aussi ou une femme dit ‘c’est créatures ne devrait pas exister’ je pense que les créatures aussi se sont dit la même chose envers l’espèce humaine, pour finir the mist est un excellent film porté par de bon comédiens , mais ce qui a de bizarre dans les meilleurs adaptation de Stephen King pour le cinéma c’est qu’un moment on oublie que ces un film que l’ont regarde et on à même l’impression d’être dedans a coté des personnages tellement que sont histoire arrive a nous faire oublier tous ce qui nous entoure et ca j’adore quand ca m’arrive (non ,non, je fumes pas et je bois pas ) donc je disais , mais aussi une fin totalement inattendue , dérangeante , éprouvante , et ce que l’on pourrait attribuer a un humour très macabre pour le héros du film , mais pas blâmable pour autant envers lui , en tout cas avec ce film je me suis pris une grosse claque et le pire c'est que j’en redemanderais bien encore .

J'avoue avoir le cul entre deux chaises, en premier lieu j'assite à un téléfilm plutôt chiant et en seconde partie à un putain de spectacle qui en fout plein la tronche. Et pourtant, le look des créatures est excellent, mal servi par des FX tout pourris, une dernière partie pleine de pessimisme et de drame vraiment très sympa. Ce qui m'a le plus chagriné est sans aucun doute la longueur du métrage; une bonne demi-heure était de trop. Difficile de rester attentif à la folle dingue de service et de son discours chiantissime, des persos (acteur principal vraiment mauvais, un cousin à notre christophe lambert!!??) pas tant attachants que ça qui discutent pendant une heure du pourquoi et du comment (le pied cependant quant au destin de la "prophéte", rarement une mort n'aura été aussi jubilatoire pour moi). Mention spécial aussi à la scène dans la pharmacie, j'ai vraiment aimé et la suite n'a été que positif tout du long.

The Mist" est l'adaptation d'une nouvelle de Stephen King intitulée "Brume", que je n'ai malheureusement pas eu l'occasion de lire (honte à moi !) Après une nuit de tempête, un étrange brouillard s’abat sur une petite ville des Etats-Unis. Un groupe d’habitants s’abrite dans le supermarché local, car d’étranges créatures semblent se cacher dans la brume … Ca fait un bail que j'attendais de découvrir cette oeuvre, autant pour l'histoire (huit-clos fantastique vachement bandant) que par le fait qu'elle ait été réalisée par un certain Frank Darabont, le même type à l'origine de deux chefs-d'oeuvres : "Les Evadés" et "La Ligne Verte". Le résultat m'a bluffé ! "The Mist" est un film qui prend aux tripes, que l'on dévore du début jusqu'à la fin, en ne ratant aucun plan, aucun dialogue, aucun son ... Baignée dans un fantastique proche de Lovercraft, l'histoire se concentre en priorité sur les rapports entre les personnes recluses dans ce petit supermarché, les différentes personnalités ne tardant pas à se dévoiler au contact de la menace engendrée par les monstrueuses créatures qui hantent la brume ... Une micro-société représentative de la société américaine : enfants, personnes âgées, la personnalité du coin, la croyante hystérique, le biker, l'avocat noir, quelques militaires et autres bouseux n'étant jamais sortis de leur patelin ... Un échantillon de la population US sévèrement matraqué par le réalisateur, qui dresse ici une critique virulente contre la religion, qui prend de plus en plus de place au sein des institutions de son pays. En parlant d'institutions, l'armée et le gouvernement (au passage) ne sont guère épargnés eux-aussi ... Si Frank Darabont s'est clairement défoulé sur les carrences affichées actuellement par sa chère patrie, il n'a pas pour autant délaissé le caractère horrifique de son oeuvre ; que les accrocs aux frissons se rassurent ! Le bestiaire du film est très réussi et s'avère aussi flippant que répugnant ! Des sortes d'araignées et de moustiques géants, ainsi que d'autres énormes bestioles le plus souvent masquées par l'épaisse brume ... En plus des tas de bruissements et autres hurlements ... Côté frissons, il y a de quoi faire ! La scène dans la pharmacie avec les araignées m'a scotché au siège, et je peux vous dire que personne ne faisait le malin autour de moi ! Les personnages se révèlent intéressants pour la plupart, les acteurs étant très convaincants et les dialogues jamais inutiles. Frank Darabont a su éviter bon nombre de clichés et c'est tant mieux ! Ce film se démarquera principalement par sa fin, sans concessions, d'une violence psychologique éprouvante pour le spectateur. Le genre de moment où l'on n'a pas envie de sortir la blague du jour ... Pour être honnête, la fin du film m'a fait l'effet d'un coup de poing dans l'estomac ! Un degré de pessimisme rarement atteint au cinéma ! Pour finir, Frank Darabont a une nouvelle fois assuré derrière sa caméra, et c'est Stephen King qui doit s'en réjouir ! "The Mist" est un pur film d'horreur, particulièrement efficace et procurant des émotions très fortes. On frôle le chef-d'oeuvre ...