Public Enemies

8.2/10
Public Enemies

Critiques spectateurs

Réalisateur: Michael Mann Avec Johnny Depp, Christian Bale, Billy Crudup, Stephen Dorff, Giovanni Ribisi

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Portrait de VonRolling VonRolling
America's Most Wanted - 368 critiques
publié le 11/04/2013 - 18:32
6
 

Tirs à blanc

Public Enemies nous est présenté sous un aspect résolument "moderne". L'histoire semble rassembler des fragments de la vie de John Dillinger. Est-ce pour dissimuler un travail moins soigné suite à la grève des scénaristes ? En tout cas, j'ai dû m'accrocher pour suivre l'histoire, pas par sa complexité mais bien par sa composition. Quant à la façon de filmer, c'est très déroutant: les images sont trop nettes à mon goût et j'ai eu l'impression d'être un mec bourré qui assiste aux différents évènements sans être forcément bien placé. La bande annonce ne me fait d'ailleurs pas mentir.

Pour moi, le seul intérêt de cette mise en scène... expérimentale... est de rendre les scènes d'actions encore plus réalistes. Après, on aime ou on aime pas. Mais ce traitement ne m'a pas aidé à me plonger dans cette poursuite morcelée. Au final, j'en suis venu à me dire "tout ça pour ça ?"

Le film est tout de même garni de bons acteurs (après, on aime ou on aime pas Cotillard... j'aime pas beaucoup), les décors sont superbes et on sent la volonté de bien faire. C'est bien, mais pas suffisant pour me convaincre. Je lâche péniblement la moyenne.

Portrait de Lebreihz Lebreihz
I am Legend - 2308 critiques
publié le 07/03/2013 - 00:33
8
 

Cette vie n'a pas de sens...

C'est la dernière phrase du film que regarde Dillinger au ciné, qui s'intitule "ennemi numéro 1", avec clarck gable, avant que Dillinger ne se fasse descendre. C'est vrai qu'une existence pareille faite de cavales éternelles n'a....pas de sens !.Finalement le réalisateur plutôt que d'opposer un affrontement entre purvis et dillinger préfere se concentrer sur autre chose, et il a raison car le personnage de purvis est plutôt effacé à mon sens.Le réalisateur préfere nous décrire le portrait d'un homme qui ne vit que pour aujourd'hui ou pour demain. Se faire arrêter ou se faire descendre, il n'y pense pas, lui ce qu'il veut c'est vivre intensément, en défiant la loi. C'est là que l'on est en droit de s'interroger sur la mentalité criminel. Le gus qui braque une banque pour pouvoir crouter, c'est un pauvre type, celui qu'il le fait par plaisir, c'est un pervers !J'ai un ami d'enfance, qui a finit criminel, qui effectivement à braqué des banques par plaisir !, et ne me parler pas de milieu défavorisé là !. C'est exactement le cas de "johnny", d'accord il avait perdu sa mère étant gamin, le père était un peu rude, mais ça c'était dans les normes de l'époque, c'est là que l'on pourrait se demander si la tendance au crime est soit genetique, culturel, ou....Addictionnel, un peu comme les flics l'auraient mais à l'envers).C'est vrai que notre homme était charmant, gonflé, séducteur. Quand il pose son bras sur le proc qui a demandé sa tête (photo très connu, qui se trouve dans un historia consacré aux crimes de 1975), là c'est plus que limite. Ou encore il cambriole une banque, il dit à la fille "salut beauté c'est un hold-up". Il était bien différent de baby face nelson qui était un être sanginaire impulsif, ou de bonnie-and-clyde qui n'étaient jamais que des pequenots degenerés, petits braqeurs de merde meurtrier de sang-froid, pour des bulletins dérisoires. Et le pire c'est que l'homme plaisait au public qui voyait en lui un robin des bois des temps modernes. Pourquoi ? parce que on l'impression que lorsque l'on vole une banque, on vole de très gros voleurs légalisés (et encore plus gros voleurs quand il s'agit de l'état, qui est ni plus ni moins le "Capo di tutti", mais il vaut mieux que se soit l'état plutôt que qu'Al Capone"). mais ça il faut le dire aux employés qui sont mollestés (avoir un flingue braqué sur la tête vous devez vous en souvenir longtemps) ou qui se font descendre ! (ça faut le dire aux familles tiens). C'est pour ça quand un certain convoyeur de fond (qui lui par contre n'a pas pu assurer une cavale, par contre) pique un fourgon blindé, tout le monde hurle de joie ! (sauf moi qui ait hurlé de rire, quand j'ai appris qu'il s'agissait d'une fillialle de mon ancien employeur, qui pour faire des économies tire justement sur la ...securité, là les mecs ils ont passés pour des cons). Pour revenir au film, dont j'ai largement dévié (comme souvent), on oppose le crime organisé, à ce genre de crimine (qui tend a disparaître, parce que il ya plus de pognon dans les banques, le traffic de stup, ça rapporte mieux)l. Et le premier voit d'un très mauvais oeil le deuxième, because ça fait du tord aux affaires à cause des descentes de flics (volontaire évidement) dans les tripots, et aussi parce que le bénéfice est some toute dérisoire. C'est vrai aussi que la saga de Dilinger vient s'inscrire dans un contexte de grande insécurité qui a commencé en 1919, par d'une part une décision incroyable d'un certain Volstead qui décide d'interdire l'alcool ! (c'est comme si on interdisait la clope du jour au lendemain, imaginez un peu les conséquences), une sorte d'Américain puritain, comme les Usa, qui décidement est un pays bizarre, connaitrons dans les années 50 avec un fervent anti-communiste tout aussi puritain j'ai nommé mac-arthur (qui lui n'a pas interdit l'alcool, et pour cause, il aurait été très malheureux le gars), et d'autre part par une incroyable transphormation de la socièté Américaine. dans le film on sent bien que les autorités veulent combattre le crime par tout les moyens, quite même à s'asseoir sur les libertés individuelles, comme récement un certain George Bush (un autre puritain, qui a les mêmes vices que mc-arthur) qui n'a pas hésitez à faire ce que savez pour les raisons que vous n'ignorez pas. Donc dans le film on montre des agents du féderal bureau a tabasser la compagne de "Jhonny" (qui lui n'a jamais levé la main sur une femme), une séquence abjectge d'ailleurs sois-dit en passant. La question est : faut-il se montrer pareil que les criminels (ou les terroristes) pour en venir a bout ?. Les Etats-unis ont toujours été un pays violent, sauf....maintenant apparement, le crime reculerait beaucoup, est-ce du a la politique de la tolérance zero mis en place par le maire de NY ?, ou le recul de la pauvreté ?(contrairement à ce que l'on pourrait penser), en tout cas c'est un pays extraordinaire que j'admire beaucoup (on devrai en prendre de la graine sur certains cotés), malgré tout ce que je peut écrire.Et évidement arrive la fin, là on est en droit de se poser la question, devait-il être abattu comme un chien ?, après tout certes il avait tuer une fois, mais ce n'était pas un meurtre au premier degré (en même temps aussi quand on exibe une arme en public, on sait très bien que le coup peut partir), sans parler des passants blessés dans l'opération. C'est vrai que on peut faire cette comparaison avec "la neutralisation" de Mesrine (ou un certain terroriste assassin en 1995) en plein rue, qui a été zigouillé sans somations. N'importe comment sachez que defiez la socièté et la loi peut vous couter cher ! et force doit rester à la loi même si celle-ci est parfois mal faite comme dirait l'inspecteur Callahan.
Evil-pimp
America's Most Wanted - 642 critiques
publié le 09/08/2010 - 18:14
8
 

Mon avis

Contrairement a toi Dorian Gray je n'ai pas trouvé ce film ennuyeux johnny depp est bon dans le role ,le scenario tiens la route bien sur c'est tirée d'une histoire vraie ,je ne trouve le film lent ,la musique de otis taylor est geniale ,bref que du bon .
Portrait de DorianGray DorianGray
I am Legend - 1998 critiques
publié le 09/08/2010 - 10:26
8
 

Mwoui, ben, pas de quoi hurler au génie!

Tout le monde se targue de faire de ce film un véritable morceau de génie, un thriller noir exceptionnel, un trésor d'interprétation ... Hé bien, sous peine de passer pour l'emmerdeur de service, ce film m'a royalement fait chier ... pourtant il possède quelques avantages, mais sincèrement je ne les ai pas vraiment vu ici !!!

Tout d'abord, le scénario est bon, mais habituel ... il n'y a pas de quoi pavoiser ... une bonne course poursuite bien menée mais qui n'égale jamais Heat ... et qui ne vaut pas la poursuite d'un 'arrête moi si tu peux' ou encore la volonté de faire justice comme dans 'les incorruptibles' ... c'est un bon scénario, mais il reste moyen et attendu ... et surtout ... c'est LENT et ça manque de RYTHME ! Un comble pour un film de Michael Mann

L'interprétation ne casse rien ... alors que je devrais être heureux de retrouver Depp dans un rôle plus mesuré et moins dingue, l'inverse se produit et je m'emmerde royalement devant son interprétation froide et fâde ... contrairement à tous ici, j'ai été heureux de retrouver Christian Bale dans un rôle certes plus faible mais largement moins froid que celui de Depp ... quant à Marion Cotillard que tout le monde trouve formidable, je l'ai au mieux trouvée passable et réaliste, mais elle ne sera jamais pour moi une grande actrice ... française ou ricaine ... chacun ses goûts ...

Les reconstitutions sont assez bien faites ... même si certaines scènes auraient mérité un traitement autre que celui en images de synthèse ... les voitures sont correctes et même superbes, lkes costumes magnifiques ... mais faut-il s'en extasier nécessairement ? Michael Mann est quand même logiquement loin d'être un manche !

En clair et sans vouloir agresser personne (et retenez vos idées pour le forum, on est pas là pour s'invectiver !) ... j'ai trouvé ce film lent, ennuyeux, manquant de souffle, d'humour, de légèreté et surtout d'ambiance ... sincèrement, je me suis emmerdé en regardant ce film ... peut-être essaierai-je encore de le voir une autre fois pour rétablir mon avis ...

Portrait de Dante_1984 Dante_1984
I am Legend - 1124 critiques
publié le 26/11/2009 - 14:00
10
 

Meurs comme tu as vécu

Inspiré d’une histoire vraie, Public enemies relate la traque de John Dillinger, célèbre braqueur de banques, par le FBI. Qui d’autres que Johnny Depp aurait pu interpréter ce personnage charismatique, distingué et fascinant. Ces trois traits de caractères se retrouvent chez les deux personnages. John Dillinger est un gangster au sens de l’honneur très poussé. Impitoyable, il n’en reste pas moins un homme attaché à des valeurs, les siennes. Ne jamais abandonner un ami, utiliser la violence en dernier recours. Tels sont ses préceptes. Il agace les forces de l’ordre par son flegme et son assurance. Il évolue dans un pays en proie à une crise financière sans précédent. Tout du moins, jusqu’à nos jours. Le film est entièrement centré sur cet individu marquant. Sa présence nous envoûte. De ce point de vue, Michael Mann réussit le tour de force de nous mettre à la place des contemporains de cette époque en proie à des bouleversements irréversibles. La retranscription des années 1930 est troublante de vérité. Les détails sont nombreux. On reste admiratif devant une telle reconstitution de cette période. On reconnaît la signature du cinéaste à des fusillades nerveuses et intense. Le déroulement de l’histoire est un parfait équilibre entre action et réflexion. Seul ombre au tableau de cette remarquable restitution des évènements : Marion Cotillard. Un personnage fragile qui se repose entièrement sur son compagnon. Puis, comme par enchantement, elle résiste à un interrogatoire houleux face à un agent du FBI sadique et peu scrupuleux. En dehors de cela, Publie enemies est un film policier d’une qualité certaine. Michael Mann retranscrit cette époque avec brio et talent. Comme à son habitude.
Portrait de Nirvana Nirvana
Graine de psychopathe - 161 critiques
publié le 28/07/2009 - 13:47
10
 

La classe de Michael Mann

1933, la Prohibition s'achève alors que les Etats-Unis s'enfoncent dans la Grande Dépression. Alors que le crime organisé prend une ampleur préoccupante dans le pays, un gangster enchaîne les braquages de banques spectaculaires dans l'Indiana et dans l'Illinois, insaisissable et de plus en plus populaire aux yeux de la population, un peu à la manière d'un Robin des Bois en son temps ...

La reconstitution de l'époque a été étudiée très sérieusement par Michael Mann, et le résultat à l'écran est impeccable. Perso, j'aime beaucoup cette période aux Etats-Unis, et je suis un fan des films de gangsters de cette époque, notamment "Les Incorruptibles" de Brian De Palma, et "Dernier Recours" de Walter Hill ! Alors quand j'ai su que Michael Mann allait réaliser un film sur la traque de John Dillinger par le tout jeune FBI, j'ai littéralement craqué mon caleçon ! Les gangsters de cette époque avaient une réelle classe, et les limites de la modernité leur permettaient encore une certaine liberté d'action ...

Johnny Depp était l'acteur idéal pour incarner cette figure légendaire du folklore américain : un charisme fort, un incroyable culot, un naricissisme assez poussé, mais également une vraie fiabilité vis-à-vis de ses complices. Le genre de gangster que le spectateur n'a pas envie de voir finir derrière les barreaux, et encore moins se faire descendre ! Face à Johnny Depp, le toujours très bon Christian Bale hérite d'un rôle un peu plus ingrat, celui de l'agent Melvin Purvis, chargé de traquer l'ennemi public n°1. Un personnage forcément moins développé et moins attachant, mais surtout pas inintéressant ! En effet, par l'intermédiaire de l'enquête menée par Melvin Purvis, sous la houlette de John Edgar Hoover, Michael Mann souligne les lacunes criantes de la toute jeune agence fédérale à l'époque, composée de jeunes recrues inexpérimentées et trop peu formées à affronter des gangsters fortement armés et sans pitié ...

Visuellement, le film est une incontestable réussite, et dégage une réelle classe, un style fidèle à la réputation de son réalisateur. Les fusillades sont notamment d'un réalisme hallucinant ! La romance de John Dillinger avec Billie Frechette (excellente Marion Cotillard) est traitée avec justesse et sobriété, et Johnny Depp crève l'écran dans la peau du célèbre gangster, mémorable lors de la longue et puissante scène finale ... Cependant, l'ensemble pâtit d'un rythme un peu trop inégal, d'un montage peut-être un peu top linéaire et découpé, un peu à la manière d'un téléfilm finalement, ce qu'il n'est évidemment pas dans la forme, rassurez-vous !

"Public Ennemies" ne marquera peut-être pas les esprits comme un "Heat" en son époque, mais constitue tout de même un très bon film, magnifié par le charisme de ses personnages, la richesse de sa mise en scène, son intensité dramatique, ainsi que par la parfaite reconstitution d'une époque passionnante. Du très bon cinéma !

Portrait de Sly29 Sly29
America's Most Wanted - 253 critiques
publié le 27/07/2009 - 07:23
8
 

Attention attention...!!!

Ce post est susceptible de contenir des jeux de mots pourraves... tellement nazes que le commun des mortels ne pourrait le supporter. Seuls les initiés, les suicidaires, certain x-men et un certain rockab pouraient y trouver leur compte. si vous ne faites pas partie d'une de ces catégorie....fuyez sans vour retourner ou soyez damnés dans les méandres de la folie destructrice et pitoyable d'un esprit malade....

le film nous compte les périgrinations pleines de romantismes et de casses de banque de john dillinger. amoureux d'une jolie française et porchasser par john connor. Un passé filmé en numérique (dans l'état du maine ?) avec des acteur qui se montre présent et qui font leur boulot sans grande surprises. johny nous la joue malfaiteur au grand coeur, christian est plutot absens et marion joue sa candide...pas de quoi casser deux banques à un canard.

Mais le film se laisse regarder, voire voir. il y a de l'action, des moments poignants des chapeaux bref beaucoup achapoignants dans ce film.

Une bonne production de michael mann qui vaut de "coût" et qui restera comme un bon divertissement.

En bref ça depp pote c'est trop de la bale, même si marion me cours sur le cotillard.[br] bien a vous.

Portrait de Punisher84 Punisher84
I am Legend - 1390 critiques
publié le 05/07/2009 - 18:03
8
 

C’est un hold-up

Un film de Michael Mann est toujours un événement tant le bonhomme nous a habitué à de somptueux films, Il reste toujours l’un des meilleurs réalisateurs au monde au même titre que Steven Spielberg. Il est un grand homme car même avec un matériau défectueux, il arrive à donner quelque chose de fort et d’inoubliable. Je pense surtout au sous-estimé MIAMI VICE. Ici, il est question de John Dillinger. Grand braqueur de banques ayant sévit dans les années 30 au temps de la grande dépression. L’on pense immédiatement au SCARFACE d’Howard Hawks et surtout au MANHATTAN MELODRAMA de W.S. Van Dyke auquel Michael Mann fait ouvertement référence. Nous voici donc dans la plus pure tradition du film de gangster. Une histoire inspirée de la traque de John Dillinger par l’agent du F.B.I. Melvin Purvis. Je ne sais pas jusqu’à quel point le scénario prend ses libertés quant aux véritables faits qui se sont produits mais lorsque le film est terminé l’on sort de la projection avec le sourire. Le casting, exceptionnel, est la grande force de PUBLIC ENNEMIES. Johnny Depp est comme d’habitude excellent ! Sa nonchalance légendaire est toujours intacte. Même si l’on regrette que celle-ci fasse encore de l’ombre à ce pauvre Christian Bale. Mais pour une fois je trouve cela normal car il nous avait habitués à mieux. Et il n’y a pas de délicieux gâteau sans cerise ! Marion Cotillard à réussie son passage de l’autre coté de l’atlantique. Oubliez le paraît-il passable BIG FISH car c’est bien avec ce long-métrage que la belle peut enfin se targuer d’être une grande comédienne. Par contre, je trouve dommage que certains seconds rôles soient vite expédiés. L’on ne peut pas tout mettre dans un film de 140 minutes mais si les autres personnages avaient été traités comme le meilleur ami de John Dillinger, j’aurais encore plus apprécié le film. Malgré une longue durée l’on ne voit pas le temps passé tant la mise en scène est ponctué de morceaux de bravoures tous plus efficaces les un que les autres. A ce titre la séquence d’introduction reste la meilleure. C’est bien filmé, même parfois avec une caméra virevoltante et surtout crédible. Pas d’actions grotesques, téléphonées ou tirées par les cheveux. Par contre, je n’ai pas saisi ce que voulais nous dire la séquence finale. Ayant fait battre mon cœur à un rythme rarement atteint, elle reste trop intrigante et sans réponses pour moi. Un bon film avec des défauts qui n’égale pas le grandiose HEAT mais qui reste un bon crû à déguster avec sagesse.
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