Critiques spectateurs de Sardaukar

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Conan

Conan

… ce film est le somnifère ultime.

On va pas se le cacher, le ou les problèmes de se films se situent dans… tout. Interprétation, Histoire, Action, Bande originale, … rien ne tient la comparaison avec l’originale qui a fait de Arnold Schwarzenegger ce qu’il est. Ne perdez pas votre temps, regardez l’original il est TRES bien. En revanche, si vous êtes insomniaque, ce remake est LA solution. Personnellement j’ai bien dormi pendant et après…

Bref, passez votre chemin, y’a rien à dire de plus.

5.83333

Publié le 29 Novembre 2011

Time out

Time out

… à oui, c’est vrai personne n’a de montre dans ce monde où le temps est si vitale. Faudra quand même m’expliquer comment ils se donnent rendez-vous.

J’ai vu ce film le jour de sa sortie (soit il y a un moment) et heureusement pour moi, j’ai pensé à prendre des notes pour vous faire partager mon avis. Attendez, je me relis : étrange… inégale… répliques… politiquement correct…Bonnie & Clyde… Robin des bois… critique facile… simpliste… Jean Paul Gaultier… Garde du corps. C’est bon on commence :

Alors oui, je suis allez voir ce film d’anticipation porté par celui qu’on avait presque oublié Justin Timberlake et la bien trop présente Amanda Seyfried. « Même pas peur » Je suis de même moi.

Bilan en sortant de la séance? « Étrange » car ce film vous laisse sur votre faim. N’assumant aucun genre, porté par une histoire peu profonde, dans un univers survolé et interprété sans plus de conviction… Certains diront gâchis, d’autres tous justes divertissant. On se rend très rapidement compte que le film est très « inégale » dans son rythme et dans son propos. Voici donc une fable anti-néolibérale, où le prolétariat ne connaît pas la violence, pas le surpoids, pas les montres et s’habille chez de grands couturiers tel « Jean Paul Gaultier ». Ni film d’action, ni romance, l’on se perd rapidement dans se pseudo « Robin de bois » du futur porté par un couple de « Bonnie & Clyde » étouffé par le « politiquement correct ». La déception ne fait que s’accentuer avec le temps et c’est bien vite qu’on est sidéré ou totalement amusé par les « répliques » qui parsèment le métrage. (spoil)Personnellement, faudra m’expliquer comment on peut boire 10 ans d’un seul coup! Imaginer juste la taille du verre… Et n’oublions pas que dans cette univers le terme « garde du corps » ne s’applique pas à une personne entrainé et à même de protéger son client. Non, ici c’est le terme générique pour nommer un type en costume avec des lunettes noires et une oreillette qui vous suit… Rien d’autre. (fin spoil) En même temps que peut-on attendre de ce film, qui n’est qu’une « critique facile » et « simpliste » de la société de consommation… pas grand chose! Ou c’est à vos risques et périls.

Bref, un film trop peu… ou pas assez, c’est selon, qui ne convaincra pas grand monde et qui n’approche aucunement les chefs d’œuvres des années 80 tel Nineteen Eighty-Four.

7.46667

Publié le 29 Novembre 2011

En quarantaine 2 : Le Terminal

En quarantaine 2 : Le Terminal

…ce n’est pas un remake de REC 2.

Après avoir saccagé le 1er REC en réalisant une sous production sans âme comme seul les américains savent en faire, c’est donc avec soulagement qu’on réalise que sa suite n’a rien à y voir.

Nan, ici on tente une approche « originale » avec une histoire alternative inspirée par d’autres films (Plane Dead, 28 Jours plus tard, etc…) mais dans l’univers syndiqué et sérieux du téléfilm US. Du budget au FX, en passant par les acteurs vous trouverez ici réuni tous les clichés du genre. Sans surprise, sans rebondissement, sans saveur, sans génie, sans moyen… exit tout se qui fait l’intérêt du film de genre. Drôle peut-être ? Non plus, hormis une seule et unique scène (presque) « hilarante » de poursuite dans un dédale de tapis roulant… Gore ? Non, là aussi rien de ragoutant ou de jubilatoire… Effrayant ? Que nenni…

Bref, un téléfilm de 3ème partie de soirée, sans véritable intérêt, sauf celui de remplir les « cases » horaires vide.

5.77778

Publié le 29 Novembre 2011

Angle mort

Angle mort

… du Québec.

Ah quelle sont belles les femmes de mon pays …lalala… Pardon ? Ah oui, ma critique du film.

Premier sentiment à chaud : « mitigé » ! Oui, ce film m’a laissé perplexe plus pour son contenu, que pour sa forme. Comme pour toutes les productions issues de la « Belle Province », la technique est de qualité et n’a rien à envier aux productions US, bien au contraire. Ce qui surprend ici, c’est que malgré une première demi-heure, plutôt efficace, l’on se surprend rapidement à avoir plus d’intérêt pour la relation personnelle des héros, que pour la « chasse à l’homme » menée par le psychopathe… un comble pour le genre. Si vous cherchez des rebondissements, du gore et de la surenchère ? Vous serez déçu, car ici l’on fait dans le sobre tirant sur le réalisme, mais sans surprise pour un public habitué au genre. Ajoutez à ça, une certaine « originalité » dans les scènes, rapidement gâchée par des incohérences et l’opacité de l’intrigue, sans parler du final. Et pourtant, le film n’est pas mauvais et se laisse visionner sans déplaisir. Nous dirons donc que la vrai surprise se situe dans la brièveté de l’œuvre, à peine 1h19. On se dit qu’un bon 30 minutes de plus nu pas été du luxe pour nous permettre de nous attacher aux personnages et améliorer la lisibilité de l’ensemble. A se demander si Dominic James à vraiment pu réaliser le film qu’il souhaitait ou si d’autres considérations ont détérioré se qui devait être... Mais nul ne le saura jamais.

Bref, voici un film ni bon, ni mauvais, parsemé de magnifiques demoiselles, dont la (nouvellement) bankable Karine Vanasse, ainsi que le non moins bellâtre Sébastien Huberdeau, et qui saura vous occuper le peu qu’il dure…

6

Publié le 29 Novembre 2011

Les Immortels

Les Immortels

... un film de MERDE !!!

Parfois c'est en sortant d'un cinéma qu'on réalise le fossé qui existe entre « Européen » et « Nord américain ». En effet en sortant de cette séance, mes amis et les personnes autour de moi ont toutes trouvées ce film divertissant ! Et oui, ils considèrent que cette diarrhée filmique est divertissante... Excusez, mais un lavement chez le médecin est divertissant, nager nu dans une piscine remplie de seringues infectée est divertissant, manger du caca mou avec des baguettes est divertissant, s'éclater les couilles avec une masse d'arme de 2 mètres est divertissant, n'importe quoi d'autre et plus divertissant que cette chose portée à l'écran. Sérieusement « What the Fuck » ?! 115 Millions de $ pour cette grosse MERDE qui viole et souille n'importe quel esprit un peu sain qui oserait regarder se film avec une once de respect pour se qu'on nomme un film. « Wait... wait... sérieusement, J'ai passé un peu moins d'1h50 minutes de ma vie à suivre un étron cinématographique sans aucun respect pour rien, ni personne et sans une once de qqch pour le sauver. Toi qui t'apprête à songer à aller voir ce film, écoute les voix des dieux du cinéma qui parlent à travers moi : « RENONCE » ! Ici rien de sacré tu trouveras ! Je ne sais pas comment ils ont fait, mais ils ont réussi à rendre se film abjecte. Tu t'attends à de l'action façon « 300 » ou a un gros film viril ?! Oublie... les rares scènes d'actions, sans queue ni tête, n'en sont pas et sont bien trop rare...

Le film se veut racoleur en nous proposant du sang FXs à l'écran ?! Et ben c'est un « Epicfail », le trailer de la série Spartacus en propose des tonnes de litres en plus et mieux présenté. Vous vous attendez à une saga épique ?! Arfff, là aussi c'est épique, mais uniquement due au abîme où nous projette toutes les répliques de se métrage. Du cul ou des scènes un peu racoleuses ? Que nenni, c'est une production américaine moderne : « pour toute la famille ». Un certain respect historique ou une certaine touche de réalisme apporté au récit ? Et ben non, vous n'aurez jamais vu aussi toc dans tout se qui à existé auparavant dans l'Univers. Nous savons tous que la Grèce est au plus bas, mais quand même on a déclaré des guerres et condamné du monde pour moins que ça. Des effets spéciaux de fou ? Nan, rien... sauf le minimum syndical, qui est systématiquement mal exploité. L'Histoire avec un grand « H » ? Ben là accrochez vous je vais vous la résumer moi l'histoire :

(Attention SPOILERS) Donc nous sommes dans une Grèce de l'époque d'avant le Ipod où le cousin maléfique du célèbre Patrick (l'étoile de mer ami de Bob l'éponge) était maudit et tout fâché contre les dieux. Donc le méchant « tête de pince de crabe » décide de tuer tout le monde pour libérer les minuscules « Titans » avec une super arme trop puissante et secrète qu'elle est cachée dans immense roché bien visible dans une crypte de prière où il jure comme pas deux et où prie la maman du gentil héro beau gosse. Mais lui, le gentil, il n'a pas eu le temps d'aller au gym comme les acteurs de « 300 », alors il ne croît pas aux dieux, mais il aime sa maman. Donc la guerre, la violence, d'immenses armées sont en marche et s'entredéchirent (Mais ça vous le verrez pas, par ce qu'il devait manquer genre 115 autres Millions)... Mais pas grave au lieu de ça vous aurez des « super » combats épiques à 10 grands maximums. Rassurez vous on fera du copier coller pour donner l'impression de plus vers la fin... Donc le gentil il est pauvre, mais fils de Zeus, sans le savoir. Pis Zeus, il est malin, il s'est déguisé en un vieux monsieur qui est son ami et son mentor depuis qu'il est tout petit... C'est là qu'on réalise que Thésée il est pas fute-fute, parce qu'en 30 ans, il n'a pas changé le vieux... Bref, passons. Donc Le gentil il est gentil, mais les autres du village l'aime pas parce qu'il est pauvre... blabla.... Surgit un traître... blabla... le méchant « Hypérion » qui connaît les pouvoirs mystique de l'ascenseur et de la télétransportation tue la maman du gentil. Là faut ajouter aussi une oracle et ses amies... blabla... le méchant épargne le gentil... pour qu'il puisse s'échapper au milieu d'un désert de sel à pied sans eau avec des gentils amis et l'oracle, qui va forcement tombée amoureuse de lui. Pis là on découvre les gentils dieux non syndiqué du panthéon Grecque, Ils sont 5... les autres sont en grève, on sait pas pourquoi... surement qu'ils ont lu le scénario et on refusé de voir leur noms associé à ça. Donc y se passe plein de rien... on découvre que l'eau qui entoure la Grèce est faite d'huile (comprendre pétrole) et que les bateaux sont des coquilles de noix géantes. Pis encore du rien.... On arrive au pays Tartares ou les méchants et leurs armées innombrables vont attaquer le barrage « Hoover Dam », gardé par l'armée des gentils qui représente 10 à 20 figurants... Speech débile qui tombe à plat du héro... le méchant libère les tout petits rikikis Titans et c'est là que les Powers Rangers Gold qui sont en fait les dieux de l'Olympe entre en guerre. Les Powers Rangers meurent tous face aux méchants micros Titans sauf Zeus qui s'échappe en emportant avec lui le cadavre de sa ninjette de fille Athéna et le héro qui a tué le méchant ! Je vous passe les innombrables incohérences plus débiles les une que les autres, comme le refus de nous montrer l'ascenseur de service qu'ils utilisent tous pour se rendre en 10 secondes en haut du barrage... et le final où l'on découvre des milliers de dieux syndiqués qui affrontent des milliers de ouistitis titans, pendant que Zeus, refait le coup vieux au fils de Thésée...(Fin SPOILERS)

Bref, ce film est TOUT sauf DIVERTISSENT, et se permet le luxe d'être tellement raté qu'il nous empêche de rire de lui comme pour une bonne vieille série Z. Tarsem Singh, Henry Cavill, Mickey Rourke, Luke Evans, Stephen Dorff, Freida Pinto, John Hurt, Isabel Lucas, Kellan Lutz, Tucker Tooley, Jeff G. Waxman, Gianni Nunnari, Mark Canton, Tommy Turtle, Jeff G. Waxman, Ryan Kavanaugh, Charley Parlapanides, Vlas Parlapanides, Tom Foden, Eiko Ishioka, Trevor Morris, François Frey et Atmosphere Entertainment MM LLC mériteraient d'être passé au feu comme toutes les copies de cette grosse immondice qu'est « IMMORTELS »!

6.5

Publié le 23 Novembre 2011

The Tortured

The Tortured

… aux innocents.

Voilà un film « attendu » que je voulais voir depuis un moment. C’est donc naturellement que j’ai profité de sa diffusion télé pour enfin découvrir ce métrage. Disons le tout de suite, se film est fait pour le support télé, comprendre que c’est un téléfilm avec tout ce que cela comprend de contrainte technique et de casting. L’intrigue du film : Un couple dont l’enfant a été torturé et assassiné violement par un monstre, décide de se faire justice suite à l’incapacité à la justice des hommes de le faire... Un « Les 7 jours du Talion » en couple quoi. Mais plus sérieusement, le film ne fera pas temps appel à votre sens de la morale et ne vous proposera que de rares scènes de vengeances… et c’est là tout le problème. Car on a beau être sensible à l’intrigue ou tout simplement vouloir s’offrir son « SAW movie » des familles, le rythme et les grossières ficelles font que de nombreuses longueurs nuisent au film. Malgré tout, comme bien souvent la lumière et au bout du tunnel et c’est bel est bien la fin qui sauve l’ensemble.

Bref, un « film de torture léger » à voir à l’occasion et uniquement à la TV, mais principalement pour sa fin.

7.31818

Publié le 15 Octobre 2011

The Silent House

The Silent House

... Papas.

Qu'on se le dise : « En Uruguay on n'a pas de sous pour les films, mais on a des idées. »Que dire de ce film s'en trop vous en dire... difficile est donc ma tâche. Mais je m'y attèle quand même, aucune chance d'y échapper.

Au début je pensai titrer avec humour : « Horticulteur... métier à haut risque. » Mais se serai très (trop) réducteur. J'ai donc débuté ce film en m'attends à un classique Slasher des familles. Je fus vite conforté dans cette idée par le début du film, qui, on s'en rend très rapidement compte, a été réalisé sans le sous. Caméra à l'épaule, image peu retouchée, voir pas du tout... le réalisateur arrive pourtant à nous offrir certains bons plans et surtout à nous faire oublier qu'on est dans un film. Pour ma part, je partagerai le film en deux parties. Une première relativement longue, à mon sens, n'étant nullement sensible aux trames scénaristiques utilisées ici. En revanche, quand débute la seconde, beaucoup trop courte cette fois-ci, on réalise à quel point l'on nous à (biiiiiiiiiiip)... mais surtout, comme se film contient une part de génie. Il vous rappellera sans doute un chef d'oeuvre espagnole dont on attend le troisième opus. Et vous aurez raison ou tord, nul moyen de répondre sans questionner Gustavo Hernández, qui s'est bien gardé d'aborder le sujet. J'aimerai aussi souligner le jeu des acteurs, qui font la force de ce métrage et aussi le travail pour trouver la maison. Car autant les acteurs nous paraissent tous crédibles, avec une petite faiblesse de jeunesse. Autant cette demeure et se qu'on y trouve semblent totalement improbables et pourtant si vivant, un personnage en soi. L'ambiance sonore est particulièrement réussie, car je parle bien d'ambiance et non pas de musique. Mais sincèrement ce film vaut pour son histoire avec un grand « H ».

Bref, un film à voir! Si, si pas le choix...

5.71429

Publié le 11 Octobre 2011

Fast and Furious 5

Fast and Furious 5

… à Rio.

Que dire de ce 5ème film censé relancer la série… et ben avant tout, c’est une petite déception. Le genre du film a changé est c’est adapté pour devenir plus commun. Fini les courses folles entre amateur de belles carrosseries… Nan, ici l’on s’adapte à l’époque. Le Bling Bling et le Tuning sont mort depuis un petit moment déjà. C’est donc un tout autres univers qu’on nous propose ici, fini les néons bleus, la musique à fond et les jolies filles. L’ensemble a été remplacé par des gros bras et des voitures qui se suffisent à elle-même, avec une tendance prononcée pour la « muscle car ». L’autre (grande) surprise c’est de découvrir l’état de nos héros. Le temps passe est n’auras pas épargné nos acteurs, Vin commence à avoir de la bouteille, mais pas autant que Matt, seul Dwayne « The Rick » Johnson ne semble rien avoir perdu… Mais plus sérieusement, l’on sent que malgré certains passages se voulant « de folies » le rythme de l’ensemble est beaucoup plus ou plutôt trop lent pour un F&F. Mais restructurons le tout. Le scénario n’a jamais été la force de la série, mais en même temps, ça n’a jamais été pour ça qu’on regardait les films. Donc, comme déjà dit, ce n°5 sort du monde des courses, pour nous proposer une histoire qui mêle chasse à l’homme et braquage de banque. Mais rien de trop compliqué non plus, faut pas trop choquer le public cible. Ce qui nous donne une intrigue beaucoup trop classique et peu prenante qui ne passionnera personne. Pour les acteurs, l’on nous offre ici une sélection issue de la série en y ajoutant des nouveaux venus. Mais force est de constater qu’aucune alchimie ne se crée. Le décor à changé, fini la city US, ici on se veut à la page : on est à Rio. Malheureusement, le scénario et l’image ne profite nullement de la richesse de cette ville, ainsi l’on se rend vite compte qu’ici ou ailleurs… c’est du pareil au même. Attaquons maintenant l’essence de se genre de film : les courses endiablées (et nullement réaliste) qui on fait la franchise. Là aussi, vous serez très vite déçu. Malgré plus de 2h, le métrage ne fait qu’effleuré le sujet et nous propose plutôt un genre de Taxi, sans osé briser autant d’automobiles. Les FXs me direz-vous ? Et ben, là aussi c’est un peu le parent pauvre. Étant habitué à une surenchère qui explosait au visage. Le FX discret surprend et laisse un sentiment de manque… d’où, forcement, une déception. Ajouter à ceci, ici et là, des petites choses qui rappelles la série et vous resterez sur votre faim. Musique ? A oui, ici aussi rien d’emballant. Un peu de musique locale et de rap… rien de vraiment innovant. Pour achever le tout, la fin ne sert qu’à préparer le 6… avec une révélation qui saura nous faire plaisir.

Bref, voici un film qui change de rythme et de genre, sans vraiment se renouveler. A voir, mais ne vous attendez pas à grand-chose, sinon vous serez terriblement déçu.

8.72727

Publié le 6 Octobre 2011

Green Lantern

Green Lantern

… t’es souvent surpris en bien.

A sa sortie au cinéma, j’ai boycotté ce film suite à se que présageait la bande annonce. C’est donc avec des attentes très basses et prêt à démolir cette œuvre filmique, que j’ai appuyé sur play.

Première réaction, ce n’est pas si mauvais et les acteurs ne sont pas à abattre sur place ! Le jeu d’acteur de Ryan Reynolds est au minimum syndical et Blake Lively arrive tout juste à nous faire oublier sa Gossip Touch. Et les méchants me demanderez-vous ? Base de tout bon film de super héro (ou non), ben c’est là que le bas blesse. On se rend très vite compte que comme pour l’ensemble du film on ne fait que survoler l’œuvre originale… Tout est traité de façon très rapide et superficiel, on ne rentre jamais dans les détails… se qui à pour effet de ne jamais rendre aucun personnage attachant et de trouver toutes les situations sommes toutes assez communes. Une scène en remplace une autre et les 2h passe très vite… du ciné « fast food » qui nous laisse sur notre faim. Mais après tout, en sachant ceci, on se dit que le film n’est ni mauvais (façon Thor), ni emballant (comme Batman). C’est un divertissement de masse aux FXs réussis et au scénario de comics pour « toute la famille ». Pas de sex, pas de violence, pas de etc… que du TRES politiquement correct, qui ne fait qu’effleurer ce qu’est Green Lantern.

Bref, un « bon film popcorn pour tous », à voir... à l’occasion.

7.14286

Publié le 6 Octobre 2011

Scream 4

Scream 4

…rigolade. Et oui, enfin ! J’ai enfin vu le film qui fit un tel Buzz à sa sortie. Bilan : j’ai beaucoup ri ! Sérieusement, du début à la fin c’est de la franche rigolade. En revanche, pour le reste… ben pas grand chose en fait. Pas de suspense, pas de sursaut, pas d’effroi,… On remarque vite que Wes Craven se fait plaisir à nous offrir ici un bon film… mais sans aucune prise de risque. Rien de bien surprenant au fond, ni dans la forme, ni dans le fond. Mais avec une liberté de ton, au niveau du texte. Et c’est là qu’ils se sont fait plaisir ! Anciens acteurs totalement disparus, nouvelles poussent issus de la télé et guest ont du jouir de la richesse de telles répliques (possiblement) culte. Des films pop-corn, aux médias sociaux, en passant par la téléréalité, la mode des remakes et la célébrité facile… tout le monde en prend pour son grade. En même temps, Wes Craven étant qui il est, il peut largement se le permettre. Mais revenons au film. Hormis le côté « comédie », nous voilà devant un film « à l’ancienne ». De l’intrigue, à la construction en passant par les scènes de peur… on remarque vite que les années 90 sont déjà très loin… Et ceci, même en citant « les nouveaux » standard de la génération Geek & Guantanamo. Donc ne nous mentons pas : ce film est un bon « popcorn movie » c’est tout. ! Et même un peu longuet… à la fin.

Bref, voilà un « Wes Craven comédie » qui est aussi une bonne occasion pour la nouvelle génération de découvrir « un film à l’ancienne » et qui fera le bonheur de ceux qui ne supporte pas la mouvance « torture porn ». Je me permets même de citer une réplique du film, en terme de conclusion : « Ne pas oublier la 1ère règle du remake: on ne plaisante pas avec l’original. »

7.61017

Publié le 29 Septembre 2011

No Mercy

No Mercy

… pour un cercueil de pétale coréen.

Avant tout, merci à « warhammer » ci-dessous (et les autres ailleurs) pour sa critique, qui m’a donné ici l’envie de découvrir ce film. Et bien m’en à pris !

Mais commençons par le commencement : ne vous arrêté pas à la comparaison avec « Seven » ou « Old Boy », que je peux parfaitement comprendre, mais qui serait très réductrice. Nous avons ici, un métrage à l’identité propre est à la morale très coréenne. Des mœurs aux liens entre les personnages, en passant par l’environnement. On baigne dans la culture coréenne. Malgré tout, il reste très accessible au grand public et le doublage français, surprise, et de qualité. Mais parlons du film : ne vous attendez pas à un film révolutionnaire ou a des scènes de tortures, voir de violences gratuites, se serait se tromper. Non, ici c’est le classicisme qui ressort et un rythme assez lent ma foi. Pourtant, l’on ne s’ennuie pas pendant ses 2h, au contraire, bien au chaud dans nos certitudes, l’on se laisse prendre par l’histoire. Plus qu’un scénario, c’est une, ou plutôt des histoires qu’on nous compte... telle une piqure mortelle d’une innocente fleure, vous ressentirez au début un petit picotement paraissant presque superficiel. Mais plus le temps passe et plus le poison se distillera jusqu’à vous foudroyer à la vue du générique. Se film ne dispose pas d’un budget faramineux, ni même d’un casting de fou et pourtant rien n’y paraît. Les acteurs sont bons, les effets (spéciaux) aussi et le tout accompagné d’une image de qualité, sans oublier la bande son. A cela s’ajoute un réalisme à 100.000 lieux de se qu’on à l’habitude de voir. Sincèrement je pourrais en parler longuement, mais j’ai bien trop peur de trop vous en dire.

Bref, un film à voir ABSOLUMENT.

PS: Ce film vaut un "9" facile, à chaud, quand le générique se termine. Mais après réflexion, je lui met un "8" car contrairement à d'autre, c'est le genre de film géniale qu'on ne peut voir qu'une foi...

8.25

Publié le 24 Septembre 2011

La Balade de Crazy Joe

La Balade de Crazy Joe

… perte de temps !

Et oui, voilà un DTV qui vous donnera une furieuse envie de zapper ! Et pourtant le début semblait prometteur, où plutôt ses répliques. Car en effet, les dialogues font souvent mouches en « bitchant » des films connus ou encore en se jouant de la réalité et de certains clichés. Mais malheureusement, un bon scénario n’est rien sans une bonne interprétation ! Et comme à l’habitude les acteurs « connus » comme Danny Trejo ou encore Fred Williamson ne sont présent que pour le chèque de paie, ainsi que pour ajouter de l’attrait à la couverture… et c’est tout. Sincèrement c’est avec toute la bonne volonté du monde que j’ai donné une chance à ce film, mais après 20 minutes j’étais déjà occupé à faire de quoi d’autre tellement ce métrage et sans intérêt. Même en se forçant et en avançant les séquences pour voir si la suite pouvait être meilleure… mais rien.

Bref, ce film est, à mon sens, un gâchis sans nom… à éviter.

4

Publié le 16 Septembre 2011

L'Appât

L'Appât

… de la comédie française.

On ne va pas se le cacher et écrire pour ne rien dire : ce film est nul ! Un point c’est tout.

Les canadiens et plus particulièrement les québécois sont reconnus pour leur technique, toujours impeccable, la seule chose ici qui justifie la note de "3". Pour le reste, c’est du grand gâchis sans saveur. Après le film fortement inspiré des Etats-Unis, le Québec s’inspire de la comédie d’humoriste français. Et mal leur en à pris… Guy A. Lepage et "plate à mourir" et Rachid Badouri simplement pas drôle. Le scénario ne sauve absolument rien et les dialogues noient le tout… dans un verre dos. En voyant ceci,. L’on se dit que les québécois devraient rester dans le domaine qu’il maîtrise : la comédie québécoise !

Bref, à ne pas voir… même si vous êtes fan de Guy A & Badouri.

4

Publié le 16 Septembre 2011

The Roommate: la Coloc

The Roommate: la Coloc

… à l’âme sensible.

Et oui nous voilà devant un film de « meilleures amies » qui vous rappellera furieusement « J.F. partagerait appartement ». Même postulat ou presque, mais adapté à l’univers universitaire… Mais sans la réussite du plus ancien ! Ce film, « ne fait pas mouche », bien au contraire. En même temps, je ne représente pas vraiment le public cible de celui-ci, soit la « jeune fille en fleur, qui veut se donner de petites frayeurs ». Et c’est bien là le problème ! On a beau se rendre vite compte que l’univers « bonne copines », punch alcoolisé, petit copain, meilleures amies lesbiennes, chaton, etc… sont à l’attention d’un public bien précis. Mais dans une version totalement édulcorée, qui enlève tout goût à l’ensemble. Il n’y a absolument rien pour choquer la ménagère de… tout âge. L’Histoire, plus que prévisible est portée par une série de « stars du petit écran » (Gossip Girl, Vampires Diaries,…) et de « seconds couteaux » (One Tree Hill,…), qui sont mises en scènes dans des actions « plates à mourir ». Les situations clichées n’autorisent aucunes surprises et chassent rapidement le moindre intérêt que pourrait y porter le spectateur. Systématiquement on ressort déçu de se qui aurait pu être une « originalité »… lassant à la longue. Ajouter, je le répète, cet univers faussement jeune et totalement aseptisé et vous venez d’achever la dernière once d’espoir. Sincèrement, je ne m’attendais pas à grand-chose… mais quand même pas à rien. J’ai même été surpris de découvrir que le scénariste et le réalisateur étaient des hommes, tellement le film sentait le Hello Kitty (faussement) Trash. Le tout servit par une technique rodée, qui se risque à 2/3 plans un peu travaillé et porté par une bande son pop rock.

Bref, un film à voir à la TV, réservé à un public féminin prépubère au cœur fragile ne connaissant rien à la « vrai vie » et au « cinéma » !

7.66667

Publié le 13 Septembre 2011

Homecoming

Homecoming

Et sans émotion.

Bon on ne va pas se le cacher et écrire pour rien, ce film est d’une platitude rarement vue. La faute au scénario, à ses acteurs et tous ceux qu’on peut blâmer. Sérieusement l’histoire vous sembleras vue mainte et mainte fois avec raison. Ajouter à cela un jeu d’acteur sans expression qui ne provoque absolument rien de rien chez le spectateur… On n’arrive même pas à rire d’eux. Quand au casting… Saha B. prouve ici encore une fois son incroyable et unique talent d’actrice dans l’eternel scène où elle pleure. Le reste est à jeter et je ne vous parle pas des scènes d’actions ou de « tortures » qui n’évoquent aucunes prémices de sensation pour tout être vivant.

Bref, passez votre chemin, sauf si vous êtes fan de… ou que vous n’avez absolument rien d’autres à faire. Mais surtout, ne l’acheté pas, ne le louez pas, ils sont capables de faire la suite.

Le genre typique de film qu’on regarde à la TV, quand on a rien de mieux à faire.

6

Publié le 7 Septembre 2011

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