Critiques spectateurs de Fantho

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Sortilège

Sortilège

Nouvelle variation sur le thème de La Belle et La Bête, Sortilège se déroule dans un univers dont la cruauté n’a rien à envier à celle de l’époque du conte originel : l’adolescence. Si le contexte était propice à une adaptation intéressante, le résultat est loin d’être à la hauteur. On est devant un déroulement très convenu tant dans le scénario que la réalisation, linéaire au possible, prévisible de bout en bout. C’est très frustrant de se rendre compte qu’on devine encore la fin dès les premières minutes, chose qui serait pardonnable si certains passages généraient une once de surprise, une belle émotion, de l’empathie pour le pauvre bougre. Que nenni !! On aurait aimé un peu de fantaisie, une pointe de noirceur, une fin à contre-pied ou en demie teinte. Ben non… on n’a rien qu’un ensemble indigeste de mièvrerie assaisonné de dialogues creux et de poncifs en tous genres. Attention, ce qui suit contient des spoilers. Mais vu que tout se devine aisément, les détails n’ont de spoilers que le nom…

Le film s’ouvre directement sur un jeune homme bien habillé, en plein discours électoral, crachant son venin sur les basses classes et les physiques disgracieux. Une diatribe consternante sur le fait qu’il vaut mieux être riche, beau et bien portant que pauvre, moche et valétudinaire. Le ton est donné, tout sera du même acabit : l’ambigüité n’est pas de mise, ne pas attendre la moindre subtilité.

Première partie : on vient donc de nous présenter Kyle (Alex Pettyfer, très bon dans Numéro Quatre mais complètement à la ramasse ici avec sa moue boudeuse), 17 ans, petit con puant de prétention, fils à papa, plein aux as, centré sur lui-même et désagréable. Mais pourquoi est-il aussi méchant ?? Ben son pôpa, présentateur célèbre du jt, il a jamais de temps à lui consacrer et forcément, Kyle il est triste et il se venge en pourrissant la vie ses camarades de lycée. Ben oui, quoi ! C’est bien connu, tous jeunes dont les parents sont peu présents sont particulièrement imbuvables ! C’est Freud qui l’a dit. Ou Confucius… je ne sais plus. Son passe-temps favori, à Kyle, c’est d’humilier son prochain. Enfin… sa prochaine pour être exacte. Mais, et c’est vraiment pas de bol, sa cible favorite, gothique de son état, s’avère aussi être une sorcière qu’il faut pas trop déconner avec. Et un jour, la Kendra (Mary Kate Olsen, une vraie tronche de psychopathe et paradoxalement, le personnage le plus intéressant malgré son tout petit temps de présence à l’écran), elle en a plein le cul de se faire tourner en ridicule. Faut dire aussi que Kyle l’a invitée à une super boom et qu’elle était vachement contente. Sauf qu’en fait c’était juste pour se foutre de sa gueule et elle est tombée dans le panneau c’te conne ! Alors mémère elle pète un câble, elle est hyper furax. Kendra, elle est comme les yaourts Biiiiiiip, ce qu’elle fait à l’intérieur se voit à l’extérieur. Elle jette un sort de la mort qui tue à Kyle : toute la laideur de sa personnalité va apparaître sur sa figure. Et PAN ! en deux temps trois mouvements, le bouffon devient super moche de chez moche, avec des zébrures sur la gueule, le crâne lisse, des tatouages bizarroïdes sur les bras, toussa toussa. Même que Quasimodo, à coté, c’est Don Juan ! Heureusement, Kendra elle est pas complètement dégueulasse (contrairement aux yaourts) et elle lui laisse un espoir : monsieur a un an pour trouver quelqu’un qui l’aime sinon il gardera sa tronche de mort ad vitam eternam. Moi je dis une chose… qu’il se plaigne pas trop quand même, le petit con, parce que dans la vraie vie, si t’es moche t’as pas d’autre choix que de le rester et si en plus t’as pas une tune ben… tu l’as dans le cul-lu-lu !! Précision : entre la poire et le café, les scénaristes auront pris soin de faire intervenir Lindy (Vanessa Hudgens qui ferait vraiment mieux de se contenter de coucher avec Zach Effron…), une nunuche monumentale qui est la seule à voir un peu de bon dans Kyle, là où tout le monde voit du pourri. Elle l’a vu et lui a parlé 3 secondes, mais ils sont ensemble sur une photo. C’est sur que « bonjour », « t’as gouté le ponch ? » et « passe-moi le sel » ça suffit largement pour sonder le fond d’une âme… bref ! Il fallait bien trouver une cruche de service pour trouver un intérêt à Kyle avant qu’il ne devienne moche parce que sinon il aurait été grave dans la merde !!

Entracte : je mets sur pause, mon envie de pipi est trop pressante et le film de toute façon peu transcendant.

Deuxième partie : impossible d’ignorer les transitions, quand je vous dis que c’est d’une linéarité consternante… ! Donc, Kyle est devenu un boudin tête de schnok. On nous rappelle à quel point sa relation avec son pôpa le rend malheureux, via une crise d’égoïsme aigu du dit pôpa. Hé oui… Depuis qu’il devenu pas bô tout laid, son pôpa il l’aime encore moins et même qu’il est carrément gêné d’avoir une telle mocheté en guise de fils. Nan mais la TEUHON quoi !! Alors pôpa, il veut quand même faire son gentil et il lui achète une maison pour qu’il soit bien (mais loin de la ville, quand même, faut pas déconner non plus !), avec un précepteur aveugle qui joue aux fléchettes (Neil Patrick Harris pas convaincant pour un sou), et la bonniche qui s’occupe si bien de lui alors qu’il a toujours été immonde avec elle. Elle a besoin de fric pour les gamins qu’elle a laissés au pays, faut la comprendre. Moi, pour mes 17 ans, j’ai eu un chèque de deux cent francs et une crème contre l’acné (alors que j’ai jamais eu d’acné…). Comme quoi, c’est comme pour les rillettes, on n’a pas tous les mêmes valeurs. Kyle il est tout malheureux d’être moche, et il se sent seul et délaissé de tous parce que ses amis ils le croient en cure de désintox ou en taule !! Alors ça… ?? Curieusement, on lui devine alors un penchant pour le maaaaal qui n’avait jamais été évoqué avant. Donc comme il est tout seul et tout perdu, il traine ses guêtres la nuit, avec sa capuche sur sa tête. Comme ça personne il peut le voir qu’il est pas bô. Et il commence à suivre Lindy sans se faire voir (un mec avec une capuche sur la tête, qui se cache derrière les murs, ça passe totalement inaperçu, tout le monde le sait !). Il a quand même du bol, il ne se fait pas ramasser par les flics ! On notera au passage que notre âme en peine a un portable qui ne sonne jamais. Sympa les supers meilleurs copains qui ne cherchent même pas à prendre des nouvelles au détour ne serait-ce que d’un petit sms. Ce détail restera le seul point réaliste et cohérent de l’ensemble. Ha bah oui, c’est peu… Mais je vous l’avais dit, faut pas attendre grand-chose.

Entracte : interrogation de votre humble rédactrice quand au fait de s’envoyer un esquimau à la vanille ou un cône à la noix de coco. Je commence à bailler aux corneilles, là… Les pleurnicheries du boudin sur son sort, alors qu’il n’a pas vraiment volé ce qui lui arrive et qu’on sait très bien qu’il ne va surement pas rester moche, commencent à gonfler. Je sens poindre le sommeil mais, indulgente (ou débile ?), j’espère encore un regain d’intérêt.

Troisième partie : ben… question intérêt, là pour le coup c’est chute libre. De très moyen, le film bascule dans le chiant. Le problème (techniquement, l’intégralité du film est un problème, mais bon, passons…) c’est que tout se met à s’enchainer trop vite et surtout en dépit du bon sens avec accumulation d’incohérences crasses et éclipses scénaristiques. Forcément, après 2 tiers de film à avoir voulu faire réfléchir (pfff) le spectateur sur la notion d’être et de paraitre et le faire s’apitoyer sur le sort d’un connard congénital, il ne restait plus beaucoup de temps pour le reste (la romance, donc…). Et 3 heures de film, ça aurait été beaucoup trop long (déjà qu’on a du mal à croire qu’il ne fait qu’1h26 tellement on se fait chier…). Donc, à la queue-leu-leu et sans fil reliant les scènes entre elles, on va assister au sauvetage héroïque de Lindy et de son père dans une ruelle sombre où qu’on voit pas grand-chose (Kyle se prend pour Spiderman sauf qu’Alex Pettyfer a pas compris qu’il n’y a QUE dans Numéro Quatre qu’il a des supers pouvoirs…), à l’hébergement sauvage de Lindy chez Kyle qui se fait appeler Hunter (c’est sur que Maurice ça fait tout de suite moins classe…) et ressemble plus à un tortionnaire qu’à un bon samaritain (la cagoule noire n’aide pas…), aux tentatives de KyleHunter pour séduite la belle en lui offrant des cadeaux hors de prix qu’elle snobe à chaque fois jusqu’à ce qu’il lui construise une serre sur le toit et qu’elle tombe tout d’un coup amoureuse de lui parce qu’il lui a écrit une lettre de 75 pages qu’elle lit dans le train alors qu’il ne voulait pas qu’elle la lise mais qu’elle la lit quand même. Waaaaaaaaa !!! Y’a des trucs entre deux, hein, genre la scène du zoo où elle découvre que le moche qui ne lui fait même pas peur est un pauvre gamin qui s’est toujours senti délaissé (sortez les violons…).

Alors forcément, vu qu’elle l’aime depuis qu’il lui a récité le poème « Prendre un coke avec toi » (oui oui… !!) et qu’elle s’en fout qu’il ait une tête de benne à ordures et qu’elle le lui dit juste avant que ne sonne le dernier coup de minuit et que sa bagnole ne se transforme en citrouille (je confonds avec autre chose, là, je crois…), bah il redevient bô comme avant. Sauf qu’elle ne le voit pas quand il se transforme (nous non plus, d’ailleurs, l’effet flouté est risible). Mais forcément elle sait tout de suite que c’est lui et elle lui roule une grosse pelle sur le trottoir !

Générique de fin. Wéééééééé !!! Je vais pouvoir aller dormir, j’ai les yeux qui se ferment déjà tout seuls.

On fera gentiment abstraction du fait que la recherche d’amour de Kyle ressemble bien plus au besoin impérieux de redevenir beau qu’à une quête de rédemption (problème de montage, d’écriture, les 2 ??). Ben oui, faut pas se leurrer : ça transpire lamentablement tout le long des 2 derniers tiers du métrage, pépère il pense surtout à sa gueule, il veut redevenir ce qu’il était !! Bien sur, il a pas jeté son dévolu sur un thon sinon y’aurait eu moins de spectateurs dans la salle, mais dans l’idée ça aurait pu être la première nana lui portant un tout petit peu d’intérêt. C’est à lui qu’il pense en priorité, mesdemoiselles, pas la peine de prévoir des sous-vêtements de rechange pour après la séance. Du coup, toute velléité romantique et morale tombe à l’eau ! Plouf ! Cerise sur le gâteau : un tonnerre d’applaudissements pour les scénaristes ou maquilleurs, ou tout le monde en même temps pour la tête de pignouf dont Kyle est affublé dans sa période trop moche. Nan, vraiment les gars, vous avez fait fort ! Là où une bonne grosse difformité physique aurait été naturelle et du plus bel effet (en considérant qu’elle soit réussi, cela va sans dire…), vous avez préféré opter pour un maquillage qui oscille entre ridicule et vraiment très ridicule. On a surtout l’impression que le garçon s’est peinturluré la tronche pour aller fêter Halloween. Il est pas moche, en fait, il est juste grotesque !

1 point pour l’affiche que je trouve très jolie et 1 point pour Mary Kate Olsen que je ne trouve pas jolie du tout mais qui tire son épingle d’un jeu soporifique. Suis même pas sure que les minettes de 12 ans qui ont les hormones qui se réveillent vont réellement y trouver leur compte… c’est dire !

4.88889

Publié le 31 Août 2011

Primale

Primale

Pas été scotchée. Des amis qui partent en forêt, une malédiction bizarroide, pfffff... Vous me direz, c'était écrit sur le pitch du dvd, je n'avais qu'à pas l'acheter. Ben oui, mais parfois on tombe sur une petite pépite. Raté, là je suis tombé sur un vulgaire cailloux. Ya rien de transcendant là-dedans. Les maquillages ne sont pas à la hauteur et les personnages peinent à inspirer la sympathie. Et c'est longuet... Si on tient vraiment à voir une allégorie de l'humain et son état sauvage, The descent est dix milles fois plus recommandable.

7.33333

Publié le 27 Août 2011

Devil

Devil

Très bonne surprise que ce film dont je n'attendais absolument rien. Des gens coincés dans un ascenseur, les morts s'enchainent, mais qui c'est y qui fait le malin là dedans ?? Un peu tiré par les cheveux, certes, mais on se laisse prendre au jeu. Une grosse majorité du casting surjoue un peu mais le tout est pas trop mal orchestré. Nan... vraiment, ça se regarde sans déplaisir.

6.79167

Publié le 27 Août 2011

I Want to Die

I Want to Die

1h13 de film, c'est au moins 72 minutes de trop... Le cheminement en lui-même n'aurait pas été inintéressant si on ne retrouvait pas de ci de là un pompage sur Saw (devenu lassant à force d'y avoir droit dans tous les torture porn) et si les cadrages et la caméra à l'épaule ne filaient pas le mal de mer au marin le plus aguerri. Sérieux... question caméra épileptique, à coté Rob Zombi fait office de petit joueur !! Pour résumer : c 'est super moche et pas super bien joué. Dommage parce qu'il y avait de l'idée.

3.85714

Publié le 27 Août 2011

Scream 4

Scream 4

Mouais... Scream 4 n'est pas vilain en soi mais joue trop la carte "références" et s'enlise tout particulièrement dans l'auto-référence. Du coup, avec un minimum de jugeote et de réflexion, le Whodunit perd vite son charme car le dénouement s'avère être sans réelle surprise. L'intro est trop longue et pas franchement accrocheuse et la fin est à la fois trop téléphonée (mouahahaha, avec Scream, vous me direz, c'est de circonstance !) et trop copié/collé sur le 1er.

Bref... un Scream surement très appréciable pour découvrir la franchise ou la continuer si on n'était pas un grand fan, mais sommes toutes assez moyen pour les vrais aficionados. Qualitativement parlant, je le situerai bien en dessous du 2 mais un poil au dessus du 3 quand même.

7.61017

Publié le 1 Mai 2011

The Experiment

The Experiment

Encore un espèce de remake américain sans grande utilité tant le film original "Das experiment" demeure d'une qualité nettement supérieure. Là où Oliver Hirschbiegel nous offrait une montée subtile et crescendo vers l'inévitable dans une ambiance lourde, Paul Scheuring se contente d'aligner des scènes pompées sur son modèle sans réelles transitions, va trop vite en besogne (ce qui donne un coté particulièrement capillo-tracté à l'ensemble) et nous gratifie d'une scène finale, certes radicalement différente de l'originale, mais totalement incompréhensible et se clôturant par une niaiserie horripilante. A voir par curiosité pour ceux qui connaissent déjà mais pour ceux qui découvrent, je conseille vraiment de visionner le fim d'Oliver Hirschbiegel (j'aurais d'ailleurs jamais pensé donner autant de crédit à un film allemand...).

7.11111

Publié le 10 Décembre 2010

Boys Don't Cry

Boys Don't Cry

Difficile de sortir indemne de la vision de ce film très dur mais doté d'une puissance émotionnelle rarement atteinte. Hillary Swank livre une prestation phénoménale dans un rôle très éprouvant et est tellement habitée par son personnage qu'au bout de 10 minutes, on en oublie presque que Brandon est une femme. "Détail" qui nous est rebalancé en pleine gueule, sans aucun ménagement, lors d'une scène où, en temps qu'être humain doué de cœur et de raison, on ne peut que ressentir de la colère et une empathie tellement forte que ce sentiment perdure encore longtemps après avoir retiré le dvd du lecteur. Un film d'une intensité extraordinaire qui prend aux tripes comme peu arrivent à le faire mais qui nécessite d'être bien dans sa tête au moment d'appuyer sur "play".

10

Publié le 10 Décembre 2010

Saw 3D : Chapitre Final

Saw 3D : Chapitre Final

Là où Saw 5 et 6 péchaient par manque d'à peu près tout, ce soit disant dernier volet accroche grâce à un... disons scénario qui ne part plus dans tous les sens et ne s'embarrasse plus de chichi et grâce à un retour aux pièges bien cracra. En ce sens, on se rapproche plus du numéro 3 'le plus réussi, à mon avis, après le 1). Pas sure que la 3d apporte grand chose mais pourquoi pas puisque c'est la mode. Par contre, appeler ce septième numéro "chapitre final" c'est nous prendre pour des cons tant les dernières minutes ouvrent la porte toute grande à une suite.

7.1

Publié le 7 Novembre 2010

Freddy: Les Griffes de la Nuit

Freddy: Les Griffes de la Nuit

Et voila, encore un remake inutile. C'est pas mauvais en soi mais les moyens modernes n'arrivent pas à surmonter le matériel d'origine. Certes le visage de ce nouveau Freddy est vraiment moche mais est bien moins effrayant que celui de 84. Forcément, l'effet de surprise est absent mais ne trouve aucune compensation dans une interprétation qui, sans être mauvaise, n'a rien de très original. Et, bon sang, ces changements d'éclairage pour nous dire qu'on n'est plus dans la réalité... c'est d'un ridicule. A l'époque, la frontière était visible sans qu'on nous la montre et on se posait quand même la question lors de certains passages, maintenant il n'y a plus de doute possible. On vous prend par la main du début à la fin. Et puis... Etre fan d'un tueur d'enfants, quand on y pense, c'était déjà un peu glauque mais j'ai fait avec. Mais être fan d'un tueur d'enfants ouvertement catalogué comme pédophile, là je n'adhère plus. Psychologiquement, c'est juste impossible. Pousser l'accusation sans laisser d'ambiguïté là où personne n'avait jamais osé (à juste titre) le faire était un pari risqué et pour moi, c'est ce qui fait définitivement pencher la balance du mauvais coté. Surtout qu'en plus, coté humour, noir ou en couleur, c'est zéro !

Reviens Robert... (ha non, pas Pattinson, hein, je parle d'Englund !!)

6.125

Publié le 10 Mai 2010

Twilight - Chapitre 2 : Tentation

Twilight - Chapitre 2 : Tentation

à chiottes !!! Vous savez, le truc qui essaie de faire croire que l'atmosphère sent bon alors qu'en fait ça chlingue grave et qu'un final ça pue encore plus ? Bah Twilight 2, c'est tout à fait ça. On vous colle un jeune torse nu pour faire baver les midinettes de 13 ans qui en oublient à quel point le film est à chier. Je dois être maso... Après avoir vu le 1, j'avais dit que plus jamais je ne regarderai cette merde. Et pourtant... Fuyez braves gens !! Parce que les vampires arrivent et que ceux là sont mortellement ennuyeux.

4.8125

Publié le 4 Mai 2010

La Malédiction de Molly Hartley

La Malédiction de Molly Hartley

Mode quiche : ON A part la notion de fanatisme religieux apporté avec de gros sabots par la petite brune, je n'ai rien compris. Mode quiche : OFF Suis-je la seule à avoir eu l'air complètement abruti devant ce film ?

6.09091

Publié le 21 Mars 2010

Train

Train

Film sans scénario, juste prétexte à des scènes de barbaques à caractère vomitif (et encore, on a vu mieux ne serait-ce que dans Hostel) entrecoupées de longueurs aux dialogues consternants et pendant lesquelles on s'ennuie ferme. Bref, encore un film où on se contente d'attendre que des personnages cons à bouffer du foin se fassent démastiquer pour ne plus avoir à les supporter. A voir par curiosité un lendemain de cuite où il pleut ou si vraiment on n'a rien de mieux à faire.

6.5

Publié le 18 Mars 2010

The Descent : Part 2

The Descent : Part 2

Effectivement, on assiste plutôt à une relecture du premier volet avec moins de tout : moins de conviction, moins de développement, moins de psychologie, moins d'histoire, moins d'action, moins de gore, moins de scénario. Ce qui en fait un film moins intéressant qui sent tellement le déjà vu qu'on s'autorise à aller chercher un soda sans craindre de rater quelque chose. Ajouter à cela quelques belles incohérences (et on fera abstraction du fait que, dans NOTRE version du 1er, Sarah restait enfermée) et on obtient un film pas vraiment mauvais pour ceux qui n'auront pas vu le premier (ce qui n'est pas indispensable) mais sans grand intérêt pour les autres.

6.38462

Publié le 18 Mars 2010

L'Homme Bicentenaire

L'Homme Bicentenaire

J'aime beaucoup la représentation de ce qu'est la véritable humanité, véhiculée par ce film. Sommes-nous des êtres humains de par notre biologie organique ou de par notre comportement ? Vaste sujet joliment développé par ce film dans lequel Robin Williams excelle.

7.88889

Publié le 28 Février 2010

Live!

Live!

Aurait pu être beaucoup mieux. Un peu moins de blabla aux sous-entendus moralisateurs aurait été de bon gout. D'autant plus que pour un film qui se veut, justement, dénonciateur des dérives actuelles, il ne va pas au bout du sujet qu'il traite. Les 20 dernières minutes sont d'un niveau de stress rarement atteint mais se trouvent gâchées par un final qui, à mon sens, opte pour la facilité de par son approche limite politiquement correcte et sa conclusion avortée (ATTENTION SPOILER : hé oui, on ne tue pas un homme ruiné et père d'un enfant malade et, pour rejoindre l'avis d'un précédent membre, que se serait-il passé si la balle avait été pour le dernier candidat ? FIN SPOILER). Quant à la toute fin, elle aurait méritée d'être un peu plus détaillée parce qu'en l'état, elle n'apporte rien.

8

Publié le 28 Février 2010

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