Critiques spectateurs de Sly29

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Hard Candy

Un thriller ultra contemporain. Basé sur des faits qui sont malheureusement légion dans notre monde barbare, hard Candy n'est pas un film à la hostel ou saw (car il a été vendu comme tel à l'époque). Ce film est porté par deux fabuleux acteurs. Helen Page génialissime (Juno, inception...) et Patrick Wilson (Watchmen). La rencontre entre une jeune écolière de 14 ans et un photographe de 32 ans, par le biais d'internet. Je connaissais déja le sujet du film avant de le voir, mais pas ma copine. Elle à été choquée des le début par l'attitude qu'à le trentenaire vis-à-vis de la jeune femme. Il est vrais que le malaise s'installe rapidement, et pourtant tout n'est que suggestion. Ce genre de rencontre peut arriver tellement facilement que s'en devient dérengeant. Vien ensuite la partie du film qui se passe chez le personnage masculin. Là ça devient plus stressant et le sort réservé au futur hiboux est des plus désagréable. La mise en scene astucieuse qui rend le huit-clôt assez perturbant est malheureusement perturbée par des effets clipesques mal venus dans les scenes "d'actions". Le point négatif du film vien beaucoup également du fait que l'on ne s'attache pas vraiment aux personnages. Ils sont tout les deux trop extrèmes pour s'émouvoir pleinement. Domage, car au début on à peur pour l'actrice et on se surprend à lui dire de se casser de ce café avant qu'il n'arrive malheur, mais par la suite le face à face entre cette ado haineuse et ce photographe pas clair fait s'envoller toutes les craintes quand à l'avenir de la petite. Un virage dans le scénario qui n'a alors pour mérite que de nous scotcher avec cette tension omniprésente tandis qu'il n'y a plus de victimes, mais seulement des boureaux.

Publié le 16 Février 2010

Ultimate Game

Apres les tres bon et tres tarés "Hyper tension" avec l'ami Statham, voici le tout aussi déjanté Ultimate Game avec notre spartiate préféré. Tout aussi déjanté, soit, mais pas aussi déglingué que leurs précédents opus. Neveldine et Taylor nous offrent un film d'anticipation des plus virulant, avec un message qui peut vite se transformer en morale...ce qu'il n'y avait pas dans crank 1 et 2. Les scenes d'action sont étourdissantes de part l'utilisation d'une shaky cam assez destabilisante au départ. ça explose dans tout les sens, ça flingue à tout vas et il y des morts partout en l'espace de quelques secondes. On ne sait plus ou donner de la tête et on cherche ce cher Gérard Butler dans tout ce fatras. On espère qu'une seule chose: que ce beau bordel s'arrêtre pour pouvoir se reposer les rétine une minute. En dehors de ces passages épileptiques, le reste du film est plutot calme. Heureusement, car même si c'est un peu leur marque de fabrique (hyper tension" est tres nerveux également) force est de constater que cette réalisation n'est pas forcément adaptée a tout les films. Gégé est assez charismatique et bon acteur en même temps, mais mon préféré reste Micheal C Hall (Dexter) génial en jeune créateur des jeux vidéos dans lesquels évoluent les personnages. J'ai beaucoup aimé la danse à la "thriller" (completement hors sujet mais égallement bien en raccord avec l'esprit malade des réalisateurs) Le film n'est pas avare en barbaque également. Il y a un petit passage de John Léguizamo dans le film, venu dire coucou j'imagine parce qu'il ne sert a rien ici. En gros, un film d'action plutot barré, violent, et tout à fait dans le style nihiliste cher aux réals.

Publié le 16 Février 2010

Wolfman

Magnifique hommage/remake de l'oeuvre culte qu'est le Loup-garou des studios universal. Depuis quelques années maintenant, on nous refait n'importe quel film dansle but bien précis de nous faire consommer de la bouse au ciné pour que l'on puisse cracher nos derniers pesos comme de bon moutons que nous sommes. Et bien ici, le remake est totalement justifié (à mon sens). Car il ne s'agît pas d'une transposition de l'action de nos jours, ni d'un déferlement d'effets spéciaux. Ici il n'y a que la transformation qui est digitale, le reste n'est que protèses et autre maquillages. Le look du loup garou reste dans le même esprit que le film original et l'action est débridée et jouissive. La violence graphique n'y est plus suggérée, mais bel et bien étallée sur bobine...et babines. Que de têtes, bras, jambes arrachées...ça faisait longtemps que je n'avais pas vu ça au ciné (dans un film hollywoodien j'entend) Les acteurs sont superbes et ultra charismatiques...même notre hannibal préféré et cela malgrer son cabotinage habituel. Maintenant venons en aux gros points forts du film. Les décors sont juste les plus beaux que je n'ai vu depuis longtemps! Tres gothique et magnifiquement filmés, ils sont vraiment convainquants. Du petit village qui fait tres "loups garou de londre", et bien sûr la ville de londre elle même.Une ambiance lourde et sombre comme dans les vieux film Universal. Et pour finir, la musique du film. Dirigée par le toujours génial Dany Elfman, le score à des similitude avec celui du Dracula de Coppola. Enorme!

Publié le 15 Février 2010

Mission: Impossible

Je rejoindrai l'avis de Dorian sur le fait que ce film est un film d'espionnage dont le titre "mission impossible" n'est pas adapté. Le métrage est tres bon, et contient beaucoup de moments forts . Mais on a l'impression que le scénario de départ n'était pas du tout voué à être une adaptation de cette série culte (dont je n'ai vai aucun épisodes). Ils ont collés un nom connu (Mr Phelps), une musique lors du générique, et une scene clé (le message qui s'auto détruit) et ils ont fini par placarder le titre en gros. Car le reste de l'intrigue n'aurai rien a voir avec la série (d'après ceux qui en ont vu des épisodes) Pour en revenir au film. Tom Cruise est particulièrement à l'aise dans le rôle de l'agent Hunt, et on retrouve plétore de têtes connues (Emmanuelle Béart, Jean Reno, Kristin Scott Thomas, Carlos Esteves, John Voight). Une mise en scene soignée et des moments forts (la soirée de l'embassadeur et ses Ferrero, l'intrusion dans une salle surprotégée). Pour la première fois de sa carière Brian DePLAMA se permet de réaliser une scene d'action spectaculaire et qui (je n'exagère pas) est devenue culte. Je parle bien sur de la scene de l'hélicoptère dans le tunel. Un grand film hollywoodien magnifié par un dePALMA encore en forme.

Publié le 15 Février 2010

L'Impasse

DePALMA nous revient en forme avec ce nouveau film de gangsters. Apres la violence hystérique de Scarface, l'épique "les incorruptibles" voici le touchant et intimiste "Carlisto'way". On change la façon de raconter l'histoire, et ici le héro est un malfrat repentit qui aimerait par dessus tout éviter les ennuis pour vivre son rêve. Al Pacino revien jouer le dur chez Brian mais version totalement différente de celle du cubain expatrié. La réalisation est encore une fois magnifique et riche en plans séquences et autres artifices. Gros point fort du film également , la présence du formidable Sean Penn (vu dans outrages) en Kleinfeld, un avocat junkie complètement barré qui se trouve être le meilleur ami de Carlito. C'est grâce à lui que sa vie vas pouvoir redémarer. Une petite apparition de Vigo Mortenssen dans un rôle des plus pathétique (pas dans le mauvais sens, c'est son personnage qui est pathétique). Le réalisateur à également intégré quelques clins d'oeuil à son culte scarface. La boîte de nuit ressemble beaucoup a celle ou Tony Montana allait de temps à autre, le patron de cette même boîte s'appelle Sasso (qui est le nom du caïd de Scarface) ... Et bien sur, égallement une fin homage au incorruptibles, avec comme climax une scene dans une gare et un parallèle sur l'horloge qui montre le temps qui passe. Bref encore un tres bon film de gangsters, le dernier pour l'instant de son auteur.

Publié le 12 Février 2010

Le Monde (Presque) Perdu

Avec un succès tres relatif outre atlantique et un flop monumental chez nous, le dernier film de Brad Silberling est sortit discretement chez nous dans les bac a promo à 10euros. Bon, le film n'est clairement pas un chef d'oeuvre, mais à le mérite de contenter quelques spectateurs. Les fans de Will Ferrell seront heureux de retrouver leur pitre préféré dans un film d'aventure homage aux séries fantastiques des années 50. Moi, j'aime bien Ferrell (surtout dans les comédie type Achorman, step brother ou Ricky Bobby), mais de la part du réalisateur, qui a tout de même un savoir faire certain (Casper et les orphelins baudelaires étaient bien foutus), j'aurais aimé un peu plus de construction autour du scénario. Il ne s'agît ici que d'une suite de scennettes ou les personnages principaux font les crétins. Pourtant force est de constater que visuellement le film claque bien. Les décors vout du sublime au raté et les créatures font "tres" old school (mais ça c'est voulu). Un petit film dont j'attendais plus, mais qui vaut le coup à ce prix là.

Publié le 11 Février 2010

L'Esprit de Caïn

Rising Caïn est un thriller pour le moins déjanté. Avec son scénario particulier , Brian DePALMA traite ici de la Schizophrenie. Le personnage principal joué par le tres bon John Lithgow est tourmenté à la foi par son frère jumeau, méchant comme une teigne et un père qui le maltraitait dans sa jeunesse. Des enlèvements d'enfants sont perpétrés non loin du jardin dans lequel le bon Carter se promène avec ses enfants. Dès le départ DePALMA révele l'identité du coupable. Mais ça ne sera pas là la vrai solution de l'énigme. Difficile de parler du film sans spoiler car tout n'est qu'enchevêtrement de scènes toutes tes bien mises en image, mais qui donne au film un côté plutot brouillon. On retrouve dans ce film quelques acteurs qui ont déja officiés chez DePALMA, comme John Lithgow (obsession, Blow out), Steven Bauer (scarface) ou encore Gregg Henry (Scarface, Body Double). La réalisarion de Brian DePALMA est toujours sublime avec entre autre un excélent plan séquence qui suit les policiers de la salle d'interrogatoire jusqu'à la morgue. Et un climax final dans un motel qui baigne dans une tres bonne ambiance. Film plus que foutraque ce thriller hors normes ne représente pas vraiment une piece majeure de la filmographie de DePALMA. Mais ce dernier nous prépare un retours vers le grand banditisme biais grâce à Carlito Brigante dans l'Impasse!

Publié le 10 Février 2010

Le Bal des vampires

Film culte qui ne perd en rien de sa superbe, le bal des vampires traverse les âges et ne vieilli pas. La comédie fantastique de Roman polanski est un régal pour les yeux et les oreilles. Rien que le début avec le logo de la -feu- MGM ou le lion de la firme se transforme en vampire et le générique qui s'en suit accompagné de la siblime musique de Krzysztof Komeda reste un souvenir encré en toutes personnes ayant déja vu le film. Les personnage d'alfred ( Polanski himself) et du professeur sont vraiment bon. Trublions sortis d'un dessin animé , se drôle de couple vas avoir fort à faire avec une bande de vampires installés dans un chateau des plus gothique non loin de l'auberge dans laquel ils ont élus domicile. Alfred tombe amoureux de la fille du tenancier, la SUBLIME Sharon Tate (mais quel canon!!!!!!!). Les décors du film sont vraiment splendides et malgrer quelques couacs (la fenêtre de la crypte qui donne sur les toits alors que l'entrée de celle-ci est dans la cour du château.) réusissent à installer une ambiance du tonerre. Alors bon, ok, l'humour du film est certe un peu désuet et ne fait guerre plus que sourire, mais le tout est emballé avec un tel savoir faire ,que ce film transpire l'amour du cinéaste pour ce genre tres (trop) sérieux qu'est le film d'épouvante...du moins a l'époque. Ajoutez à cela une fin plutot sombre et vous voilà en face d'un des plus beau films de vampires. Petit point négatif tout de même, un rythme assez lent au début du métrage, dans l'auberge.Et bien sûr il y a LA scene mythique du film, le bal dont il est question dans le titre français. Mise en scene magnifique, musique dans le ton et ambiance des plus étrange. Cette scene porterait presque a elle seule le film sur ses épaules. Une oeuvre majeure pour le petit polonais exilé.

Publié le 9 Février 2010

Le Bucher des vanités

Bruce Willis, Tom Hanks, Mélanie Griffith, Morgan Freeman, F. Murray Abraham, tout ce joli petit monde réuni pour une comédie satirique acide pointant du doigt le capitalisme américain. Je suis ici aujourd'hui, l'ambassadeur du film le moins aimé de la filmographie de Brian Depalma. Cette adaptation du livre "Bonefire of vanities" n'était pas un film de commande. Et le véritable échec au cinéma à fait douter le grand Brian, qui était sur le point d'arrêter le cinéma.

Pourtant il est vrais que le film à d'indéniables qualités. Un scénario basé sur la chute d'un trader de wall street alors en plein succès. Jetté en pâture à des groupuscules tous plus avides d'argent les uns que les autres. Ou quand un simple fait divers engraisse tout les pontes de la villes. Véritable bêtes affamées, ils se jettent sur le pauvre Tom Hanks dépassé par les évenements. Le tout raconté pas le tres cynique Bruce Willis (ici en journaliste raté....qui vas finir également reconnu grâce aux déboires du trader) Le malheur des uns fait le bonheur des autres.

La réalisation est toujours tres bonne. Plans séquence impressionnant au début, split screen et autres artifices deplamiens toujours présents. Les acteurs s'en donnent à coeur joie et nous font tous passer un tres bon moment. Je dirais que ce film fait parti de mes préféré du réalisateur. Rarement un film n'avait, à mon sens, été aussi cynique. C'est un peut le Lord of war du monde de la finance. Un film méconnu et pourtant l'un des meilleurs de DePALMA.

Publié le 8 Février 2010

Outrages

Apres un passage a la comédie et un succès mondial avec les incorruptibles, brian DePALMA se lance dans un sujet qui lui tien ouvertement à coeur. Voulant dénoncer la violence et l'inutilité de la guerre du Vietnam, le réalisateur pointe du doigt un fait "divers" atroce qui s'est passé dans la jungle. Là est né Outrages (Casualties of war). Un film éprouvant qui garde son impact encore aujourd'hui. On est consterné devant les agissements du Sgt Messerve, joué par un Sean Penn tout jeunôt qui pête un cable complet et enlève une jeune fermière vietnamienne pour pouvoir la violer avec ses compagnons d'armes. Face à lui, l'idéaliste et tres bon Michael J Fox fraîchement sortit de sa deloréan volante. Una ambiance moite ou la violence de la guerre se marie avec la folie des hommes. Cette malheureuse ne sera considérée que comme un dommage collatéral. Dans l'esquade en question nous retrouverons un certain John C reilly en soldat à la masse, un Don Harvey (rapidemant vu en chauffeur dans les incorruptibles) en ordure qui prend son pied et un John Leguizamo en jeune soldat lâche qui n'ose rien dire. Une belle brochette de soldats menés par un Messerve allumé cabotiné comme il faut par le toujours bon Sean Penn. Point de vue réalisation, et bien les 3/4 du film sont assez accadémiques et ne se démarquent pas vraiment des autres productions du genre. Mais une fois l'action rentrée au campement, Deplama se lache un peu lors de la scene de l'attentat dans les chiottes. Plan séquence en vue subjective sympatoche. Un nouveau tour de force pour brian Depalma qui s'interesse ici a un nouveau genre. Le film de guerre.

Publié le 7 Février 2010

Les Incorruptibles

Apres le thriller sympathique qu'est Body Double, Brian s'est mis a la réalisation d'une comédie. Mafia Salad fait partie (d'apres les critiques, car je n'ai jamais vu le film) de la pire réalisation du maître. Suite à ça, Brian réalise un nouveau film de gangsters. Apres un Scarface brutal et nerveux voici venir le film de malfrats épique et violent. L'oddyssée d' Eliott Ness face à ce sale gosse d'Al Capone. Les Incorruptibles fait encore partie à ce jours d'un des meilleurs films réalisés sur le sujet. On y retrouve un Sean Connery magistral en viel irlandais roublard et borné, un Robert De Niro qui n'avait pas joué pour son pote Brian depuis "Hi Mom!" et qui nous gratifi ici de tout son superbe cabotinage mafieu! Par contre pour le rôle d'Eliott Ness je trouve que Kevin Costner (alor en début de carrière) n'est pas vraiment charismatique, son jeu se compare même à celui (plus actuel) de Keanu Reeves. J'aime beaucoup aussi le rôle que tient cet affreux Billy Drago en Nitti (homme de main de Capone) La reconstitution de l'époque est sublime et les décors merveilleux. L'amibiance est vraiment grandiloquante et un soufle épique est présent tout le long du métrage. Point de vue réalisation, comme pour Scarface, DePalma se calme un peu mais nous sert tout de même de grands moments. Comme les plans séquences lors de la morts de deux des protagonistes et cette fameuse scene de la gare ou Ness attend l'arrivée d'un train. 5 minutes de stress (en temps réel car il y a le paralelle avec l'orloge qui nous montre le temps qui passe) et vien ensuite ce fabuleux et archi culte ralentit lors de la fusillade (mais si souvenez vous de ce berceau qui descend les escaliers alors que tout le monde se tire dessus!) Un film majeur dans la filmographie de Brian Depalma.

Publié le 6 Février 2010

Body Double

Hitchcocq, thiller, voyeurisme, sexe, meutre...nous somme bien dans un film de Depalma. Ici, le réal nous innonde une fois encore de son savoir faire. Beaucoup peuvent être déçu qu'il s'agisse encore d'une variation autour du travail fait par le maître du suspence, mais force est de constater que ce métrage est l'une des meilleures déclinaison de son travail. Interprétation de bonne facture, le personnage principal (acteur minable) est parfaitement joué et Mélanie Griffith est tres sensuelle et cela malgrer une coupe de cheuveux bien foireuse tout de même. Le génie graphique de DePalma explose a l'écran avec des séquences grandioses, comme cette fillature (20 minutes tout de même) de la voisine par le "héros", le meutre (à la foreuse) et le passage dans la production de film porno sur fond de "Relax"!!). J'aime beaucoup cette scene ou justement le héros se créé un rôle de sous Tony Montana pour séduire Mélanie Griffith. Le film est un étalage de savoir faire visuel et scénaristique. Pourquoi seulement 8/10? et bien malger tout le bien que je pense du film, je trouve par contre le final plutot raté. Déja la fin on la renifle a des kilomètres et puis le tout est achevé trop précipitement, ce qui , pour ma part, gâche un peu le plaisir que j'ai eu tout le long du film. En tout cas un des meilleurs thriller depalmien!

Publié le 5 Février 2010

Walkyrie

Film qui a fait beaucoup parler de lui lors de sa production chaotique. Pas aidé pour un copec par l'image foireuse d'un acteur principal totalement illuminé. L'histoire, ok, tout le monde la connaît. Et c'est pourquoi j'ai attendu qu'on me prete le dvd pour le voir. Un scénario pas vraiment addictif, un interprete hors sujet, des allemands qui parlent anglais et peu d'action et de suspence. Bon, du coup je me suis tout de même regardé le film, car malgré tout les à-prioris, les critiques étaient plutot pas mauvaises. Et il est vrai que la sauce prend bien. J'ai été surpris pas le jeu de Tom Cruise qui nous fait oublier son côté superficiel et crétin qu'il à dans la vraie vie (image qui m'a fait oublier en quelques années qu'il s'agit d'un tres bon acteur) et puis malgrer l'inéluctabilitée de l'histoire, il y a un semblant de tension. Un film "historique" hollywoodien mis en image par un Bryan Singer en petite forme. Il est vrais que la réalisation n'est pas des plus marquantes, trop accadémique. A voir, une fois histoire d'y jeter un oeuil.......

Publié le 5 Février 2010

La Princesse et la Grenouille

Que de bonheur de se retrouver dans une salle de ciné pour voir un Disney, pas un Pixar ni un animé de seconde zone du type Chiken little ou autre Bienvenue chez les robinson, non... un VRAIS Disney, en 2D, avec la magie, les musiques entrainantes, le héros sympathiques et les méchants charismatiques.

L'histoire reprend ici le conte du prince changé en grenouille, dans un contexte original...la nouvelle Orléan et ses bayoux lugubres. La musique Jazz est omniprésente et les couleurs pêtent a l'écran. L'histoire toujour universelle est prenante et les touches d'humour collent toujours aussi bien aux personnages. Humour, aventures, romantisme et même un passage triste sont disséminés tout le long du métrage. Un film animé réjouissant pour les petits ET les grands, comme je n'en avait pas vu depuis Tarzan. Il était vraiment temps que Disney se remette en question et se distingue du géant Pixar avec autre chose. Un retour au sources réussi. Seule ombre au tableau, un méchant pas assez présent a l'écran.

Publié le 2 Février 2010

Scarface

Brian DePalma change de registre et s'attaque au films de gangsters, genre auquel il reviendra avec deux grands succes (les incorruptibles et l'impasse). Le réalisateur trouve un allié de choix en la personne d'Oliver Stone qui s'occuppe du scénario. Le classique qu'est le Scarface de Hawks deviens une fresque dantesque ou le pouvoir s'allie a la violence la plus rageuse. Al Pacino se démarque du rôle calme et posé qu'il avait dans le Parrain pour nous jouer un Tony Montana des plus fougeux. Tout les personnages sont joués avec talent par des comédiens au top. J'ai , par exemple, beaucoup aimé le rôle du flic ripou joué pas cet acteur qui jouait le juge irracible au début de SOS fantôme 2. Pour en revenir au contenu du film. Je doit dire qu'il s'agit sans conteste du métrage le plus violant de la carrière de DePalma. Le sang coule a flots et les injures s'enchainent sans temps mort. Un violence visulle présente dès le début du film (scene de la tronçonneuse) j'usqu'à la fin (final énorme ou Tony atteint le statut de monstre invincible ). Brian DePalma se la joue moins niveau mise en scene, a part quelque plans séquence toujours aussi sublimes, il n'y a pas de fioritures Depalmiesque. Un tres grand film, un oeuvre culte qui n'a malheureusement pas marché a sa sortie. Le film ne fût pas un flop, mais à la vue du coût de production, le métrage n'a pas été propulsé oeuvre majeure avant quelques années. Du coup Depalma s'en revient ensuite a ses premiere amours, un thriller Hitchcocquien mâtiné de sexe avec le tres bon Body Double.