Critiques spectateurs de Orion666

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Alien: Le Huitième Passager

Alien: le huitième passager

Quand on crée un nouveau monstre, soit il disparait avec le temps soit il persiste, pouvant même aller jusqu'à devenir une icône du genre.

Force est de constater que Scott avait réussi son coup à l'époque. Une histoire lorgnant sur angoisse et science-fiction mettant en scène l'une des pires créatures du cinéma. On était loin de l'ordinateur qui fait des effets qui crèvent l'écran où des fonds vert omniprésents. Tout se faisait à la force des acteurs, du décor de plateau et de la sale bête. Ceux qui visionneront le film de nos jours pourraient trouver (j'ai eu le cas dans mon entourage) que le film n'a rien de flippant, pas de gore ni de suspense, un monstre quasi invisible etc... C'est sûr que lorsqu'une génération est nourrie aux effets "delamorkitu" on est blasé et insensible aux grandes ½uvres.

Ici on a un scénario génial, des acteurs qui donnent vie à un paquet de personnages tous particuliers dans leur genre avec les deux potes vénaux, la femme forte en passant par le scientifique dont on ne sait ce qu'il pense. Les décors sont magnifiques, aussi bien dans le Nostromo qui rend parfaitement un intérieur du style cargo spatial, que dans le vaisseau écrasé, impressionnant dans ses proportions ainsi que sa soute pleine d'½ufs d'aliens.

Et l'alien? Un gars en costume (qui a dû bien suer) que l'on ne voit pas beaucoup où alors dans des endroits sobres. Et c'est justement ça qui est génial. On ne voit pas tout du bestiaux, sa peau est noire et luisante, il est furtif et mortel, plutôt adepte de la traque et de la guérilla plutôt que de foncer dans le tas. Entre son sang acide, ses griffes, sa queue et ses mâchoires on a déjà assez pour s'inquiéter. Sa naissance est la seule vraie "scène choc" du film mais c'est ça qui le rend si particulier. On voit une espèce de têtard sortir du ventre d'un mec, pas de quoi flipper vraiment, puis on passe à la saloperie de 1m80 qui se planque dans la tuyauterie comme une saleté de cafard et décime l'équipage à lui seul.

Scott a plus misé sur l'ambiance, l'angoisse que sur le spectaculaire (que l'on voit dans Prométheus... navrant) et a donné naissance à la plus belle saloperie que le cinéma aie jamais vu (au coude à coude avec la Chose de Carpenter). Son statut culte est loin d'être usurpé d'autant plus qu'il n'a pas prit une ride.

9.39161

Publié le 31 Juillet 2013

Le Territoire des Ombres - Première Partie : Le Secret des Valdemar

Le Territoire des Ombres - Première Partie : Le Secret des Valdemar

Je n'ai lu que quelques nouvelles de HP Lovecraft mais j'aime beaucoup son style, pour ne pas dire que je l'adule, et force est de constater que quoique l'on fasse la plupart des films tentant de lui rendre hommage se vautres. Superbe surprise que ce Territoire des Ombres. Ceux qui espèrent trouver ici une oeuvre flippante usant d'effets spéciaux à gogo et de monstres à tout azimut seront sûrement déçu, tant pis pour eux. Le récit, qui n'est que la première partie de l'histoire complète, est un parfait premier acte. Doux, mettant en place les éléments, prenant son temps pour nous immerger dans cet univers et finissant par nous mettre l'eau à la bouche pour la suite. Les décors sont superbes, particulièrement la demeure Valdemar qui jouit de lumières bien placées mettant en avant, ou sous discrétion, les éléments présents, abusant même des jeux d'ombres et de lumière. Les personnages, amalgame de personnes réalistes ou plus originales, sont joués avec brio. Les quelques effets spéciaux présents, rares mais soignés, s'incorporent non seulement à merveille mais de par leur présence minime renforce la qualité du film tant il est porté par les protagonistes et l'ambiance qui s'en échappe. Et le monstre? Je ne vais pas spoiler dessus si ce n'est que là encore les lumières ont été astucieusement utilisées et qu'on ne le voit que tardivement. Et c'est bien là que l'on trouve un élément de réussite: ne pas mettre une créature dès le début. Loin d'un film angoissant, c'est plus une ½uvre fantastique lorgnant sur l'occulte et le sombre qui nous est offerte via la vision du passé de cette maison. L'utilisation du nom de Lovecraft, ainsi que de quelques éléments de ses nouvelles, n'est pas usurpé tant ce film retrace fidèlement ce qui rend ses histoire si fortes tout en prenant une identité propre. J'attends la suite avec impatience.

7.5

Publié le 30 Juillet 2013

2010: Moby Dick

2010: Moby Dick

J'aime les nanars, encore plus s'ils réussissent à me faire passer le temps. Mais là j'atteins une limite. Ce film est pire que nul. C'est un navet, une bouse, un déchet. Entre la baleine miteuse et les personnages plus qu'insipides on retrouve le summum du mauvais goût: une adaptation (sisi c'est noté au générique) du roman éponyme de Melville! Où ça? Moi je n'ai vu que quelques éléments dans un brouillon infect très loin de suivre l'idée du romancier, lui faire honneur dans une telle production aurait juste réussit à la décrédibiliser. Fuyez à tout prix cette saleté.

5.42857

Publié le 30 Juillet 2013

Jurassic Shark

Jurassic Shark

Un requin, encore une fois. Mégalodon pour pas changer. Il faudrait se renouveler. Téléfilm à la ramasse, Jurassic Shark nous offre une histoire débile, des acteurs plats et sans saveur, des scènes nazes, un requin en carton pâte, des dialogues tellement plats qu'ils ont dû passer sous un rouleau-compresseur. Bref, que des défauts qui rend le visionnage de ce film un vrai calvaire. S'il y a un Enfer pour les cinéphiles, il doit s'y trouver en visionnage perpétuel.

3.4

Publié le 29 Juillet 2013

Bugs : l'armée des scorpions géants

Bugs : l'armée des scorpions géants

Le métro, lieu de prédilection de la vermine. Et des nanards tendance navets. Des espèces de scorpions géants se cachent dans un métro tout neuf. On dépêche une bande de bras cassés qui se font vite ratiboiser, le grand méchant patron veut protéger ses intérêts mais heureusement un couple héroïque sauve la situation et tue la reine des bestioles. C'est nul, nul, nul. La jaquette à elle seule vaut son poids. On y voit une face de guêpe alors que les insectes du film sont des....je ne sais pas quoi vu que le scorpion n'est PAS un insecte (merci de réviser vos cours de sciences nat les scénaristes). En plus les acteurs sont bidons, les effets super mal fichus et la logique d'une reine moustique pour une ruche de "scorpions" m'échappe. Le pire, c'est que j'ai acheté cette daube...

2.66667

Publié le 29 Juillet 2013

The Bone Snatcher

The Bone Snatcher

Les fourmis sont cools. Elles ont leur propre civilisation, existent sur tous les continents (polaires exceptés) et sont de redoutable prédateurs pour leur microcosme. Encore faut-il savoir les rendre flippantes. Ce film a pour lui dès le départ des décors superbes, un bon rythme, une histoire assez crédible, mais ça s'arrête là...ou presque. Faire un monstre constitué d'ossements et de fourmis était une idée originale. Cela permettait quelques jolies scènes de "mais j'ai vu quelque chose" ainsi que l'utilisation d'une créature quasi indestructible. Seulement, si cela marche assez bien au départ, ça finit droit dans le mur. Le fait de peu voir le monstre n'est pas handicapant, loin de là vu le budget, mais l'expliquer comme ils l'ont fait.... On en revient au classique "reine qui dirige tout car super intelligente" et c'est risible. Une non explication du comportement des fourmis eut été autrement plus intéressant. Un bon petit film finalement. Pas exceptionnel mais bien filmé et doté d'une idée pour le moins hors des sentiers battus.

3.625

Publié le 29 Juillet 2013

Boa

Boa

Une histoire de serpent géant, c'est commun. Se déroulant dans une future prison haute sécurité en plein bled gelé, c'est classique. Qui a des effets spéciaux moches, c'est couru. Mais qui a Clark Kent dedans c'est nouveau. Encore un petit cousin de Python. Un gros serpent, un lieu clos, des humains bêtes à manger du foin, un couple qui doit survivre. Fin de l'histoire. 'est moche, c'est mal filmé, c'est mal interprété et c'est dommage. Heureusement le film ne dure pas deux heures et réussit à imposer un rythme suffisant pour ne pas s'endormir même si l'on se doute de qui va survivre. Je le trouve quand même mieux que les derniers Anaconda.

4.13333

Publié le 29 Juillet 2013

King Kong

King Kong

Je ne pensais pas que Jackson pouvait sortir un film moyen. J'avais tort. Sur le plan esthétique et visuel, rien à dire. C'est beau, c'est bien rendu, c'est classe. Mais sur l'histoire pfiouuuuuuuuu. C'est long, loooong à se mettre en place et remplis de petits trucs dont on se fiche éperdument, certains passage me donnant même l'impression d'être là pour faire "regardez ça en jette hein?" (je pense à la course des diplodocus notamment). Si on ajoute à ça quelques incohérences (la blondinette se fait trimballer comme un sac mais n'a pas un seul bleu, un héroïsme soudain qui envahit certains personnages) ainsi que le magnifique passage des inscetes géants SANS LA MOINDRE MUSIQUE, ce qui le rend mou et morne, cela plombe vraiment l'histoire. Heureusement, il y a Kong. Vieux, fatigués, ronchon, seul, attendrissant, le roi de Skull Island est une vedette qui porte tout un pan du film à lui seul. On le voit regarder le soleil couchant, triste, pour le retrouver le lendemain lattant plusieurs T-Rex (là j'avoue j'ai trouvé abusé de passer de un à plusieurs dinos) et montrant qu'il a toujours le feu sacré. La fin est toujours la même mais, malheureusement, perd tout son tragique. On ne voit pas s'éteindre un roi de la jungle mais s'écraser un animal. Rien que d'entendre un journaliste dire "ce n'était qu'un animal" où Black sortir son "c'est la Belle qui a tué la Bête" j'avais envie de tirer sur la télévision. Au final, c'est un film qui se retrouve le cul entre deux chaises. La volonté de bien faire, l'envie se sent, mais le résultat est décevant, long, plat par moments et bien loin de réussir à émouvoir autant qu'il le devrait.

8.69014

Publié le 29 Juillet 2013

Godzilla

Godzilla

En Amérique, il n'y a pas que le café qui soit mauvais, il y a aussi (parfois) les films. C'est gros, ça dégomme de tout et de rien à gauche à droite et ça fait le potache envers les français... Merci Emmerich, merci d'avoir dénaturé Godzilla. Exit le message écolo japonais, bienvenue au show de la surenchère. Tout est fait pour montrer que ce sont les américains qui ont la plus grosse même en en prenant plein la tronche. On a un plein camion de personnages stéréotypés et transparents ainsi qu'un monstre culte devenu ridicule. Dans le genre portnawak c'est aussi un florilège: chasse sous-marine dans le fleuve avec TROIS sous-marins qui se collent. Apparemment l'alerte de proximité devait être défaillante (sans oublier celui qui se fait torpiller mais qui explose aussi fort qu'un tonneau de TNT...logique?). Des dialogues débiles ("ce que ce n'est pas je m'en cogne, dites moi plutôt ce que c'est", admirable dans l'inutile), de la vanne bas de gamme, les prénoms des français commençant tous par Jean (quelques-uns ça fait sourire, mais tous...), les gags sur le nom de Tatopoulos (facile à dire en plus, je pige pas la blague). Bref on est gâté dans la sous-qualité. Mais heureusement tout n'est pas à jeter. Il reste le bon gros lézard qui, s'il fait honte à son géniteur nippon, réussit à mettre le boxon dans tout Manhattan malgré un régime amincissant. Son arrivée spectaculaire, bien que la plupart des FX du films commencent à fortement dater, vaut le coup d'½il ainsi que ses accrochages avec les forces armées. Le final aussi permet de lâcher la bête et de voir ce qu'elle a dans le ventre. Final malheureusement gâché par une victoire de l'armée vraiment ridicule (la mort de Godzilla me laisse malgré tout toujours un pincement au c½ur). On a donc un film à la trame cousue de fils blancs, juste pour taper dans l'½il et pas dans le cerveau, utilisant une icône japonaise et la dénaturalisant fortement (et pas pour son plus grand bien) et donnant encore une bouffée d'orgueil à ce peuple de zozos que sont les américains. Je comprends que Jean Reno tire une tête d'enterrement tout du long...

6.64

Publié le 29 Juillet 2013

Monstres Academy

Monstres Academy

Comment faire un film sur la rencontre des deux héros d'un des meilleurs, si pas du meilleur, film de Pixar ? Et bien c'est simple: on ne peut pas ! On suit Bob, petit et tout vert, qui entre à l'université des monstres et rencontre Sully, gros et tout velu. Il rêve de devenir une terreur d'élite mais se heurte aux autres élèves qui considèrent qu'il n'a pas la carrure. J'ai passé un bon moment devant le film mais c'est tout. On n'y retrouve pas la magie du premier car ce n'est qu'une préquelle, une histoire dont on connait déjà les aboutissants. On y voit quelques un des personnages de Monstre et Compagnie mais en dehors de cela c'est un peu mou, voire plat par moment. On y retrouve aussi de gros stéréotypes sur l'université ce qui n'est pas spécialement très intéressant. Malgré cela, les personnages ont un côté attachant neuf, entre Bob l'intello et Sully le vantard on peu être étonné du lien qu'ils ont tissé dans le premier film. De nouveaux monstres sont de la partie, de la doyenne stricte au fils à maman rondouillard. Le moment fort de l'équipée de Bob et Sully, sans spoiler, représente pour moi par contre le meilleur et le pire du film. Je dirai simplement que j'y ai trouvé du sang neuf et un élément illogique énorme. Au final on retrouve donc un film bien mené, sachant où il va et amenant quelques rires et un splendide visuel, mais ne pouvant prétendre rivaliser avec son père géniteur.

6.6

Publié le 28 Juillet 2013

Evil Dead 3 : L'Armée des Ténèbres

Evil Dead 3 : L'Armée des Ténèbres

Rien que cette phrase a suffit à me faire éclater de rire. Et elle résume bien le film.

On retrouve Ash projeté dans le passé au temps d'Arthur fox à poils durs. Il est fait prisonnier puis, en tuant quelques possédés, fini par devenir le héros du château. Il veut plus que tout rentrer à son époque mais pour cela il lui faut trouver le Nécronomicon et le prendre en récitant une phrase magique. Vous vous en doutez il foire et c'est une armée de morts qui vient pour lui botter le train.

C'est du fun pur et dur. Il n'y a rien, mais vraiment rien de sérieux dans ce film. Ash est un vrai boulet égoïste, les morts qui viennent à l'assaut sont géniaux car venant de différents horizons (mention aux squelettes écossais), les effets sont d'époque et relativement cheap mais justement c'est ce qui fait leur charme.

La fin est tout aussi fendarde et sans complexes, sachant qu'il en existait deux possibles (la seconde montrait un monde sous le joug des démons).

Juste génial. Un bouclage de la série en mode "cool and fun" qui ne peut que la servir dans son statut culte.

8.12

Publié le 16 Juillet 2013

La Crypte

La Crypte

Une équipe de spécialistes de la plongées est appelée par un scientifique afin d'explorer des cavernes dans les Carpates. Ils se retrouvent bloqués et quelque chose les prend en chasse.

Voilà. C'est résumé en deux temps trois mouvements mais ça ne va jamais très loin, faire un film se déroulant dans des cavernes étant plutôt restrictif niveau scénario.

Le plus gros souci dans ce genre de film reste quand même la lisibilité de l'image. Avec de la malchance (où de l'incapacité de travail de l'équipe) c'est juste immonde et crasse, on ne voit rien. Ici il n'en est rien. La lumière est bien utilisée, instaurant une ambiance sombre, quoique peu claustrophobique, qui donne un certains cachet à l'image (je préfère cent fois un peu de luminosité à une image noire où on ne vois rien).

Les protagonistes sont assez clichés. Entre les deux frères, l'équipe de boulets et la blondasse juste là pour remplir une combinaison on est gâtés mais cela ne gêne pas trop en soit vu que les acteurs jouent bien. Les créatures, elles, sont foutrement bien faites. On les voit peu, ce qui est bien, mais une fois leur trogne mise à l'écran on est gâté. Leur système de repérage et leurs origines sont convaincantes.

Leurs origines, parlons en. Dans ces grottes les scientifiques découvrent un parasite qui survit en modifiant la structure de son hôte, lui permettant ainsi de survivre dans ce milieu hostile et sombre. Ainsi, le rat-taupe est devenu un gros rongeur dégueu et toute personne blessée peu se retrouver infectée par ce parasite. C'est de là que résulte les créatures qui ne garde de leur ancienne nature que...ben rien, que dalle.

Le rythme se tient, les décors sous-marins sont splendides, seule la fin est d'un quasi ridicule (et je pèse mes mots). Personnellement, je passe un bien meilleur moment devant ce film que devant The Descent (qui m'emm*** grave) mais cela ne tient qu'à moi.

5.89474

Publié le 16 Juillet 2013

O.G.M. : Organisme Génétiquement Meurtrier

O.G.M. : Organisme Génétiquement Meurtrier

Une repompe de Predator agrémentée d'autres éléments nanaristiques et plouf, O.G.M.

Entre le chien surdoué, l'ex militaire pas convaincant pour un sou et la sale bête mal fichue, y a rien à retenir de ce métrage si ce n'est quasi 1h30 de calvaire.

Passez votre chemin, ça vaudra mieux.

4.33333

Publié le 15 Juillet 2013

Metamorphosis

Metamorphosis

Du film pur style 80 (avec 10 ans de retard). On ne s'encombre pas de détails trop techniques, on fait avec ce qu'on a et on le fait bien.

Un scientifique se fait mordre par une grenouille mutante et est ainsi contaminé, devenant peu à peu une espèce de...chose, limite entre le croisement d'un caramel mou et d'un gastéropode. D'un autre côté, trois ados cherchent leur père vigile tout en tentant d'éviter deux tueurs à gage.

C'est fun, c'est léger, c'est bien foutu. On passe un bon moment devant ce film dont le seul "défaut" serait le style "flashback" utilisé pour raconter les évènements. Le monstre est bien gros et dangereux tout en étant un peu ridicule, ajoutant encore plus de légèreté au récit qui a clairement été fait sans complexe et sans trop de sérieux.

C'est tout simplement bon.

6.72222

Publié le 15 Juillet 2013

Doom

Doom

Autant le jeu a fait flipper des générations de gamers, autant le film fait bailler.

Une équipe de soldats pros sous stéroïdes, un complexe martien scientifique et les "blouses blanches" qui y bossent et des monstres. Y a rien à voir, circulez allez hop! Les acteurs sont limite à la ramassent, leurs réactions sont incohérentes, les histoires sous jacentes sont inintéressantes et l'origine des sale monstres est totalement débile. Si on ajoute à ça l'humour bas de plafond, le bestiaire pauvre à en pleurer et le moyen de transport jusque Mars qui a clairement été pensé juste pour le final (en dehors de ça il sert à rien et est même pas utile, faudra que je comprenne comment des ploucs de la Terre ont su faire fonctionner ce truc) on atteint le fond de la piscine.

Seul bon point: les monstres plutôt réussis, même si peu inspirés.

6.02778

Publié le 8 Juillet 2013

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