Portés Disparus

7.3/10
Portés Disparus

Critiques spectateurs

Réalisateur: Joseph Zito Avec Chuck Norris, M. Emmet Walsh, David Tress, Lenore Kasdorf, James Hong

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Portrait de Gory Freddy Gory Freddy
I am Legend - 1952 critiques
publié le 01/08/2010 - 13:16
8
 

Réponse à Dorian Gray

"Qui ne se rappelle pas la scène du rat dans un sac ?" (DorianGray)

Ben toi apparemment Benji, puisque la mythique scène où Chuck Norris bouffe un rat censé lui bouffer la gueule dans un sac, est dans le 2e opus de cette somptueuse trilogie humaniste, et non pas dans ce film...

C'est censé être prof d'histoire et ça connaît même pas ses classiques... lol!

Portrait de Gory Freddy Gory Freddy
I am Legend - 1952 critiques
publié le 18/05/2010 - 03:03
8
 

Niakwés en vue! Aaaaaaaaaaaaaaggggghh!!!

Un bon gros film de débiles mentaux, comme j'aime! Patriotisme à deux balles, bouffonneries militaires, raccourcis politiques faciles, mecs qui assurent grave, punchlines trisomiques et mâchoires crispés... rien ne manque dans cette beaufferie délicieuse qui vous laissera sur le visage l'hébétude ravie d'une guenon sous tranxène!

Vous rêvez d'être cons, mais vous ne savez pas comment vous y prendre malgré une société très généreuse en renseignements sur le sujet? Ce film est fait pour vous! Vous aurez l'assurance de repartir de cette expérience intellectuelle ultime avec le crâne aussi rangé et aéré qu'un terrain vague par soirs de grands vents, et la capacité de reconnaître les bons et les méchants rien qu'à leur physique, le jaune ne correspondant pas aux couleurs de l'Amérique...

Sublime déjection patriotique aux relents racistes du plus bel effet, et aux solutions radicales qui forcent le respect, ce film va vous apprendre à communiquer efficacement avec les autres, tout en sachant rester ferme et montrer qui est le patron! Préparez-vous à apprendre les subtilités de la politique étrangère avec Chuck Norris, attention, ça décoiffe...

Le scénario d'abord: Chuck Norris a des couilles, et il est prêt à les mettre sous le nez du premier qui l'embête! Or, y'a pleins des méchants jaunes, des sales niakwés, ennemis de la Sainte Amérique, qui retiennent prisonniers de bons patriotes élevés aux hamburgers et à la poudre à canon. Putain, Chuck il est pas content, alors il élabore un plan béton pour les libérer: il casse tout, bute tout plein du niakwé, pour leur montrer ce que c'est qu'un pays civilisé à tous ces sales connards qui n'ont aucun respect pour la vie humaine!

Bon je sais, le scénar est compliqué, faut suivre... Mais si vous faites un effort, vous ne le regretterez pas: Chuck assure le show et tire dans le tas! Tout ce qui est jaune n'est pas or, et Chucky est bien décidé à démontrer que tous ces bridés n'ont aucune valeur devant les couleurs de l'Amérique... Ouééééééééééé Chuck, va-z'y, botte leur le cul jusqu'en enfer!!!

Malgré toutes ces bonnes idées scénaristiques, le film manque un peu de subtilité et se perd au milieu dans des scènes longuettes qui ramolissent un peu l'ensemble. Mais Chuck à des couilles et bande comme un Dieu, alors la fin reprend vigueur et dureté, pour un climax parfaitement... jouissif!

Notons une séquence magnifique, où des sales niakwés font une farce de mauvais goût à Chuck en faisant sauter le bateau sur lequel il se trouve, p'is rigolent bêtement en se croyant plus malins que lui... maiiiiiiiiiiiiis Chuck ressort de l'eau au ralenti, mitrailleuse à la main, le regard vif et perçant d'un bovin sur le point d'être achevé, et leur tire dans la gueule pour leur apprendre la politesse. Une musique martiale triomphale souligne finement les images pour s'assurer que quelques spectateurs en retard (mentalement) n'auraient pas compris que c'est lui le héros! Mince alors, quand on voit des mecs comme lui qui ont de si grosses couilles, on se demande comment les amerloques n'ont pas gagné le Vietnam... Peut-être que parce qu'en face ils réfléchissaient... Passons... Chuck a des couilles, c'est tout!

Donc malgré quelques baisses de rythme dommageables et un montage pas toujours très abouti, la qualité philosophique de l'ensemble devrait vous permettre par la suite de communiquer sans difficulté avec toutes espèces de chimpanzés de la planète, sans prendre de cours, juste par le langage gestuel. Un film qui devrait donc être proposé de toute urgence dans les écoles pour apprendre aux racailles à se tenir en société...

Norri-Dico: Un niakwé est un individu dont la particularité est d'être jaune aux yeux bridés, communiste, stupide, sadique et servile, et ne partageant pas les vraies valeurs, les valeurs américaines, celles qui ont des couilles...

Portrait de DorianGray DorianGray
I am Legend - 1998 critiques
publié le 16/06/2008 - 17:49

Oh la jaunisse !

Ouaaaaaaaah! Chuck is Back for more ! Il va bousiller du nikwai en toute tranquillité ... ces saletés avaient osé l'emprisonner et le tabasser ... qu'à cela ne tienne, il va prendre sa revanche et faire flamber l'Asie jusqu'au Nevada s'il le faut ... 'tain, non, le Nevada c'est les forces du bien ! Raaaaah! Bon vous l'aurez compris déjà uniquement au ton volontairement ironique de GoryFredy dans sa réalisation de fiche ... le scénario ne vole pas haut ... c'est du sous-Rambo 2 !!! Mais pourtant, l'action est au rendez-vous surtout dans des scènes de grande puissance ... qui ne se rappelle pas la scène du rat dans un sac ... et dire que certains disent qu'on achète ce film comme un chat dans un sac !!! (humour à la Beeny Hill je confesse, paire de ... d'ailleurs !!!) ... tout ceci pour vous faire bien comprendre qu'il ne faut SURTOUT pas prendre ce film au sérieux ... ça bouge, ça castagne, ça frappe (dure et fort mon sergent ! C'est comme ça que je l'aime !), ça bousille du jaune à toutes les sauces possibles (différentes armes, mains nues, bombes artisanales et moins artisanales !!!) ... en clair du tout bon moment de bonheur avec un film qui relaxe tout crispé !
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