Dernières critiques spectateurs
- 1 sur 3
- suivant ›
Ghosts of War
Nous sommes en 1944, dans la campagne française. Un groupe de soldats américains (pas bien corrects avec les boshs…) se dirige vers un château à garder. Ils prennent la relève d'autres gars qui n'ont pas l'air mécontents de se barrer d'ici…
Seulement le second film de ce réalisateur plus de 15 ans après le très bon Effet Papillon. Un nouveau film qui n'atteint pas le niveau de son ainé mais qui est tout aussi original dans son intrigue, entre fantastique, horreur et SF. Un beau château, de beaux décors, une belle lumière, de belles prises de vue. Et la narration est intrigante dès le début, ce qui vous garde en haleine ; on se demande bien où tout cela va nous mener. Les jump scares sont moyens, mais le rebondissement final est surprenant.
Une bonne étrangeté, pas dans la norme. Ça se laisse bien voir.
Publié le 30 Novembre 2025
Wrecker
Un road movie d'angoisse dans la lignée des plus ou moins bons Duel (Bihine sur), Une Virée en Enfer ou Jeepers Creepers. Un ouf dans son gros camtar qui harcèle de gentils automobilistes pas fute-fute.
Ça passe bien, pour qui aime le genre (comme moi), mais ça n'a rien de grandiose non plus. On va dire que c'est correct et se laisse regarder. La seconde partie à partir du flic (pas venu venir ce jump-scare) monte en puissance mais au global c'est tout de même assez mou du genou.
DU déjà-vu un peu revisité. Petit film à découvrir qui vaut un Joy Ride 2 par exemple.
Publié le 29 Novembre 2025
Attack of the Killer Donuts
Le titre respire le grand film… Ça sent le grand n'importe quoi et c'est bien le cas.
Un ovni comique de série Z (comme zéro) que, même au 100ᵉ degré, j'ai bien eu du mal à apprécier. On rit un peu, certes, mais c'est tellement mauvais dans la mise en scène et le jeu d'acteur que bon…
Du très très con assumé mais qui ne mérite pas qu'on s'y attarde bien longtemps
Publié le 29 Novembre 2025
Margaux
L'idée est originale. L'intro est correcte, la réalisation n'est pas inintéressante et la BO est bonne.
Ceci étant dit, les persos et dialogues sont faiblards, les scènes "chocs" sont rares et pas très réussies. Et assez vite on s'ennuie, c'est bien maigre tout ça dans le fond. Les twists finaux sont, sans être mauvais, bien mal amenés.
Bof bof bof... Dommage, l'idée de base était bonne.
Publié le 29 Novembre 2025
Jimmy and Stiggs
Quand Joe Begos, petit gourou du ciné de genre artisanal (Bliss, VFW…), décide de tourner Jimmy & Stiggs en pleine pandémie, il sait qu’il va transformer son appart en véritable champ de bataille. Ce qu’il ne sait pas en revanche, c’est que le tournage va s’étaler sur plus de quatre ans, le condamnant à vivre au milieu du chaos, des câbles et du faux sang visqueux pendant tout ce temps. Begos incarne lui-même Jimmy, un cinéaste camé en mal de reconnaissance. À ses côtés, Matt Mercer (également coproducteur) joue Stiggs, le bon pote fidèle. L'alcool, la drogue et l’invasion d'aliens qui survient en plein milieu du salon va vite entrainer leur relation dans une spirale de patates de forains et d’insultes gratinées. En résulte un trip psyché gore qui emprunte à Evil Dead, Bad Taste et Enter the Void, et qui détient sans doute le record absolu du nombre de “fuck” prononcés dans un film. Entre vomi cosmique et DIY hardcore, Jimmy & Stiggs est un monstre filmique dégoulinant de sueur, de drogue et de passion, une explosion de slime punk qui colle au plafond et ne redescend jamais.
Le film tapera dans l’œil d’Eli Roth, qui le distribuera en salles aux Etats-Unis et réalisera pour l’occasion deux faux trailers “grindhouse” absolument délicieux, que vous pourrez découvrir en lançant le film.
Publié le 28 Novembre 2025
Warlock 2 : The Armageddon
Cette suite offre une extension de l'univers de cette saga avec la confrontation du Warlock et des druides.
On retrouve Julian Sands dans son rôle icônique, avec une ressurection assez surprenante. Il est toujours très bon dans la peau de ce méchant atypique et ses meurtres valent toujours le coup d'oeil.
Malheureusement, on ne peut pas en dire autant des autres acteurs, surtout les deux jeunes acteurs principaux, qui peinent à être convaincants, malgré quelques scènes réussis.
Cette quête des pierres magiques offrent une trame intéressante, le warlock se retrouvant à traquer, manipuler et tuer les possesseurs de ces pierres qui ont tous des caractéristiques et des fins bien différentes.
L'apprentissage des protagonistes fait un peu trop film fantastique pour enfants, donnant un contraste un peu trop marqué et qui a du mal à se fondre avec l'aspect horrifique, d'autant que les effets spéciaux pour le côté télékinésie ont mal vieillis.
La confrontation finale est assez bien menée, le warlock se montrant tenace jusqu'au bout et la tension fonctionnant assez bien.
Une suite pas désagréable bien que moins réussi que son prédécesseur, à voire surtout pour l'interprétation magistrale de Julian Sands, qui apparaît pour la dernière fois dans le rôle du Warlock.
Publié le 26 Novembre 2025
The Requin
Mon lecteur DVD étant en rade, j'enchaine les Canal+ Replay, rubrique Horreur, et y'a pas que du bon : après les moyens-moisis "Cell Phone" et "Day of the Dead : Bloodline", ce soir ce fut le totalement navrant "The Requin" !
Ça commence pas trop mal pourtant. Franchement les 20 premières minutes se laissent regarder avec intérêt. On suit ce petit couple qui a fui la civilisation pour décompresser et oublier son passé sombre dans ce lieu paradisiaque. Ça ne respire pas le grand cinéma mais ça donne envie de continuer…
... Et puis c'est le grand crash. Quand les choses sérieuses commencent, tout devient carton-pâte avec des FX en toc et un déroulé incongru. C'est incohérent à en mourir de rire. Débile, j'ai bien ri, ça en deviendrait culte. Le Requin, lui, il arrive bien after et on ne le voit pas often.
1 point pour le début. 2 points pour les prises de vue pas numériques.
Fuyez ce DTV ! C'est une aberration.
Publié le 25 Novembre 2025
Les Messagers - Les Origines du Mal
Même si on le voit asser vite Monsieur l'épouvantail, il faudra attendre d'être à 10min de la fin pour le voir s'actionner un peu, dommage....
Le gars de Walking Dead ne réussi pas à nous tenir devant l'écran et puis bon, il n'y a vraiment aucun rapport entre le premier Messenger avec Kristin Stewart et celui-ci, et le premier était déjà bien mauvais....
Et puis on a clairement un copié collé sur plusieurs des vieux films d'épouvantails, ce qui donne encore plus à se demander "Pourquoi Messenger 2?". On aura jamais la réponse.
Je mets 4 étoiles pour le casting pas trop mal, l'image est bonne (bien ancrée mid 00s) et l'épouvantail à la fin fait sourir surtout dans sa façon d'avancer.
Publié le 25 Novembre 2025
Day of the Dead: Bloodline
Remake du film de Roméro (surtout par le nom…) avec une ambiance sympa, des persos sympas, une petite mise en scène, un petit scénario… Bref, c'est gentillet mais ça ne casse pas des briques. De la série B, pas mauvais pour de la TV, pas gégé pour du Cinéma. Se regarde pour passer le temps et s'oublie aussi vite. Next !
Publié le 24 Novembre 2025
- 1 sur 3
- suivant ›

































![28 Ans Plus Tard [4K Ultra HD Boîtier SteelBook limité] 28 Ans Plus Tard [4K Ultra HD Boîtier SteelBook limité]](https://www.horreur.net/sites/default/files/styles/vertical-petit/public/upload/28ansplustard_bduhd.jpg?itok=vn_bkDqH)











































![28 Ans Plus Tard [4K Ultra HD Boîtier SteelBook limité] 28 Ans Plus Tard [4K Ultra HD Boîtier SteelBook limité]](https://www.horreur.net/sites/default/files/styles/meilleurs_films/public/upload/28ansplustard_bduhd.jpg?itok=v0OsnHUq)
















Dans la lignée de "I spit on your grave", ce film s'inscrit parfaitement dans la mouvance " Rape and revenge", avec en plus un côté western moderne qui offre un dynamisme plus marqué que son auguste modèle dans les confrontations.
La protagoniste n'est pas la figure innocente de base de ce genre de films, au contraire c'est une femme assumant pleinement sa sensualité et dont la relation extra-conjugal avec un homme marié ne semble point la dérangée. Elle devient malgré elle objet de convoitise des associés de son amant, amenant un drame qui si il n'a pas l'impact physique du calvaire de Jennifer Hills dans "I spit on your grave" demeure percutant dans la réaction des divers personnages, l'amant se muant en un monstre encore plus sanguinaire que son associé violeur dans le seul but de sauver les apparences.
C'est justement ce trio masculin qui marque par cette différence de personnalité : On a l'amant qui derrière ses airs polis et son charisme est un psychopathe froid et arrogant, l'associé violeur qui est un sadique qui aime s'attaquer à plus faible que lui et enfin le troisième, le plus effacé des trois mais qui derrière son silence est lui aussi un tueur dangereux. Cette représentation de ce trio fonctionne plutôt bien et offre des moments conflictuels interessants, d'autant que la seule chose qui les relie est le plaisir commun de la chasse.
On a ici une belle utilisation des décors naturels pour nous offrir un jeu de traque bien ficelé et des scènes particulièrement tendues. La protagoniste n'est pour ainsi dire pas complètement maîtresse du jeu dans sa quête de vengeance et par moment passe de prédatrice à proie, renforçant l'ambiguïté de ce jeu de chat et de souris.
Les mouvements de la caméra appuie bien la dualité et la tension des confrontation, surtout dans la confrontation finale qui joue beaucoup sur le mouvement.
Par contre, la blessure de la protagoniste quand elle est est laissé pour morte est tout de même beaucoup trop importante pour imaginer qu'elle puisse malgré ça traquer ses bourreaux, la cautérisation n'est pas une solution miracle.
J'ai bien aimé ce retour du rape and revenge dans cette approche plus western qui offre des moments de tension bien forts.