Candyman 3 : Le jour des morts
Critiques spectateurs
Réalisateur: Turi Meyer Avec Tony Todd, Donna D'Errico, Alexia Robinson, Jsu Garcia, Mark Adair-RiosInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
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publié le 01/05/2013 - 12:54
Mise à mort
Pour ce qui est des acteurs, je ne trouve pas que Tony Todd démérite particulièrement, il est toujours aussi vicieux et charismatique. Par contre avec les conneries qu'on lui fait dire... Passons... Donna D'errico n'est pas le meilleur choix à mon avis. Même si je ne la trouve pas aussi mauvaise que d'autres internautes, avouons qu'elle est très inégale et limitée, et en fait trop dans les tremblements de lèvres surfaits. Je pense qu'il aurait été facile de trouver mieux.
Signalons également la présence de Jsu Garcia, qui utilisait autrefois le pseudonyme de Nick Corri, que l'on connaissait pour avoir joué Rod Lane dans le mythique "Les Griffes de la Nuit", le petit ami accusé d'avoir éventré Tina, la 1ère victime de ce grand farceur de Freddy Krueger. Il est un choix convaincant et sympathique. Et aussi dans le casting, Wade Williams, alors pas encore connu, qui deviendra par la suite le gardien de prison vachard de Prison Break. On lui faisait déjà confiance avant pour jouer les enfoirés comme le démontre le rôle de flic pourri jusqu'à la moelle qui lui est attribué.
Certes le scénario est lamentable, et les dialogues souvent stupides (Putain les conneries que l'on fait dire à Candyman en voix off... !?!), mais il reste néanmoins quelques bons moments ça et là. La mise en scène est plutôt efficace je trouve, et certaines ambiances et couleurs sont très réussies. On se prend à rêver de ce qu'aurait pu être cet ultime volet si le metteur en scène avait eu un bon scénario (auquel il a participé) entre les mains...
Dommage, car le film proposait une vraie fin, et la boucle était bouclée...
publié le 23/02/2013 - 09:27
Certainement pas une turie
publié le 31/07/2011 - 23:20
Pitoyable suite
publié le 21/07/2011 - 11:01
Quelle nulité
publié le 11/05/2011 - 16:28
De la mort du crochet
Le scénario est d'une platitude rare. L'héroïne est la fille de l'héroïne du deux. C'est bon, jusque là tout le monde suit? Bon. Alors cette connasse commence à dire à ses amis proche que c'est Candyman qui a buté sa mère et elle raconte qu'elle est l'arrière arrière petite fille de l'homme au crochet. Au cours d'un vernissage, elle dit cinq fois Candyman devant un miroir et fait resurgir le monstre (alors qu'il a été définitivement tué dans le deuxième volet! Trop fort, le Candyman). Alors après, je ne sais plus trop quoi raconter. On ne peut pas parler de carnage. On ne peut pas parler d'enquête policière. On ne peut pas parler de drame psychologique. On ne peut pas parler fantôme vengeur avec un godemiché en forme de crochet. Bref, on ne peut rien dire puisqu'il ne se passe rien. Le réalisateur a fait preuve d'un grand talent dans la nullité. Il a réussi à détruire un monstre dénonçant le racisme et la différence, une ambiance glauque, insalubre et dangereuse, et une poésie macabre. Il pourrait même changer de nom et s'appeler "El Destructurator".
Les acteurs. Parlons en des acteurs. Nom de Dieu de bordel de merde, mais qu'est-ce qu'ils ont foutu durant le casting. Celui qui gérait ça devait être drogué ou complètement saoul. L'actrice principale est une ancienne d'alerte à Malibu et ça se voit. Gros nénés, petit cul d'une enfant de sept ans et des cheveux d'une blondeur aveuglante. Par contre, ses talents d'actrice sont d'une médiocrité flagrante. Pas d'émotions, pas de jeux, rien de fin. Le drame, le cauchemar. Les autres acteurs sont tout aussi mauvais et ce n'est pas Tony Todd qui relèvera la barre. D'ailleurs, je suis sûr qu'il se demande pourquoi il a co-produit ce film, et surtout pourquoi il a joué dedans. Un casting formidable je vous dit!
Les scènes de peur sont inexistantes, tout comme les phases gores. La peur, qui se veut insidieuse, et qui est incarnée par Candyman demeure absente du film. Pas de surprises, à chaque apparition Tony Todd parait fatigué, mais surtout, il n'y a aucun suspense, pas de sursauts, pas de musiques stressantes. Rien, le néant. Pour les effets gores, c'est à peu près identique. A part, le crochet de Candyman qui transperce deux ventres et une femme égorgée, on reste sur notre fin. Les effets spéciaux ne rattrapent pas le tout car ils sont aussi mauvais que le film. Je passerai sur l'ouverture du manteau de Candyman montrant ses viscères qui ressemblent plus à du plastique de chez Center fêtes qu'à un maquillage finement réalisé.
Déjà que dans le deuxième opus, on pouvait dire adieu à la poésie, à la magie macabre et à l'ésotérisme malsain, dans le troisième métrage, on peut adieu à tout le reste. Adieu tueur charismatique, adieu acteurs dirigés correctement, adieu ambiance oppressante. Du coup, le film demeure vide, on s'ennuie à cause d'un rythme d'une lenteur affligeante et l'intérêt que l'on essaye de porter à ce métrage tombe littéralement dans les abîmes de notre sommeil.
Au final, ce troisième film est d'une nullité absolue, complètement raté, avec des acteurs d'une médiocrité inouïe et d'un rythme digne d'un épisode des feux de l'amour. De toute façon, le générique de début annonçait déjà la couleur, avec une caméra tournant autour d'un crochet ensanglanté tel un objet sexuel dans une vitrine du télé achat. Il ne manquait plus que Pierre Bellemarre. Je déconseille vivement cette purge qui a fini par détruire un des boogeyman les plus célèbres des années 90.
publié le 24/02/2011 - 20:13
Inutile
publié le 03/10/2010 - 00:12
Bee Movie
publié le 18/08/2010 - 18:57
Mon avis
publié le 29/02/2008 - 12:53
Ha ha ha ha ha !!!!!!!
publié le 21/01/2008 - 12:18
Vive la touche avance rapide
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