L'Ile de l'Epouvante
Critiques spectateurs
Réalisateur: Mario Bava Avec William Berger, Ira Furstenberg, Edwige Fenech, Howard Ross, Helena RoneeInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
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publié le 14/10/2013 - 18:11
Island, money, sex & murders
5 bambole per la luna d'agosto annonce l’arrivée de la fameuse Reazione a Catena. Et même si ce premier n’a pas eu le même succès que le second, je trouve qu’il jouit d’un savoir-faire épatant. La mise en scène est tout simplement sublime. Les nombreuses couleurs se marient aux zooms pour nous offrir des cartes postales 70’s qui laissent rêveur… Tout cet esthétisme aux sons d’une autre époque fait de l’œuvre de Bava un superbe Giallo kitch et sexy.
Mon seul regret concerne le dénouement de cette histoire. Je trouve qu’il y a quelques petites incohérences qui empêchent le spectateur de tomber littéralement sur le cul. Mais l’ensemble faisant quelque peu planer (certainement des vapeurs illicites issues du tournage qui ressortent par mes enceintes), on pardonnera ces quelques maladresses.
5 bambole per la luna d'agosto est donc un bon Giallo. C’est très beau, très chaud et très prenant. Et même s’il n’est pas parfait, la simple puissance de la réalisation suffit à procurer beaucoup de plaisir.
publié le 01/07/2013 - 14:30
Pas de quoi être épouvanté.
publié le 22/01/2011 - 20:23
Thriller/Giallo
publié le 09/09/2009 - 20:50
Les dix petits...Bava
Bien évidemment, l'ombre des DIX PETITS NEGRES d'Aga Christie est omniprésente mais le metteur en scène apporte toute sa patte à une intrigue commune en accentuant la cupidité et le cynisme des protagonistes tous plus délicieusement antipathiques les uns que les autres.
Cette approche accroit considérablement la tension et, entre deux meurtres cruels (la focale étant sur les rapports de force et la paranoïa ambiante, les amateurs de gore seront assez déçu sur cet aspect puisqu'on ne voit que les cadavres), Bava expérimente avec dextérité divers exercices de styles séduisants (les zooms frénétiques, les tons colorés vifs, la musique funèbre pour les scènes dans la chambre froide accueillant les corps...).
L'autre bonheur provient de son scénario qui est, mine de rien assez complexe (il est très difficile de deviner l'identité du tueur) et aboutit à un final à multiples rebondissements (attention à bien suivre autrement certains passages peuvent paraître incohérents).
Avec les années, ce petit suspense s'est plutôt bonnifié et ravira sans aucun doute les amateurs d'énigmes à l'ancienne et les fans du maître transalpin.
publié le 12/02/2009 - 17:53
Mon avis