Death Race 2

7.6/10
Death Race 2

Critiques spectateurs

Réalisateur: Roel Reiné Avec Luke Goss, Ving Rhames, Sean Bean, Danny Trejo, Robin Shou, Lauren Cohan

 Inscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !

Portrait de Nandrolone Nandrolone
Serial Killer - 741 critiques
publié le 23/11/2012 - 23:39
8
 

T'a un nom ? oui comme tout le monde

Il était difficile de faire une suite à Death Race ... mais Death race 2 parvient habillement à le faire en fesant débuté l'ation avant le premier épisode, une préquelle... et qui le fait bien, Death Race 2 pose les bases pour quelques suite supplémentaire si on considére qu'a la fin du deux, "Frankenstein" dispute sa premiere victoire et qu'au début du premier il en a déja quatre, on peu esperer encore quelques films... en esperant que la "qualité" soit au rendez vous ! quand je dit "qualité" je pense "action non stop" .

C'est un bon film ... mais en tout point inférieur au premier épisode, l'action est bien présente mais les courses arrive un peu tard, laissant la place a de la baston durant une bonne partie du film, j'ai moins apprécié mais ça reste du bourrin de premier choix avec un niveau de connerie ambiante assez impressionnant et des répliques à la limite de l'insoutenable. faut aimer...

Portrait de Gory Freddy Gory Freddy
I am Legend - 1952 critiques
publié le 24/09/2012 - 19:33
9
 

Réponse à Lebreihz

Il ne s'agit pas d'une préquelle du film de Paul Bartel "La Course à la Mort de l'An 2000" (connu aussi sous le titre vidéo "Les Seigneurs de la Route"), mais de son remake de 2008, "La Course à la Mort" (Death Race).
Portrait de Lebreihz Lebreihz
I am Legend - 2308 critiques
publié le 24/09/2012 - 13:23
8
 

Terminal island

En fait je n'avais pas compris qu'il s'agissait d'une préquelle de" la course à la mort de l'an 2000" de Paul Bartel, et d'ailleur à ce sujet on voit dans le film le commanditaire du hold-up regarder le film à la télé au tout début du film. Le film reprend grosso-modo les élements de "la course a la mort" de 2008, il s'afit de prisonniers contraint de s'affronter dans des courses automobiles meurtrières, le tout sous le couvert d'une émission de télé animé par des individus totalement dénué de morale.Sauf que dans ce film, le réalisateur a ajouté des scènes de combat à main nue. L'ensemble est plutôt bien fait et très jouissif, les cartons avec les voitures sont très bien fait. Mais alors on aurait pu penser que l'ensemble demandait à être justifier, mais là le réalisateur a très bien résolu la question, car il permet d'introduire dans la série le personnage de frankestein. Par contre on est en droit de se demander si certains élements du films sont utiles, comme le contrat sur la tête du héro du film par le commanditaire du hold-up.
Portrait de Punisher84 Punisher84
I am Legend - 1390 critiques
publié le 19/05/2012 - 12:26
6
 

Joyeux anniversaire

Le film original du regretté Paul Bartel était un petit monument du politiquement incorrecte et une virulente critique de société. Quand Paul Anderson a repris le flambeau pour le remake sorti en 2008, j’ai failli avoir une crise cardiaque à même pas 25 ans. Je m’étais alors retrouvé devant un simple mais sympathique film d’action futuriste. Tout ce qui faisait la force et le charme du premier film était donc passé à la trappe. Et ce n’est pas cette suite vidéo qui allait changer quelque chose. Presque tout le film est une redite mais là ou il gagne ses galons, c’'est quand il démontre comment cette fameuse course à la mort est née. Evidemment cela reste de la série b avec tout ce que cela implique mais dans le genre, j’ai déjà vu pire. L’essentiel se tourne donc sur les scènes de poursuites, moins nombreuses mais sympas, mais aussi quelques bastons bien senties. Cela ne vole pas bien haut et il y a des moments ou l’on tourne en rond quand il ne s’agit pas de se farcir l’histoire d’amour de trop. En plus d’être totalement inutile, elle est totalement risible et débilement amenée. Mais ô miracle ! Je croyais abattre Death Race 2 sur le peloton d’exécution lorsque dans sa dernière moitié, celui-ci prend un virage inattendue. En quelques moments, celui-ci se rattrape en me faisant un putain de plaisir jouissif comme je n’en ressens que très rarement ! A ce titre, une partie de la réponse se trouve dans le générique d’ouverture. Le tout se terminant sur un plan bourrin mais limite magistrale au vu de la saga. Comme quoi les miracles, ça existe.
Portrait de Gory Freddy Gory Freddy
I am Legend - 1952 critiques
publié le 30/03/2012 - 17:46
9
 

Putain c'que c'est con !!!

"Putain c'que c'est con !!!", je ne compte plus le nombre de fois que cette phrase admirative m'a traversé l'esprit durant le visionnage de ce film merveilleux. Mon cerveau friand de nouvelles expériences intellectuelles n'en pouvait plus de bonheur à force d'être à ce point rabaissé à l'état de légume. D'une connerie titanesque, cette préquelle au "Death Race" avec Jason Statham, lui-même remake du fabuleux "La Course à la Mort de l'An 2000", connu aussi sous le doux nom de "Les Seigneurs de la Route" avec notre adepte de la non-violence préféré David "Petit Scarabée" Carradine; m'a permis d'explorer de nouvelles contrées trisomiques jusqu'alors laissées scandaleusement vierges.

Quelle ne fut pas mon excitation lorsque je constatais, subjugé par tant de néant intellectuel, que le film déjà très con au départ ne cessait de monter en puissance. Alléluia Mes Frères, prosternez-vous devant la Divine Connerie, car le Paradis n'est pas au Ciel, mais ici, sur votre écran, devant vos yeux éblouis, emplis de larmes de reconnaissance...

Comment décrire une telle expérience ? Difficile... Imaginez-vous en train de parler avec un rappeur et un footballeur en même temps, pour leur expliquer comment apprendre à lire et écrire à une vedette de la télé-réalité... Et vous êtes encore très loin de cette expérience unique de délabrement cognitif.

Ce film est tout simplement dément ! Il nous raconte comment "Frankenstein" est devenu ce héros au doux nom et au masque si joli qui tuera par la suite tout plein de monde dans des courses endiablées... avant de se faire lui-même nicker au début du 1er "Death Race" avec sieur Jason "me cassez pas les couilles" Statham. Les séquences d'action sont titanesques, hallucinantes, et de plus en plus folles à mesure que le film progresse (tandis que vous régressez). Difficile de croire que le film n'avait que 7 millions de dollars comme argent de poche quand on voit le résultat qui fait plutôt penser à un blockbuster de 50 millions. Du très beau travail !

L'histoire commence par des combats à mort dans une prison, le tout filmé pour les beaufs de la glorieuse société US qui n'a rien d'autre à foutre que de grossir devant la TV, en refaisant le monde entre deux pets. Le combat aux lance-flammes est du pur n'importe quoi jouissif et délirant qui va non seulement faire péter le pace-maker de pépé, mais aussi vous en imposer un... Ensuite, l'histoire évolue (tandis que que vous êtes passés du statut d'être humain, espèce supérieure auto-proclamée, et inférieure dans l'absolue; à celui de singe plus ou moins savant, mais au moins capable de regarder la télé sans s'tromper), et p'isque les combats dans les prisons ne font plus assez d'audience, on décide de passer aux courses mortelles. Oh la bonne idée que voici que voilà !

A partir de là vous avez le droit à une succession de courses endiablées et de cascades absolument démentes, dans lesquelles l'Inspecteur Derrick et Louis la Brocante trouveraient le moyen de se tuer rien qu'en les regardant ! J'ai du mal à dire combien de fois j'ai pensé "Putain, mais que c'est con" avec un entrain tout infantile durant la première course, mais je l'ai pensé au moins 50 fois... Réellement, je n'arrêtais pas de penser ça, avec une érection d'une telle qualité, qu'on aurait dit qu'un troisième bras m'était poussé entre les jambes. Ça y était, j'étais passé au stade végétal, au vide cérébral absolu, après lequel tous les rappeurs ou footballeurs courent comme après le Saint Graal. Une régression absolue, qui fera des envieux, car me permettant enfin d'intégrer la société dite "civilisée" et toutes ses valeurs hypocrites.

Je ne sait comment résumer ce film à part par un "Putain mais qu'est-ce que c'est con !" totalement béat, émerveillé, suffoqué d'enthousiasme, presque à genoux de part la vénération qu'il m'inspire... mais impossible à cause d'une érection tellement rigide, que je ne parviens même plus à me déplacer sans casser un meuble quand j'y pense, alors se mettre à genoux... Tant pis, mon intellect me suffit pour sanctifier cette oeuvre visionnaire, qui a changé ma vie et mon appréciation du bon cinéma, celui éducatif qui rend meilleur et plus alerte spirituellement.

Rien ne manque dans ce chef-d'oeuvre absolu de beaufferie assumée et auto-satisfaite: Des mecs qui ont des couilles, des grosses, des vrais, avec tout plein du poil joli autour; des pouffiasses aussi intelligentes qu'une valise sans poignée mais qui feraient bander des morts; des dialogues aux petits oignons pour vous expliquer comme c'est super d'avoir des couilles, surtout quand elles sont grosses et poilues, etc etc... Et avouons que le casting est excellentissime ! Luke Goss est charismatique en diable, Danny Trejo traîne sa sale gueule burrinée de dur de dur au grand coeur avec un bonheur partagé, Ving Rhames campe une pourriture d'anthologie, Lauren Cohan joue une salope mémorable... Dommage que les toujours impeccables Sean Bean et Robin Shou soient aussi peu exploités...

Bref vous l'aurez compris, Fuck les films d'Ôteurs, mais Fuck bien profond, Deep Inside jusqu'à l'os quoi, Brûlons les restes de Daniel Toscan du Plantier et Henri Chapier s'il y en a encore, dansons sur leur tombes et glorifions le cinéma fait pour les vrais hommes, ceux qui vont construire le monde de demain !

Putain je piaffe déjà d'impatience de voir "Death Race 3" qui sort en Décembre 2012, et qui est une suite directe !!!

Bliss91
America's Most Wanted - 545 critiques
publié le 17/07/2011 - 22:28
6
 

Et Death Race Créa Frankenstein !

Bonne préquelle que constitue ce Death Race malgré l'absence de Jason Statham.

L'action est au rendez-vous meme si le fil de l'histoire reste classique et fidélement coherente au regard du premier opus qui en realité sera la suite de cette épisode.

La distribution est correcte avec des habitués solides de serie B tel que Ving Rhames, Robin Shou et Danny Trejo. Concernant les FX, ils sont présents mais on sent toutefois les limites, notamment par rapport au 1er opus.

Conclusion : Un bon Divertissement.

Bonus Time : les qualités des co-pilotes :)

Portrait de Dante_1984 Dante_1984
I am Legend - 1124 critiques
publié le 27/01/2011 - 10:52
8
 

Mario wins... or not !

Incarcéré dans une prison de haute sécurité pour un braquage de banque qui a mal tourné, Carl Lucas est contraint de participer à un jeu télévisé sous le joug d’un odieux chantage. Pour regagner sa liberté, il va devoir gagner cinq courses lors du Death race. Ce second opus n’est autre que la préquelle au film de Paul Anderson. La genèse de l’émission de télé-réalité Death race nous est relatée avec également le passé d’un personnage connu des amateurs du précédent film (que je ne citerai pas pour ne rien spoiler). Un retour aux sources qui a le mérite de soigner son scénario à défaut d’innover. Toutefois durant une heure, aucune course à l’horizon. Si bien que l’on pense s’être fait avoir sur le produit final.

Ne voyons pas en cette suite une œuvre singulière prompt à nous interroger sur les méfaits télévisuels de notre époque (ou à venir), mais plutôt un divertissement qui parvient sans difficulté à remplir son contrat haut la main. A la barre, Roel Reiné qui n’est autre que le responsable du très rythmé The marine 2. De ce côté, on lui fait confiance pour un rythme trépidant qui ne perd pas son temps en vaines facéties. On ne s’ennuie pas un seul instant et l’on dénotera de la part du cinéaste une certaine volonté à ne pas rouler sur les plates-bandes de son prédécesseur. A sa manière, il apporte sa petite touche personnelle par le biais d’une approche pour le moins inattendue. Introduire le film par des combats libres (semblable à l’UFC en plus violent et dangereux) était risqué, mais cela fonctionne plutôt bien.

Fort heureusement, les dernières quarante minutes nous procurent des courses ultra-violente à mi-chemin entre un Mario kart « réaliste » (si tant est que l’on puisse définir Death race comme tel) et Running man pour le style voyeuriste de l’émission de télé-réalité. D’un côté, nous retrouvons donc les fameux bonus d’activation permettant aux pilotes d’attaquer ou de se défendre via les moyens du bord. De l’autre, la grandiloquence et le bagou des émissions télévisées qui parviendraient à décérébrer Stephen Hawking en personne. Design visuel tape-à-l’œil, pin-up gonflée à bloc aux côtés des pilotes, grosse caisse et bien sûr l’équipement qui va avec.

Bref, Death race 2 est une suite des plus réjouissantes. Si l’on retrouve dans sa deuxième partie ce qui a fait le succès (ou l’insuccès auprès de certain) du premier opus, Roel Reiné tend à débuter son récit par le biais d’un travail soigné à défaut d’être innovant. Un pari qui était loin d’être gagné à l’avance mais qui, au final, séduit et emporte l’adhésion du spectateur. On se délectera tant des combats entre prisonniers que des joutes de métal entre carrosseries. Une très bonne distraction en perspective sans prise de tête.

Portrait de Killer klown Killer klown
Graine de psychopathe - 122 critiques
publié le 12/01/2011 - 17:05
8
 

Dans le style du premier

Moi je dis qu'il est plutôt bien ce death race 2, si vous avez aimé, le premier vous aimerez le 2. Doncc ce film est une préquelle, nous savons comment les courses de voiture dans la prison sont nées, comment ça s'est déroulé, et surtout, comment le personnage de frankenstein a fait son apparition.
Vous souhaitez soutenir Horreur.net ? N'hésitez pas à faire un don, même symbolique, sur Tipee.

Thématiques