The Devil's Rejects

C'est vrai que Rob Zombie à fait fort avec ce film. Mais même si THE DEVIL'S REJECTS est bourré de qualités, je pense sincèrement que ce n'est pas le meilleur. J'entend par là qu'en regardant le film, j'ai senti que le réalisateur n'a pas tout donné. Comme si il attendait encore avant de nous foutre la claque cinématographique de notre vie (HALLOWEEN ?). En attendant, voilà une belle gallerie de personnages plus timbrés les uns que les autres interprétés par des comédiens sortis tout droit du trou du cul de l'Amérique. Sheri Moon est excellente en garçon manqué, monsieur satan est sympathiquement affreux. De ce coté, les deux meilleurs atouts sont sans conteste la performance totalement folle de William Forsythe en sheriff vengeur et la performance salvatrice de Bill Moseley. L'intrigue et le suspense jouent beaucoup sur ses deux qualités. En effet, difficle de savoir si on préfère l'un ou l'autre. Cette dualité est un bon fil conducteur pour ce type de film. C'est même trés inquiétant, car peut-on justifier le fait d'aimer soit un flic vengeur qui n'en a rien à foutre, soit un dingue pecno qui cherche à sauver sa petite famille ? Plaisir coupable qui s'ajoute au plaisir que le spectateur a de regarder les scènes d'action pures et les scènes gores. Voir en celà l'incroyable fusillade du début et la prise d'otage de la famille dans le motel. Les seconds rôles sont aussi réjouissant notamment Ken Foree. Le coté barali des décors texans est trés bien ancré. Ou aurions-nous tourner un film pareil ailleurs que dans cet endroit pourri ? Rob Zombie à fait de l'excellent travail et nous offre une fin tristement splendide pour un film qui je l'espère, servira d'exemple pour de longues années à venir.

Pour moi ce film est une chef-d'oeuvre car non seuleument il est tout a fait le type de film qui me plait mais en plus son réalisateur arrive a vous faire avoir pitié d'une famille de i]Italiquepsycopate fini.

Ce film est un chef oeuvre pour nos emotions j'ai adorer ce film qui ma donné des emotion partagé avec au début la famille de tueur original, avec la femme de rob zombi qui ne fait pas du tout tueuse, qui tue...normal... et qui maltraite une famille ordinaire puis au fure et a mesure des minutes je me suis attacher a cette famille de fou (grace a la femme de rob zombi qui ma seduit completement ^^) et la fin est super on passe de famille de fou qui tue qu'on deteste a famille de fou qui se fait torturé maltraité qu'on aime. J'ai vraiment été content de la fin c'est un bon film qui nous touche bien. A voir absolument c'est un chef d'oeuvre !!

Annoncé comme un nouveau film culte, j’étais impatient de découvrir enfin Le film. Et le moins que l’on puisse dire c’est qu’en effet ce film est une bombe. Visuellement d’abord. La photo est originale, léchée et très belle. Le montage est digne d’un De Palma dans ses meilleurs films. Le tout agrémenté d’une musique et de chansons seventies bien sympas et appropriées. Les acteurs sont très crédibles, surtout du côté des victimes terrorisées, humiliées et torturées. Parmi celles-ci on retrouve avec plaisir l’inoubliable ancien compère de Clint Eastwood Geoffrey Lewis dans Every Which Way But Loose. Quant au film il est malsain, immonde et rend hommage aux classiques des années 70. Zombie semble s’inspirer de Chainsaw, La dernière maison sur la gauche ou encore d’uns scène finale à la Bonnie and Clyde. En conclusion, on peut dire que Devil’s Rejects est un superbe hommage aux films du genre, proche du chef d’œuvre grâce à la réalisation innovante et ambitieuse de Rob Zombie mais manquant d’originalité dans la trame scénaristique.

Un western version horreur ou l'on suit nos trois "psychopates" Otis , Baby et le fameux Cap'tain Spaulding . Humour noir , violence , dialogues superbes et un final en extase oui The Devil's Rejects de Rob Zombie est un des meilleurs films d'horreur de l'année 2006 , un pur tripp' qui se vit de bout en bout . A voir d'urgence .

Fameux chanteur dans le groupe de metal industriel White Zombie, Rob Zombie avait démontré qu'il pouvait également œuvrer dans le cinéma de genre en réalisant House of 1000 Corpses. Ce n'est pourtant qu'avec The Devil's Rejects, concentré explosif de violence extrême, d'humour noir et de mauvais goût, qu'il apporta réellement sa pierre à l'édifice du film d'horreur. Alors que les pétards mouillés Wolf Creek ou La Colline a des Yeux 2006 comblaient les salles obscures, The Devil's Rejects ne bénéficiait pas d'une exploitation commerciale digne de ce qu'il valait et a montré le bout de son nez sur le tard, au moment où le public commençait à jouer sérieusement les blasés. Il n'aura ainsi guère eu droit au même succès que certains de ses homologues au demeurant beaucoup moins intéressants sur un plan purement qualitatif, à moins que l'on ne finisse par (re)découvrir ce diamant noir comme il se devait au départ. Mais désintéressons-nous du mauvais sort commercial du film pour nous pencher sur lui-même. Qu'est-ce que The Devil's Rejects, au juste ? Un survival de plus bricolé par un hard rocker nourri à Massacre à la Tronçonneuse ou Tueur-nés ? Pas le moins du monde. Rob Zombie se lâche complètement, il balance au cœur d'une industrie bouffie et usée l'un des plus beaux exemples de décomplexion jamais mis en scène, à tel point qu'il fait de ce Devil's Rejects un film d'auteur à part entière. Derrière l'étalage de brutalité hardcore, d'obscénité malsaine et d'hystérie achevée qui caractérise le tout - et le hisse à un stade de jubilation coupable rare -, il y a là-dedans des audaces scénaristiques et visuelles incontestables: Rob Zombie fait des bourreaux les victimes, les héros d'un survival où le véritable mauvais rôle est endossé par un sheriff impitoyable et revanchard. La réalisation, que l'on pourra juger hasardeuse, maladroite et approximative, sert en fait à décupler ce climat de folie, de morbidité et de sauvagerie pourtant loin de se prendre au sérieux, comme le témoigne cette généreuse dose de cynisme et d'humour noir qui occasionne à The Devil's Rejects de friser la parodie. Avec ses quelques vieilles bouilles bien connues (Sid Haig, Bill Moseley, Ken Foree, Geoffrey Lewis, Michael Berryman), le casting flatte l'amateur en règle, mais l'on retiendra surtout dans ce rayon-là l'impressionnante composition de William Forsythe en sheriff vengeur ainsi que la sublime plastique d'une Sheri Moon pour le moins déchaînée. Toujours à la frontière entre le survival glauque et éprouvant et la comédie macabre (John Waters ou Russ Meyer ne sont jamais loin), The Devil's Rejects pulvérise la concurrence et nous administre une belle grosse claque dans la figure. À l'heure où l'on farfouille désespérément un intérêt dans la plupart des productions du genre de ces dernières années, Rob Zombie et son jouissif bébé sont parmi les rares à nous convaincre que le cinéma d'horreur n'a pas encore entièrement dépéri. Une bombe dévastatrice.

Ca faisait très très longtemps que je n’avais plus vus un film américain de cette trempe. Alliant humour noir et scènes franchement violentes « The devil’s rejects » est assurément le film d’horreur de 2005 (ou 2006, peu importe). Un casting exceptionnel réunissant certains grands noms du cinéma comme William Forsythe, Bill Moseley, Sid Haiq, Ken Foree, Danny Trejo, Michael Berryman et la superbe Sherry Moon Zombie (dont les gros plans sur son cul alors qu’elle est entrain de le trémousser sont légion). La mise en scène de Rob Zombie, consistant à souvent faire des images arrêtées ainsi que des accélérations brutales, rend le film encore plus jouissif et permet d’éviter les temps mort. Côté B.O, moi qui craignait me retrouver face à de gros riff de guitares bien bourrain (même si les quelques sons que je connais de Rob Zombie, notamment sur la B.O des Matrix, je les aimes assez), j’ai été plutôt rassuré et je l’ai franchement adorée elle aussi. N’allons pas par 4 chemins, ce film est une pure bombe. A voir absolument.

J'avais déjà vu house of 1000 corpses avant de voir the devil's rejects donc je savais à quoi m'attendre en gros! mais je n'ai pas du tout été déçu. J'ai trouvé que ce film avait une ambiance malsaine omniprésente qui nous plonge bien dans l'univers décalé des personnages. La scène la plus mémorable pour moi est la scène finale! je ne vais pas dire à quoi ça correspond il faut le voir!!