Guinea Pig : Mermaid in a manhole

L'épisode légendaire des GUINEA PIGS o% un peintre trouve une sirène dans les égouts de tokyo, la ramène chez lui et la brûle avant de décider de peintre ses tableaux avec le pus de ses cloques. Vous serez d'accord, c'est assez rare. L'idée est completement folle et j'adore ça, donc j'encourage ce genre de film qui ose.

Ben mouai... J'aime le gore mais alors j'ai trouvé ça chiant, risible et bah un peu crade mais fort gentillet, surtout qu'en lisant les commentaires ci dessous je m'attendais à du lourd, vu qu'il valait mieux voir ça le ventre vide, âmes sensibles s'abstenir,...Perso, ça ne m'a fait ni chaud ni froid, si ce n'est "m'emmerder" profondément. Si on a du temps à perdre pourquoi pas, mais c'est à mon sens complètement inintéressant, ni esthétique, ni romantique, ni je ne sais pas quoi c'est juste... bah nazeee!!!

Du gore et du gore bien dégueu comme on les aimes, MERMAID IN A MANHOLE est le meilleur des guinea pig (enfin c'est le seul qui dépasse la limite du "bien" et qui se situe dans le "très bien"). Une histoire assez poêtique et craspé à découvrir.

Après avoir réalisé le très bon Flower Of Flesh And Blood, Hideshi Hino revient en force avec ce quatrième épisode de la série des Guinea Pig. Un peintre découvre une sirène errante dans les bas fond d'un égout. Cette sirène est malade et son corps est en train de se recouvrir de grosse pustule. L'artiste doit peindre son portrait avant quel meurt. Mermaid In A Manhole est dans la même ligné que Flower Of Flesh And Blood. Le film est bien malsain et il comporte de jolie maquillage. Ce volet n’est pas super gore mais les maquillages sont bien réalisés. C’est parfois très vomitif : les grosses pustules sur le corps de la sirène qui explose en laissant sortir un liquide visqueux multicolore ainsi que des asticots et autre sorte de vers qui lui sort d’un peu partout. Le coté Z et amateur est encore de la partie. Les deux volets réalisé par Hideshi Hino s'avère à être les meilleurs de la série.

Un film difficile à supporter pour notre cher estomacs , de plus la poésie macabre règne durant les 60 minutes du moyen métrage . C'est beau et affreux en même temps . Certaines scéquences sont réellement difficiles à supporter . Le meilleur ni plus ni moins .

Après un premier opus décevant, une suite extraordinairement glauque, me voilà en face du troisème opus de la série des Guinea. Sans aucun doute le plus hardcore. Ici, point de sang (sauf en fin de métrage) juste un corps de sirène qui se décompose avec le temps selon le souhait de cette dernière afin que son "sauveur" puisse la peindre. Une histoire d'amour et d'horreur, on assiste complètement passif à ce spectacle abominable où tout y passe : grosses pustulles fleurissantes, absets, pourriture, cocons d'asticots plein de matière douteuse...un cocktail réellement abominable. La fin est proprement hallucinante, du jamais vu. Bien sûr, à réserver à un public extrêmement avertit et si possible à jeun, histoire d'éviter les quelques relans face aux images. Un film tragique et trash. Une histoire étonnante, définitivement pour adultes.