Flesh

Clairement, l'envie du couple de producteurs-réalisateurs c'était de foutre le tout jeune Dallessandro à poils et de le filmer sous tous les angles possibles (il aurait tort de s'en priver vu qu'il est peu chaste et suffisemment bien monté, le bougre) ! Il faut avouer que le corps du Christ (pardon de Joe) est avantageux et que la bête paraît de bonne qualité (élevée au grain quoi ! y a qu'à regarder cette chose dure et souple qui se trémousse entre ... ses bras ... ben oui, son torse quoi, bande de vieux dégueulasses !!!) ... le scénario nous démontre avec un effacement étrange le temps de la misère dans un New York peuplé de fous et de dérangés (le temps béni de l'Underground) ... Joe évolue, pine au vent, dans des rues mal famées et devant des vitrines glauques et malsaines et entre les mains des clients qui ne paient somme toute pas bien cher pour se l'envoyer (quelle époque bénie vraiment !!!) ... de fait les seuls passages où l'on sent l'oeil (lubrique) du caméraman - réalisateur ... ce sont les scènes de cul !!!! Alles, Joe à la casserole !!!!