Mars 2056

Critiques Spectateurs de Mars 2056

Réalisé par Jon Hess, sorti en 1998.

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4
★★★★☆☆☆☆☆☆
1 critique
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3 0
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1 0
Portrait de LebreihzLebreihz
I am Legend - 2309 critiques
publié le 01/12/2008 - 11:50
4
 

Con comme la ....lune

C'est sur, il ne faut pas compter sur ce film pour améliorer l'état de vos neurone. C'est un curieux croisement entre "total Recal" et "outland". L'histoire est some toute simple et l'intrigue minimaliste. En 2056, les hommes ont colonisé Mars afin d'extraire de son sous-sol le silex. Le silex; vous savez c'est cette pierre que l'homme préhistorique taillait pour faire des outils, eh bien, là dans ce futur très proche l'homme extrait du silex pour faire tourner des moteurs ! étonnant hein ! En parlant d'hommes préhistorique justement, on a l'impression que ce film en contient un fameux échantillon. Ne serait que le héros déja, c'est une sorte de super-agent de la sécurité au service de la compagnie minière qui enquête sur la mort de son frère lui même agent de sécurité dans la même compagnie. Alors le mec ! attention, c'est une sorte de colosse au visage monolithique et inexpressif qui non content de rouler ses larges épaules sous un épais pull over qui en renforce l'effet, se met à tabasser toute une collection de types genre méchant, pas beau, qui marchent tous comme si ils avaient des oursins sous les aisselles. Car notre homme passe le plus clair de son temps dans les bas fond d'Alpha-ville,et autres club de streap-tease louches, ou sévissent tout ces voyoux. Et notre homme va faire le ménage, car le film n'est que bagarres toutes organisées de la même façon sois-dis en passant, et il réussit à se trouver un allié en la personne d'une petite lope locale qui passe son temps collé aux basques de son modèle.Mais rassurez-vous, j'allais oublié, notre super-mec réussi à s'allier d'amitié avec une femme, medecin aux cheveux décollorés par les radiations martiennes, enfin ! en voilà une qui n'est pas une pute ! histoire d'apporter une touche féminine à l'ensemble, et aussi d'être bien avec les associations féministes. Très tôt notre Homme se retrouve confronté au directeur de la compagnie, qui en manager impassible dégage une telle impression d'honneteté et d'intégrité, que l'on a plus aucun doute à son sujet. En fait le film est simpliste, minimaliste, primaliste,manichéen. C'est le ciné bourrin, dans toute sa splendeur.

Devinez le film par sa tagline :

You can lose yourself forever in these woods.
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