The Machine girl

Si on le regarde comme tel, The Machine Girl peut paraître gros Z bien nul, mais pourtant, et n'étant pas adepte de l'ultra gore, ce machine girl m'a bien fait sourire, avec des personnages pour le moins haut en couleur, complètement décalés, et stéréotypés. Faut bien le reconnaître et comme déjà dit précédemment, c'est un style complètement assumé, le but principal, étant de donner dans le gore et ne se préoccupant aucunement du réalisme de ses scènes. Car même si le scénario en lui-même ne relève pas d'originalité( l'histoire d'une vengeance), car on a vu cela mille fois ailleurs et bien mieux réalisé, là c'est l'ensemble qui donne une dimension complètement barrée au métrage. Bref, ce Machine Girl est un film surprenant, suivant son fil rouge de bout en bout à savoir l'excès à tous les niveaux.

C'est plutôt une comédie qu'un réel film d'horreur. Les scénes gores ne sont pas du tout crédibles, mais le film est bien rythmé, il n'y a pas de tempz mort, c'est tout ce que l'on demande dans ce genre de film.

Un pur film de gorefest (même si je trouve celui-ci trop timide), complement disjoncté, plein d'imagination et de sang. Je regreterai juste que le réalisateur/scénariste à voulu faire une histoire trop construite (pour ceux qui ne le savent peu etre pas, le gorefest est un genre où il n'y a quasiment pas de scénario, il faut qu'il soit débile au passage, il faut 3 tonne de sang et de gore qui gicle dans tout les sens, beaucoup d'imagination, de jolies jeunes lycéennes, du cul et voilà) ca gache un peu le film est lui donne trop de longueur, dommage. Sinon c'est bien barré mais pas assez pour en faire un délire pur et dur je trouve. Excellent film en sois, à voir entre pote avec une bonne bière, bonne soirée garantie.

Une jeune fille décide de se venger d’un gang de yakusa qui a tué son frère et son ami pour le plaisir. Elle décide de faire équipe avec la mère de ce dernier pour mettre fin aux agissements de cette famille de psychopathes. Sorti la même année que Tokyo gore police, Machine girl s’inscrit trait pour trait dans le même registre. Nous sommes en présence d’un type de cinéma bien particulier qui réunit à la fois un style typiquement japonais à un gore outrancier qui submerge l’histoire. On l’aura compris, le récit n’est qu’une prétexte à cette vengeance qui prend des allures de batailles rangées entre yakusa et famille des victimes. C’est idiot, sans doute de mauvais goût, mais cela ne se prend pas une minute au sérieux. Fort heureusement serait-on en droit de pensée car un traitement plus sobre aurait périclité le film dans la nullité la plus absconse. Les aficionados de Yoshihiro Nishimura y trouveront leur quota d’hémoglobine et de tripailles, le reste n’étant que secondaire ou anecdotique. Machine girl est donc un spectacle qui se réservera sans doute à une minorité. Malgré sa générosité, la réalisation se veut perfectible sur bien des points. Notamment le rythme qui pâtit de régulière baisse et des effets spéciaux que nous qualifieront de médiocre. Que cela concerne les démembrements ou l’incrustation d’images numériques hideuses, on ressent fortement l’utilisation de procédés grossiers et maladroits ; parfois dissimulé comme il se doit, mais le plus souvent grossièrement. Si l’on peut reprocher cette maladresse au niveau de la forme, on ne peut dénigrer une indéniable sincérité dans les intentions de Noboru Iguchi. On sent la signature généreuse d’un passionné. Bref, Machine girl est un film destiné à un public restreint. Les amateurs de gore s’en donneront à cœur tandis que les newbies risquent d’halluciner devant un tel déluge de sang et d’une histoire qui ne recèle rien de mémorable. Particulier.

Un film excellent. Du gore, du débile voila ce que est ce film. Si vous aimez les films qui ont ni queue ni tête assez sanglant ruez vous dessus.

Un vrai festival de n'importe quoi très fun (ou très con), très bruyant (ça hurle en permanence et les japonaises ont des voix très aigues) et hyper sanglant (une simple main coupée provoque un véritable geyser d'hémoglobine). Le scénar tient sur un demi timbre poste mais Ami, armée de sa mitraillette et de sa tronçonneuse, que même un Stallone dopé jusqu'aux yeux n'arriverait pas à soulever de terre, arrive à nous embarquer avec elle dans les tréfonds de la connerie z où elle décapite et dézingue à tour de bras. Un pur moment de divertissement pour qui n'est pas hermétique au japonais (mal) sous-titré.