Le Silence qui tue

5.0/10
Le Silence qui tue

 Inscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !

Portrait de Dexter Dexter
Serial Killer - 475 critiques
publié le 24/03/2011 - 11:20
4
 

Fermez la ! On veut des meurtres !

Il est vrai que Le Silence qui tue, n'a vraiment pas grand chose d'affriolant à mettre sous la dent du spectateur. Rythme trop soporifique, personnages pas très attachants, au pire inutile (le duo de flics) et meurtres sans grande originalité et effets spéciaux. Pour un film dont le silence tue, on comprend mieux pourquoi il y'a si peu de meurtres vu que ça n'arrête pas de jacasser dans tout les sens, histoire de meubler, ben tiens en parlant de meuble, reste justement pour sauver ces derniers la présence de Barbara Steele.
Portrait de Willow Willow
America's Most Wanted - 591 critiques
publié le 18/10/2009 - 00:19
6
 

Mon avis

Dommage! pourquoi? ben parce que le film rate quelque chose! il n'est pas nul, mais sa lenteur fait que on a du mal a rentrer dans le vif du sujet. Au début du film, je croyais que ce n'était pas le bon, on dirait un télefilm policier genre columbo! ensuite vient l'héroïne, suivit de l'habituel groupe d'étudiants, qui a défauts d'argent se contente de louer une chambre dans une grande maison au bord d'un lac, appartenant a une vielle femme et son fils. On suit donc quelques péripéties, avant que l'un des étudiants se fait assassiner sur la plage! le film n'est vraiment pas folichon en matiére d'action on a vraiment l'impression d'étre dans un film de columbo, mais avec une dose de slasher 80'S et une dose de psychose. d'ailleurs c'est le dernier quart d'heure qui se raproche de psychose avec la révélation de la famille et de l'identité de l'assassin. quand aux acteurs c'est le point positif du film, yvone de carlo que j'ai connu en jouant un rôle identique dans AMERICAN GOTHIC: celui d'une mére un peu taré, qui a des enfants psychotique. ensuite barbara steel, qui fait partie de la révalation de cette famille, sa scéne en tarer donne vraiment les jtons. Mais le final se veut dans le même ton, longuet donc il n'est pas vraiment exitant bien que moyennement stressant! Conclusion: un slasher des eighties qui essaye de dévier vers le film pshychique a la psychose, et qui grâce a de bonnes comédiennes vaut qu'on s'y arréte!
Portrait de Frank zito Frank zito
Graine de psychopathe - 103 critiques
publié le 01/01/2007 - 00:00

Comique troupier

Ouverture: un ralenti hideux accompagne deux flics visiblement sous pression sur le théâtre d’un crime… Tout ce qui fera la qualité du «Silence qui tue» est déjà présent dans cette scène d’introduction : musique de téléfilm raté, image dégueulasse et éclairage maussade, acteurs qui se demandent plan par plan se qu’ils foutent là, jusqu’au réalisateur qui donne dans cette séquence tout ce qu’il a, c’est à dire rien. Après ça, vous vous coltinerez l’arrivée de Scotty qui va louer une chambre dans la demeure de style victorienne de Mrs Engells, laquelle se paye le luxe de n’avoir non pas un seul, mais deux enfants dégénérés qui vont tuer un par un les étudiants qui cohabitent sous leur toit. Ah oui, au fait, ils ne sont que quatre à y louer leur chambre (Peter, Jack, Doris et Scotty) et il vous faut savoir que deux vont finir par s’en sortir. Faites donc un calcul simple : 1h30 de film laid, moche, ennuyeux et pas drôle divisé par deux meurtres exécutés hors champs (l’un en ombre chinoise et l’autre qui nous permet d’apercevoir vaguement un couteau de cuisine maculé parce qui semble bien être de la confiture de groseille) et vous obtiendrez « Le silence qui tue », film interdit aux moins de seize ans à sa sortie (Peut-être justifiée par une pendaison à mourir de rire ? Allez savoir…) et antinomie même du chef d’œuvre (C'est-à-dire le navet, et non pas le nanard, qui peu s’apprécier au second degré). A moins qu’il ne faille se fier à Jack, l’amoureux de Scotty, qui se prend d’une soudaine angoisse nocturne et part toute séance tenante à la recherche de sa dulcinée. Recherche qui nous offrira une promenade d’une bonne dizaine de minutes dans les couloirs déserts de la villa, promenade aussi interminables pour Jack que pour nous, avant qu’il ne finisse enfin par pousser la porte du cellier et lancer dans la nuit de l’escalier, et alors même qu’il n’y a personne : « J’ai compris, c’est une blague ! »
Vous souhaitez soutenir Horreur.net ? N'hésitez pas à faire un don, même symbolique, sur Tipee.

Thématiques