Street Fighter: La légende de Chun-Li
Critiques Spectateurs de Street Fighter: La légende de Chun-Li
5.0

De : Andrzej Bartkowiak
Chun-Li est une enfant issu d'une famille riche. Protégée par l'amour de ses parents, ces derniers aspirent à ce qu'elle devienne une grande pianiste. Initiée aux arts martiaux grâce à son père, Chun-Li vit une vie édénique. Jusqu'au jour où M. Bison enleva et contraignit son père à l'aider à construire son empire. Les années s'écoulèrent, Chun-Li devenue une grande pianiste sera rattrapée par son destin en recevant un parchemin qui l'emmènera à Bangkok à la rencontre de Gen, elle comprendra que sa destinée est de mettre fin aux ambitions démesurées de M. Bison et de son organisation Shadaloo...
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publié le 25/02/2014 - 08:17
Avis paresseux
La réalisation est correcte et les bastons bien chorégraphiées.
Notons tout de même que la plupart des personnages emblématiques du jeu sont absents. Exit les Ken, Ryu, Blanka, Guile, Dalsim, ...etc. Vous n'aurez droit ici qu'à Chun-li, Bison, Balrog et Véga (mais faut pas cligner des yeux).
A voir, éventuellement. En tout cas, il est bien meilleur que le film avec JCVD (mais beaucoup moins drôle).
publié le 25/05/2011 - 09:54
Pas le navet annoncé
Le traumatisme est encore vif dans nos mémoires. Street fighter est davantage réputé pour ses jeux vidéo proches de la perfection que pour sa pathétique incursion dans le septième art qui, soit dit en passant, n'a rien à envier au film Super Mario bros. Pourtant, les producteurs ne se découragent pas et reprennent le flambeau en faisant table rase du passé. Le cinéaste opte pour une approche plus « réaliste » du matériau originel. On conserve l'essence du jeu de combat (bien qu'il n'y ait pas de tournoi dans le scénario), quelques personnages emblématiques de la saga pour une série B qui reflète la filmographie de monsieur Bartkowiak. En d'autres termes, un moment distrayant où l'on ne s'ennuie pas, mais très classique dans le fond.
Même si l'on dénotera un certain effort en comparaison de ce qui avait été commis auparavant, La légende de Chun-li n'a rien à envier aux productions des années 1980. Un récit manichéen jusqu'au bout des ongles où il n'y a pas de demi-mesure ou ambiguïté sur les intentions de chaque protagoniste. En revanche, les chorégraphies sont assez convaincantes. À mi-chemin entre surréalisme et combat à l'américaine (bref et violent), la recette fonctionne. On serait simplement passé de quelques effets spéciaux kitch au possible. Au niveau de l'interprétation, les acteurs se tiennent plutôt bien. Pas de cabotinage à l'extrême ou des caricatures de mauvais aloi. La surprise vient tout particulièrement de Neal McDonough en Bison. S'il n'est nullement habitué à ce genre de rôle, il campe son personnage avec force et conviction. Étonnant.
Si La légende de Chun-li ne fera pas d'étincelles et que les éternels accros de la série conspueront au scandale éhonté, cette adaptation a le mérite d'ancrer le mythe Street fighter dans un contexte plus réaliste et moins saugrenu que son prédécesseur. On aurait pu s'attendre au pire, surtout après la récente sortie du misérable Tekken de Dwight Little. Il en ressort un film d'action qui reflète les aspirations de son metteur en scène : classique, mais relativement plaisant à regarder. Un film qui n'est donc pas la catastrophe pressentie, ni l'adaptation incontournable qui surprendra tout le monde. Simplement une production au-dessus des immondices que l'on nous offre depuis un certain temps lorsque l'on parle jeu vidéo et cinéma.
publié le 30/01/2010 - 16:41
Je suis une légende ?
publié le 26/10/2009 - 02:55
Daube...
Le ‘1’ c’est pour une scène totalement inattendue, dans le film, où (spoiler) Bison effectue la césarienne de sa femme à main nue, dans une crypte maléfique.