She-wolf of London

Contrairement à The Wolf-man, ce film tente d'apporter une différente touche en y gardant certains éléments classiques de l'époque (personnages coincés, brouillard, questionnements des personnages sur leur identité) mais rate complètement la cible. Malgré une durée d'un peu plus d'heure, on dirait que le film fait du surplace jusqu'à la fin balancée en toute vitesse pour terminer cette production indigeste. Les acteurs font bien leur travail mais l'histoire, véritable attraction de ce genre de film, ne vaut pas un clou. Une femme croit être une loup-garou, son fiancé d'inquiète. Voilà le synopsis. Je ne peux pas rien écrire de plus précis. Il ne se passe rien, on ne voit absolument aucun loup-garou, l'ambiance est correcte. Le film tourne en rond, en attendant qu'on s'épuise et qu'on arrête le visionnement. À éviter, préférez le film de 1941, bien mieux!