And Soon the Darkness

4.3/10
And Soon the Darkness

Critiques spectateurs

Réalisateur: Marcos Efron Avec Amber Heard, Karl Urban, Odette Yustman, Gia Mantegna, Adriana Barraza

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Portrait de Warhammer Warhammer
I am Legend - 1058 critiques
publié le 19/07/2013 - 13:13
6
 

2 jolies nanas et.......c'est tout.

Imaginez 2 jolies femmes américaines pour une virée en argentine faire du tourisme et s'encanailler quelque peu. Forcément mignonnes comme elles sont,elles ne vont pas tarder à attirer le regard de quelques hidalgos dans ce coin paumé de l'argentine. Mais le lendemain d'une soirée plutôt arrosée, elles ratent le bus qui devait les amener vers leur prochaine destination, c'est dommage non?

C'est donc à partir de ce moment-là que les choses vont se gâter pour elles, l'une va disparaître et l'autre en a profité pour lui piquer son mec. Mais non je plaisante bien sûr, elle va tout faire pour retrouver son amie. Bon voilà ça n'a rien de vraiment palpitant, l'histoire met du temps à démarrer mais a au moins le mérite de nous présenter une argentine aux paysages très contrastés, un pays assez méconnu finalement.

Si la réalisation se veut sobre et réaliste, l'intrigue quand à elle est trop quelconque, du reste il y manque cette tension indispensable pour atteindre le haut du panier des meilleurs thrillers et là on en est loin.

Finalement ce film est regardable mais ne vaut que par la présence d'une Amber Heard joliment carrossée mais qui ne remportera sûrement jamais l'oscar de la meilleure actrice.

Portrait de Bzittt Bzittt
Graine de psychopathe - 199 critiques
publié le 04/06/2012 - 02:22
2
 

Pas mieux...

Et non... pas mieux que ce qui a été dit en dessous, cela dit ce remake m'a rendu curieuse quand à l'original de 70 que je n'ai pas vu, et qui visiblement prenait situation en France, on ne peut que se demander en quelle mesure la trame a été modifiée, si un trafic de donzelles entre Argentine et Paraguay est tout à fait pensable quand était il de l'original, une sombre affaire de trafic de touriste dans une communauté hippie du fin fond de l’Ardèche commerçant avec Katmandou ? j'avoue que je m'interroge...

Cela dit vu la vacuité du scénario présent je me tâte à aller vérifier mes hypothèses de peur de devoir affronter une autre heure et demi d'ennui qui ne seront pas ponctuellement égayer cette foi par de splendides paysages exotiques.

Côté actrices elle sont effectivement très belles, malheureusement n'ayant aucun penchant saphique leur plastique aussi parfaite soit elle ne parviendra pas à me faire oublier que je suis en train de regarder un film de merde ou il ne se passe rien de bien intéressant, des méchants qui prêtent à sourire, un rythme mollasson, une mise en place très longue et des rebondissements prévisibles n'aident pas vraiment à sortir de la torpeur dans lequel ce "And soon the darkness" plonge, (titre probablement motivé par l'assoupissement des spectateurs lors des projections tests).

Comme "Touristas" qui est tout aussi mauvais, le film jouera sur des bouts de fesses bikiniquées pour tenter la blague, et Efron n'aura pas le même talent pour saisir sur pellicule la beauté des paysages bien qu'il parvient par-ci par la à livrer quelques jolis plans .

Bref un film qui donne envie de ressusciter des expressions désuètes telle que nazebroque.

Portrait de Papa jupiter Papa jupiter
America's Most Wanted - 461 critiques
publié le 07/03/2012 - 14:35
4
 

And Soon The Boredom

Quand j'vous disais que j'étais prêt à mater n'importe quelle merde tant qu'il y avait Amber Heard dedans, je ne mentais pas, la preuve !!! Remake d'un film tout aussi méconnu, "And Soon The Darkness" est d'un ennui mortel. Ne vous fiez pas à l'accroche "fantasme sanglant", ce serait peine perdue étant donné qu'il n'y a quasimment pas de sang et encore moins de fantasmes (hormis ceux que j'ai dans ma petite tête bien lubrique !) Je ne vais donc pas tourner longtemps autour du pot et avouer que le seul intéret de cette daube est de pouvoir dévorer des yeux (à défaut de pouvoir lui mordiller les tétons !) la superbe Amber et, accessoirement, la tout aussi mimi Odette Yustman. Bref, 1h31 où il faut s'imaginer les deux donzelles s'adonner à des plaisirs déviants en lieu et place d'un intrigue archi-prévisible qui parle vaguement de traite des blanches entre l'Argentine et le Paraguay, en essayant de ne pas mollir à la vue d'un Karl Urban qui vient, de temps à autre, planter sa tronche de veau en pleine pelloche. Seules les dix dernières minutes peuvent éventuellement être appréciables à condition de ne pas vous être éjaculé dans les yeux auparavant. Pour ceux qui n'ont pas autant d'imagination que moi, l'attente du générique de fin risque d'être longue, très très longue...
Portrait de Punisher84 Punisher84
I am Legend - 1390 critiques
publié le 26/12/2011 - 11:33
4
 

And soon, Odette en bikini

Mais que peuvent bien nous proposer Odette Yustman et la charmante (et bi) Amber Heard ? Pouvaient-elles provoquer autre chose que des vibrations dans le pantalon des hommes ? Plus sérieusement, je préfère regarder un remake passé à la trappe d’un téléfilm des années ’70 plutôt qu’un remake tout court. Car par le temps qui court, la côte de cette pratique descend encore plus vite qu’un thermomètre en Sibérie. La base de l’histoire est très habituelle, il fallait donc commencer sur les chapeaux de roues. Comment se démarquer de son ainé sans trop s’éloigner ? En changeant le décor bien sure ! Direction l’Argentine et ses chemins de cailloux en lieu et place de la profonde campagne française. Evidemment cela ne suffit pas mais pour me motiver, j’ai pu compter sur un casting de rêve dans les deux sens du terme. Des héroïnes à la plastique presque parfaite et des méchants… vraiment méchants. Mis à part un Karl Urban toujours aussi anodin, je n’ai pas eu à me plaindre. Je n’en dirais pas autant du scénario qui ne réserve pas beaucoup de surprises, voir pas du tout. La dernière bobine à beau terminer le film de manière « dark », je n’en suis pas moins resté sur ma faim. Sans être énorme, il y avait un beau potentiel. Mais certains préfèrent rester calme et se la couler douce. C’est un choix mais dans le genre, je préfère largement le méconnu[g] Shuttle[/g] d’Edward Anderson sorti en 2008. Sinon je n’ai rien à reprocher à la réalisation. Soignée et somptueuse, il s’agit là d’un très bon travail qui pour certains passages est à la limite de l’orfèvre. Amber, redeviens hétéro s’il te plait !!!!!!!!!
Portrait de AqME AqME
America's Most Wanted - 604 critiques
publié le 17/10/2011 - 18:25
2
 

De la lénifiante argentine

Il y a des choses assez bizarres dans le cinéma français. En effet, si on regarde les titres originaux et les titres français, on remarque parfois des différences ahurissantes car, par exemple Very Bad Trip qui au départ se nomme Hangover (littéralement, la gueule de bois) ou encore le très mauvais Carnage Blood Hunt qui à la base s'appelait Legend of the bog, beaucoup plus énonciateur de la merditude de la chose. Oui, mais voilà, parfois, les français, ils en ont rien à foutre de changer des titres pourris, surtout si le film n'est pas une grosse production. Pourtant, il y avait matière à faire avec ce film, comme and soon the boring ou encore and foufoune the darkness. On se doute qu'avec une introduction comme celle-ci on va se retrouver devant un film poussif et franchement inutile dans le domaine de l'épouvante. Le seul atout étant un couple d'actrices physiquement intelligentes, on va vite voir qu'elles ne sont là que pour couvrir un scénario appauvri et un film sans âme.

Pourtant le scénario aurait pu être pas trop mal. D'ailleurs, on peut y voir une approche assez similaire de l'histoire des deux jeunes françaises qui se sont faites abattre en Argentine. Mais le film étant un remake d'un métrage des années 70 (bonjour créativité), on ne peut qu'y voir une coïncidence morbide. En gros deux jeunes filles sexys font un voyage en Argentine. En cours de route, elles font faire la fête et l'une des deux nanas va se trouver un amant. Mais ce dernier étant plus violent que prévu, elle va devoir compter sur l'aide d'un voisin musclé pour la sauver. Le lendemain, les deux jeunes filles se disputent et l'une d'entre elle disparait. La deuxième va alors partir à sa recherche. Il n'y a pas grand chose d'original la-dedans, certes, mais on aurait pu avoir quelques scènes pêchues et une intrigue un peu mieux ficelée. Malheureusement, le tout est drôlement linéaire et prévisible.

Au niveau de l'ambiance, on est vraiment au ras des pâquerettes. Le réalisateur, Marcos Efron (à ne pas confondre avec Zac Estron qui est un acteur scatologique) essaye désespérément de donner un aspect lugubre et misérable à l'Argentine profonde, mais malheureusement, le tout est vraiment trop propre et trop aseptisé et il passe complètement à coté de sa volonté de montrer la misère argentine et l’appât du gain facile. Il reste les magnifiques paysages et des plongées assez bien fichues mais qui ne servent strictement à rien et qui finalement n'instaurent pas une ambiance angoissante et dangereuse. Le village délabré de la fin aurait pu être mieux exploité, surtout que le décor se veut vraiment misérabiliste voir apocalyptique, mais malheureusement, il demeure lénifiant au possible.

Par contre, le choix des actrices est assez judicieux. En effet, on prend deux bombes anatomiques montantes dans le cinéma actuel et on les montre en tenue courte voir même en bikini. Pour ceux qui voulaient les voir à poil, il faudra se rabattre sur un porno. Les deux actrices sont Amber Heard, que l'on a pu voir dans le très moyen The informers (et profitez-en, dans ce film, elle est tout le temps à moitié nue) tiré d'un roman de Brest Easton Ellis ou encore dans le récent Hell driver avec Nicolas Cage, et Odette Yustman qui est l'héroïne du mauvais The Unborn et qui est juste excellente de charme. Pour le niveau actrice, on reviendra, mais quel corps et quel sourire! Elles sont accompagnées par Karl Urban qui est juste Eoden dans le Seigneur des anneaux. Malheureusement, les deux méchants de l'histoire ne sont pas assez charismatiques et restent franchement décevants.

Mais le pire du pire, c'est au niveau des effets de peur ou de gore. Quand on fait un film d'horreur ou d'épouvante, il faut prévoir des scènes un peu plus chocs ou alors du sang. Ou encore s'il n'y a pas de sang, prévoir une ambiance glauque, un peu malsaine, enfin, avec de quoi faire frisonner le spectateur. Mais là, dans ce film, il n'y a rien. Le néant. Le vide. Les abîmes. Un gouffre sombre et moite (rappelez-vous, and foufoune the darkness, Marc Dorcel devrait s'en souvenir...). Du coup, on n'a pas peur, on n'est pas surpris et en plus on se fait chier. Pas de sang, même pas une goutte, quelques électrocutions indigne d'un taser et une fin relativement minable et expédiée en deux deux, on obtient un film qui ne mérite ni l'appellation de film d'horreur ni même de thriller.

Au final, and soon the darkness est un film insignifiant et qui ne vaut le coup d’œil que pour une seule chose, la présence de deux actrices aux corps de rêve. Alors on a la choix, soit on adore ces actrices et on est prête à se branler devant ce film notamment quand elles se mettent en maillot de bain, soit on aime bien ces deux actrices mais on préférerait les voir dans un porno et dans ce cas là, on cherche désespérément une vidéo x avec leurs sosie dedans. Ne perdez pas trop votre temps avec ce film qui est aussi inutile qu'insignifiant. Encore un remake de merde.

Portrait de Dante_1984 Dante_1984
I am Legend - 1124 critiques
publié le 14/01/2011 - 10:11
4
 

Et bientôt... l'ennui

Ellie et Stéphanie, deux amies, partent en vacances en Argentine. Sur place, elles tombent dans un petit village et font la connaissance d’un individu pour le moins inquiétant. Après s’être disputée, elles se séparent, mais rapidement Ellie disparaît mystérieusement. Remake d’un film de 1970, And soon the darkness aurait pu s’avérer un film somme toute attrayant compte tenu de son histoire, mais ne nous ne leurrons pas, il ne tient aucune de ses promesses. On ne débattra pas de l’éternelle question si le film originel méritait un remake ou pas, mais l’on peut s’interroger sur la réelle nécessité de faire un énième film sur les enlèvements dans les pays du tiers-monde sans rien y apporter.

L’on débute avec une introduction de deux minutes où l’on aperçoit une jeune femme légèrement vêtu qui subit des électrocutions purement gratuites. A ce stade, on s’attend à un torture-porn assez virulent qui prendra place en Argentine. Seulement, plus le temps passe, plus on a l’impression de s’être fourvoyé sur les intentions de départ. La suite nous conforte dans ce malaise, puisque l’on aura droit à rien d’autre en ce qui concerne cet aspect de l’histoire. Récit qui, au demeurant, reprend grosso-modo une trame extrêmement basique où l’on s’ennuie assez vite.

Pourtant, on tente de s’accrocher et de garder espoir, en vain. Par le biais d’une réalisation sans saveur qui ne prodigue aucune émotion, on parcourt de mornes paysages sans jamais s’émerveiller par la magnificence de la nature ou ressentir la profonde détresse des locaux gangrenés par la pauvreté. Rien n’est entrepris pour nous faire ressentir le calvaire des deux américaines. L’atmosphère est au plus bas quand, tout à cas coup, on retrouve Ellie aux prises avec son kidnappeur. Dès lors, on finit de sombrer dans le plagiat bas de gamme d’autres productions tout en s’appliquant à ne pas froisser les mentalités les plus fragiles.

Bref, And soon the darkness n’a aucun intérêt. Jonchés de longueurs agaçantes, impersonnel, inconsistant et maladroit, on ne ressent aucune envie de la part du réalisateur d’entreprendre le sujet sous un angle différent. On notera tout de même une photographie assez soignée qui se révèle l’un des rares atouts du métrage. Maintes fois vues par le passé, ce genre d’histoires ne peut parvenir à se démarquer qu’avec du talent, de l’audace et une once de lucidité. Or, ici, ce n’est nullement le cas. Un produit lambda pour une histoire tout aussi plate et sans relief.

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