The Forest

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Portrait de Geoffrey Geoffrey
America's Most Wanted - 326 critiques
publié le 30/06/2014 - 11:11
2
 

Avis paresseux

Eh ben dis donc, je me suis bien fait chi** devant ce film de Darren Lynn Bousman. Encore plus que devant son prévisible et tristounet (mais sympathique tout de même) Eleven.

Une famille part camper, des morts surviennent et le père commence à faire son Jack Torrance en multipliant les moues terrifiantes et les regards diaboliques.

Sauf que en fait... (non, je ne spoilerai pas, faudrait pas vous gâcher le peu d'intérêt du bestiau).

Sachez juste que j'ai trouvé l'histoire particulièrement stupide et que je ne conseillerais la vision de ce film à personne. A moins que vous ayez vraiment 90 minutes à perdre...

Portrait de Lebreihz Lebreihz
I am Legend - 2308 critiques
publié le 07/12/2013 - 00:49
6
 

Le diable est rentré a barents

Alors là, ne vous attendez pas à un survival forestier. Les choses sont en apparence un peu moins stéréotypés. Certes, on se retrouve avec la famille américaine moyenne dont le père veut un retour à l'authentique un peu comme depardieu dans "jean de florette", "qui veut cultiver l’authentique" et Hugolin/Auteuil lui qui tellement frustre croit que c'est une plante ! Donc cette famille prend la route d'un petit séjour en forêt qui semble être l’équivalent américain de nos forêts domaniales. Bon !, ça cafouille un peu quand même, le coup du cadavre d’animal éventré sur le bord de la route, par des barbelés !, n'importe quoi !, je ne suis peut être pas chasseur , mais ça peut que être l'oeuvre d'une bête un truc pareil. Mais alors ce qui est intéressant c'est l’évolution du comportement du père. Le gars est un poil caractériel à première vue , d'ailleurs il ne supporte pas le moindre téléphone portable, il a un peu le même cheminement que Harrison Ford dans "mosquito coast" sans être toutefois atteins du même délire de la persécution.Le gars disjoncte grave, quand m^me lors du repas autour du feu avec le récit complètement imaginaire du diable de Jersey, bon le jeune qui se paie sa tronche est un peu un branleur ! (le coup du déguisement assez téléphoné), mais la réaction du père est carrément disproportionné, tout juste si il ne lui fout pas son poing sur la gueule. Après c'est vrai que le réalisateur essaie de nous faire croire que cette créature imaginaire existe vrai_ment et est peut-être à l'oeuvre, ou est-ce plutôt un sombre délire créer par le cerveau enfiévré de notre père de famille qui décidément semble aller de plus en plus mal. Notre homme fait carrément n'importe quoi il entraîne sa famille le plus loin possible de tout le monde, et là il y a un truc qui me laisse rêveur. Un des jeunes a disparu en pleine nuit alors qu'il est allé pisser en forêt !, et c'est seulement le matin que son pote s’inquiète !d'autant on se doute que le gars est aller pisser a 30 mètre de la tente au grand maximum, normal pour un homme, pour une femme se sera plutôt 300 mètres pour les raisons que vous devinez. Mais encore mieux c'est les flics qui mettent leur grain de sel, et là un gus leur dit que il y a peut-être un ours dans la forêt......ouai , dite !, vous connaissez le principe de précaution ?, eh bien dans c'est cas là on évacue les lieux, par la force si il faut. Bon on se doute assez rapidement , et c'est dommage que le grand danger ce n'est pas cette créature, mais ce père de famille qui est e proie a des hallucinations. Pourquoi Dommage ?, car à ce moment l)à le film atout dit ou presque. SPOLIER il est atteins de la rage, son chien l'a mordu 15 jours auparavant (ah !, il ne s’inquiète pas d'une morsure d'animal lui !).....sachez que pour info la durée d'incubation de la rage est très longue net peut atteindre 2 ans FIN SPOLIER. Ou parce que le réalisateur rajoute des éléments inutiles, des en droits inutiles. Tout ça pour arriver à quelque chose dont on sait très bien qu'elle ne pouvait que finir par se produire. SPOLIER Que dire du coup de la jambe fracturée de cette façon..... n'importe quoi !, elle n'est pas tombée de 10 mètre tout de même, et puis la fille arrive a parler quand m^me sans problème et même se déplacer). mais alors à la fin, là ça vire à la débilité . En m^me temps c'est carrément effrayant, car je ne savais m^me pas que l'on pouvait concevoir un truc pareil, mais voilà, fallait-il montrer ça de manière aussi explicite au lieu de le suggérer d'une manière plus subtil avec un "may be or may be not".
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