Nom de Code: Oies Sauvages

Critiques Spectateurs de Nom de Code: Oies Sauvages

7.0
Nom de Code: Oies Sauvages

A Hong Kong, un milliardaire, appuyé par divers gouvernements et par l'International Drug Agency, décide de détruire l'entrepôt où un redoutable trafiquant de drogue thaïlandais stocke des tonnes d'opium.
Un commando, sous la houlette de Robin Wesley, s'entraîne durement afin de commencer l'opération au plus vite.

Au jour J, les mercenaires sont si bien aguerris qu'ils bousculent sans peine la petite armée qui leur est opposée, s'emparent d'un hélicoptère et mènent à bien leur mission.
Mais finalement, la situation est plus compliquée qu'il n'y paraît, et Les Oies Sauvages se retrouvent face à une véritable milice paramilitaire aux ordres du Cartel...

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Portrait de Gory FreddyGory Freddy
I am Legend - 1988 critiques
publié le 06/09/2016 - 23:31
7
 

Nom de Code: Pompage Sauvage !

Encore un énième rip-off itlalien qui essaie de capitaliser sur un succès américain. Sachant qu'en 1978 "Les Oies Sauvages" fut un énorme succès, à votre avis à quoi tente de faire référence en 1984 "Nom de Code: Oies Sauvages", histoire de capitaliser sur un titre et un concept encore porteur, d'autant plus qu'était annoncé pour l'année suivante "Les Oies Sauvages 2" ? ... Bref. Nous avons droit à un petit film de guéguerre très con avec des gars "qui en ont", mais divertissant, avec un casting alléchant (Lewis Collins, Lee Van Cleef, Ernest Borgnine, Klaus Kinski, Mimsy Farmer) pas toujours très bien utilisé. Antonio Margheriti étant un bon faiseur, nous avons droit à quelques séquences rondement menées et spectaculaires, à défaut d'être crédibles. Avouons qu'à 19' la voiture dans le tunnel qui roule sur le mur c'est un peu poussé, et à la fin l'hélicoptère qui sort d'un hangar en défonçant la porte avec ses hélices (je suppose), c'est vraiment n'importe quoi... Sinon si l'ensemble est bien sanglant et explosif, voir des types torse nus se faire descendre sans le moindre impact sur la poitrine, ça fait plutôt tâche... ou pas. C'est vraiment le genre de détail 'qui tue' qu'un réalisateur devrait épargner à ses spectateurs, je trouve. Le film est sympa. Les acteurs font leur numéro paresseusement, genre minimum syndical. Klaus Kinski a un rôle à la Kinski, mais ne se montre marrant qu'à la fin, quand il pète complètement les plombs avec sa mitraillette en canardant partout hystériquement. Un divertissement con comme la lune, mais qui mérite totalement son appellation de "divertissement". De là à parler d'un bon film...

Devinez le film par sa tagline :

Un pour tous et tous pour un !
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