Halloween: 20 ans après...

Halloween 20 ans après ! Autant dire que Steve Miner (Lake Placid, Warlock) fait fi de ce qui a été tourné depuis le Halloween 3. Logique puisque le coup de force de la production (Moustapha Akkad) est d’être parvenu à convaincre Jamie Lee Curtis de rempiler pour un nouvel épisode de la saga. Autant le dire tout de suite c’est la seule réussite du film. Vingt années sont passées donc et Laurie Strode, devenue entre-temps directrice d’un campus universitaire coule des jours paisibles depuis les massacres de Haddonfield. Laurie a un un compagnon, une sorte de George Clooney en moins bien, et un fils John interprété par le tout nouveau Josh Hartnett dans son premier rôle au cinéma. Celui-ci ressent à la veille d’Halloween de furieuses envies de faire les 400 coups au grand désespoir de sa mère pour qui la fête des morts reste une date anniversaire redoutée. A juste titre puisque notre Michael Myers se fait la belle et tombe sur le dossier médical de Laurie Strode connaissent ainsi sa nouvelle fonction et adresse. Voici donc notre joyeux boogeyman s’invitant au campus pour faire la peau à quelques ados « screamesques ». Laurie ne se doute de rien, embrumée qu’elle est dans les vapeurs d’alcool, mais ressent tout doucement la présence de son tueur de frère. Elle qui se faisait passer pour morte c’est plutôt raté ! Et ici plus de docteur Loomis pour l’aider. On remarquera d’ailleurs la drôle, furtive mais sympathique apparition de Janet Leigh donnant conseil à notre Laurie. Et commence alors une longue série de « Bouh t’as peur !!! » et de reflets esthétiquement réussis de Myers dans les différents miroirs qu’il rencontre. Le massacre commence dans une scène de monte-charges plutôt réussie qui sera en fait la seule scène relativement flippante du film. L’autre scène intéressante est celle où Laurie Strode et Myers se regardent de chaque côté d’une vitre pour la première fois depuis vingt ans. Une nouvelle fois pas de gore, des clichés trop évidents, aucune inspiration innovante se basant trop facilement sur le déjà vécu de la saga. Cette œuvre fainéante n’arrive même pas à nous faire peur préférant jouer sur le suspens que sur l’horreur pure. On ne peut s’empêcher de crier au scandale et au gâchis avec une telle distribution et surtout pour le 20 ème anniversaire. Seule la scène finale offre une issue originale et inédite nous posant même la question de savoir pourquoi elle ne fut d’ailleurs jamais exploitée. Une déception donc pour ce septième épisode qui n’apporte rien et pour lequel le réalisateur ne s’est franchement pas beaucoup foulé. Dommage…

Je suis encore sous le coup de l'excitation... Je viens juste de le revoir pour la 4ème fois, et je ne m'en lasse pas!!! La mise en scène est formidable, bourrée de suspense et de rythme. Certaines séquences sont réellement haletantes et pleines d'imagination. J'adore particulièrement la séquence où Lorie se cache sous les tables et que Michael est au-dessus... Puis il descend, essaie en vain de la poignarder, et de rage se met à les renverser une à une... Du début à la fin ce film est prenant, grace à un bon scénario, des personnages attachants, et notre tueur adoré, "The shape", au meilleur de sa forme!!!

L'histoire de la saga était devenue n'importe quoi avec le sixième (une secte avait manipulé Michael Myers depuis le début, c'est à dire le meurtre de sa soeur Judith)? Enfin, Steve Miner et Kevin Williamson ont décidé qu'il fallait sauver la saga en faisant un retour complet aux sources du Mal... et ils l'ont plutôt réussi ! Durant le film, on suit la nouvelle vie de Laurie Strode, qui tente péniblement de refaire sa vie sous le nom de Keri Tate, avec son fils John. Seulement, notre héroïne est véritablement torturée par le souvenir de ce qu'elle a vécu il y a 20 ans(1 et 2) : la vision de son frère Michael lui revient sans cesse, et de plus son frère retrouve sa trace... C'est géant de revoir la talentueuse Jamie Lee Curtis, ça fait revivre la saga qui a souffert du décès de Donald Pleasence. Laurie Strode est devenue une mère alcoolique et paranohiaque vis-à-vis de son fils mais aussi énergique et déterminée face à un frère décidément intuable et plus que décidé à la tuer ! Le film a beau faire un peu adolescent, il est d'une belle qualité. La musique, composée par Alan Howarth est bonne et le duel opposant Laurie et le Michael est superbe. A noter que le générique de début est vraiment cool et rend un hommage au personnage Dr.Loomis, interprété par Donald Pleasence...Très bon film!

Il est evident que Halloween h20 est beaucoup moin sombre que le 4/5/6...néanmoins il est le plus cohérent et mérite donc d'être visionné directement après le 2 eme volet...L'histoire (bien que stéréotypée époque scream) est pas mal...le tout se passe dans un Internat...j'ai bien aimé quoi!Miner est tj au poste quand il s'agit de réaliser un slasher à succés et il le fait sans broncher avec plaisir...merci! ps:qui à dit qu' a l'internat on pouvait se bourrer tranquillement une fois les profs endormi...surement pas myers ;)

Mais qu'est-ce qui se passe dans la tête des réalisateurs pour reprendre indéfiniment des histoires déjà tournées par d'autres. Et c'est reparti à nouveau pour un démastiquage des jeunes ado boutonneux avec un septième épisode se arttachant tant bien que mal au deuxième épisode mais s'éloignant encore plus des raisons de la série. Soyons clairs une bonne fois pour toutes. Quand Carpenter signe Halloween, il fait simplement un film plus ou moins inédit dans le genre avec un criminel incontrôlable, une victime hurlante et quelques meurtres sanglants. il ne cherche certainement pas à attirer l'attention des gens sur un point central ou sur une thèse de psycho. A partir de ce moment là, on ne peut juger Halloween que sur ces critiques peu enchanteurs. De ce point de vue, et de ce point de vue seulement, le premier épisode est une résussite. Le second est tellement copié sur le premier qu'il devient évident que les deux font un (comme Wash and Go). La série s'arrêtait donc là, exit Laurie qui s'enfuit, exit Michael explosé et exit Loomis tué certainement sur le coup, bien que RIEN ne le prouve! Dans le trois, donc, nouvelle histoire, nouvelle intrigue (qui sera reprise dans le 06!!!), échec cuisant bien que cet opus soit tout à fait réussi et regardable. Le 04 arrive et voilà t'y pas que Meyers revient (d'où, sais pas moi). Laurie est morte mais a eu une fille (avec qui, sais pas moi). La fille est donc royalement poursuivie par Meyers (l'a d'la suite dans les idées, le type!). Le 4 et le 5 font donc suite logique avec l'esprit du 3 et les personnages du 1 et du 2, vous suivez toujours, ça va? Le 6 met tout le monde d'accord en racontant une fable pathétique et impossible, essayant de ramener tous les morceaux à bon port. Résultat : échec lamentable. Hé bien, messieurs, dames, revoici Meyers (venu d'où, sais toujours pas moi!) carracolant au milieu de nouveaux personnages et d'anciens (et hop, du chapeau magique, je tire Jamie Lee Curtis, décidément bien moins bonne actrice que son père et sa mère). Meyers ziguouille royalement les jeunes ados libidineux enfermés dans l'école par mégarde et s'amuse à les poursuivre de son pas lente et monotone jusqu'à une finale idiote mettant fin (enfin, on croyait) à la carrière honorable et combien stupide de Michael Meyers. Résultat de tout celà : une merde scénaristique incroyable, jouant sur les j'asis pas et les je crois. Aussi, pour être sérieux, et même si cet opus mérite plus de points que les autres (ne fut-ce que pour avoir osé), on ne peut décemment pas l'augmenter au vu des incohérences haute comme des buildings new-yorkais. Parce que si vous avez bien suivi, Jamie Lee Curtis est certes mère d'une gamine qui s'est faite largement charcutée par son oncle et aussi amant (semblerait que le gosse soit de lui!!!!!!), mais en plus elle est mère d'un gamin qu'on ne connaît ni d'Eve, ni d'Adam. Si avec tout ça, vous ne trouvez pas encore qu'on se tappe vraiment de votre g......, achetez la série, vous êtes masochistes!

J ai du mal a comprendre l acharnement de certains envers l episode 4 , dans des autres sagas comme freddy ou jason on nous met de nouveaux personnages quasiment a chaque episode, ici y a une sorte de logique respectee en creant un lien entre la petite danielle harris et jamie lee curtis et personne ne semble content , a croire vraiment que jamie lee curtis a tellement grave les esprits que on considere que un halloween sans elle c est comme un halloween sans myers

Peut tu me dire les incoherences de l episode 4 ? l histoire : jamie la fille de laurie a ete adopté suite au décès de sa mère un an plus tot il me semble, bref c est l histoire du 7 qui n a pas de sens puisqu on nous dit que laurie a fait semblant d etre morte...autrement dit laurie s est casse sans sa fille et l a laisse gentiment crever dans le 6 lol quel niaiserie je te rapelle que l episode 4 detient la presence de loomis ce qui est suffisant pour donner de la credibilite contrairement a l episode 7 qui est une grosse arnaque sans aucune originalite et qui copie des scenes du 4 (la scene avec la voiture) et du 6 (mickael empale.....comme dans sa niece dans le debut du 6) alors je pense que si toi tu es fan du 7 c est donc toi qui n est pas fan de la serie!!!

Pas pire. C'est pas fantastique mais ta quelques moments cocasses. Ah! Une araignée!

C'est le meilleur de tous sans aucun doute !!

C'est un des meilleurs. On prend un scénario basique, on le compense avec une mise en scène classique mais efficace de savoir faire, des interprètes remis au gout du jour et un Michael Myers en grande forme pour faire de cette énième suite un modèle à suivre.