Red Rock West

On retrouve un Cage, qui intereprete un ex-marine qui cherche un job, car le gars a besoin de pognon, et il est pas embauchabe à cause de sa jambe. J'aime bien quand il arrive à la station avec ses 5 dollards de carburants, à mon avis il y a 20 ans vous deviez vous payer plus de litres que maintenant. Pour le coup du bar, le patron voit une plaque numéralogique du texas, et il se gourre de bonhome, et le prend pour le gars qu'il a embaucher pour butter sa femme ! Le personnage interperté par Cage prend le fric, et se met en chemin pour faire le boulot. Et là curieusment, on soupsonne une infidelité, on se dit que la bonne femme s'envoit le garçon de l'écurie, ou un truc du genre, et que le mari jaloux, veut se venger, et en fait, je n'en dit pas plus, c'est beaucoup plus compliqué que ça !. Et alors quand notre homme se pointe chez la fille pour la butter, la réplique de Ellie Wallach dans "le bon la brut et le truand" me revient en tête, "quand on tire on tire, on ne raconte pas sa vie", car c'est exactemnent se qui se passe , et là très clairement, notre homme n'a pas le profil pour le job !.Ce qui est particulier dans ce film, c'est que notre homme n'a vraiment pas de chance, chaque fois il tombe sur la mauvais personne au mauvais endroit au mauvais moment. Et alors j'aime bien quand il rencontre par accident, c'est le cas de le dire ! le vrai tueur, là c'est assez marrant !, car le gars eh bien c'est aussi un ancien soldat (d'ailleurs on apprend que notre infortuné héro, a eu sa jambe insquintée lors de l'attentat du 23 octobre 1983 qui avait fait 241 morts au camion piegée, déja à l'époque). Là on retrouve un Dennis Hooper, fidéle à lui-même, tout au long du film, cabotin, bavard, cynique, et porté sur la boisson (il passe sont temps à picoler, un peu genant, quand il s'agit de tirer et de viser droit), d'autant que tout ce monde là n'est pas très pudent, car il s'affiche publiquement dans le bistrot de son comanditaire (qui en plus a une double casquette, je n'en dit pas plus, mais là c'est typique des ricains), un peu genant, car moins il ya de contact entre le donneur d'ordre et l'executeur mieux c'est (ce n'est pas un très bon tueur le gars). Alors bien sur il y a l'inévitable liaison avec la futur victime. Tout semble plié , joué d'avance. Sauf que les personages ne sont pas exactement ce qu'ils semblent être, et notre héro semble être lui par contre le dindon de la farce. Quand au final, il se joue dans un cimetière, avec son gardien, non non rassurrez-vous ce n'est pas Francisco Delamorte, de Buffalora !, et là je pense encore au film que j'ai cité précedement : "le monde se divise en deux catégories, il ya ceux qui ont un révolver chargés, et ceux qui creusent". Et tout ça finira de manière inatendue, avec une impensable réaction de notre héro vis-vis du pognon (car la dessous, il ya evidement une histoire de pognon), quoique financièrement il se refait un peu quand même.