The Last patrol

Critiques Spectateurs de The Last patrol

6.0
The Last patrol
Un terrible tremblement de terre a séparé la Californie du continent. Le pays n'est plus que ruine et désolation et un épais nuage toxique empêche toute communication avec le reste des Etats-Unis. Parmi les rares survivants se trouve Nick Preston, gradé de l'armée américaine. Avec deux autres militaires, il s'est donné pour mission de porter secours aux rescapés, trouver de quoi subsister mais aussi de rester en vie...

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Portrait de LebreihzLebreihz
I am Legend - 2309 critiques
publié le 19/07/2013 - 00:17
6
 

Cet été c'est Dolph

Curieux, l'été 2012 à la télé sur les chaines du style TMC ou je ne sais quoi, étaient diffusés des films avec Seagal. Et puis cet été les directeurs de chaînes ont décidés de montrer tout le talent de cet autre acteur, qui est a peu près égal au premier que je viens de citer, voici que rentre entre scène notre grand et blond Dolph. Remarquez Dolph est plus sympas que Seagal qui est une brute épaisse, prêt à bastonner pour un oui ou pour un non. Note grand suedo-américano-Ukrainien se contente de promener sa grande carcasse dans les films avec sa moue de celui qui en a vu d'autre, et de gentiment bastonner, ainsi pas de bras casser avec des "craaacs" caractéristiques.

Alors en ce qui concerne ce film, ce qui est flagrant, c'est le manque d'ambition. ça commence par un monstrueux tremblement de terre qui raye la Californie de la carte, en fait c'est ni plus ni moins l'évocation du "Big one" qui se produira maintenant peut-être à la seconde ou j'écris ce mot (je vais faire un tout après sur LCI pour voir, on ne sait jamais), ou peut être dans... 1000 ans ! Et là le réalisateur fait vraiment l'impasse sur la catastrophe, car il nous sert des images d'archives. Et là le film bascule dans le film post apocalypse.

Mais ce qui fout tout en l'air c'est l'introduction de personnages inutiles, avec des jeux d'acteurs plus que laborieux. Ce sont les gentils rescapés qui affrontent le méchant ex condamné a mort sauvé de justesse (par le tremblement de terre), qui a provoquer un court-circuit, par contre la prison, elle a résisté, normal il y avait un petit malin qui lui avait non-seulement prévu le tremblement de terre,et qui savait que en plus la prison serait épargnée, euh! la à laisse rêveur, car un tremblement de terre c'est quasiment impossible à prévoir ( sauf celui de l'aquilae en Italie il y a 4 ans).

Et en plus notre ex-détenu règne sans partage sur les détenus qui apparemment restent au garde à vous en plein cagnard.

Ouais, ben au bout d'un certain moment on se dit que le réalisateur n'en fait pas trop non plus, car il risque presque des poursuites pour plagiat, car il introduit une dimension mystique au film, avec une femme de couleur qui (non rassurez-vous elle n'est pas très âgé) est une sorte de guide spirituelle d'une communauté d'enfant.

Tout ça pour vous dire que l'ensemble me fait penser un peu au "fléau" de Stephen King, sauf que là le film s'embourbe complètement dans quelque chose de non-maîtrisé.

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