La Maison de la terreur

5.5/10
La Maison de la terreur

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Portrait de Warhammer Warhammer
I am Legend - 1058 critiques
publié le 08/08/2012 - 01:12
4
 

Maman j'ai peur!!!

Bof un bis italien rempli de mauvaises choses ,par quoi je commence? Déjà le scénar est truffé d'invraisemblance jusqu'à la gueule avec un tueur partout à la fois, basé sur une histoire franchement risible. Pourtant il y avait une bonne idée de départ qui aurait pu nous donner un excellent film d'horreur, mais tout est mal goupillé avec des acteurs franchement mauvais, une musique sympa au départ mais c'est toujours la même qui repasse en boucle un peu comme une berceuse et ça marche, on s'endort rapidement. Il n'y a vraiment que la scéne du meurtre de la salle de bain que j'ai apprécié sinon pour le reste, j'ai été assez déçu. Dans une époque où les remake s'accumulent, voilà un film qui mériterait d'etre repensé car il y avait matiére à faire bien mieux et ce n'est pas le seul. Bref un film qui porte bien mal son nom et en plus la version française est horrible, finalement c'est ça qui m'a foutu la frousse. Et dire qu'on payé des gens pour faire ça.
Portrait de Vivahorror Vivahorror
America's Most Wanted - 326 critiques
publié le 29/07/2012 - 18:43
8
 

Mon avis

Franchement, je regrette d'avoir écouté A blade in the dark avant d'écouter macabro car ce film est 100 fois mieux. La chanson thème est accrocheuse et assez bonne, les meurtres sont corrects, l'histoire est pas mauvaise, l'acting aurait pu être mieux mais bon... Sinon, l'intrigue se tient bien et le dénouement est assez surprenant. Bref, pas un chef d'oeuvre mais pas un navet non plus.
Dariofulcio13
Graine de psychopathe - 142 critiques
publié le 07/03/2010 - 17:36
4
 

La maison de la torpeur

Contrairement à son père, Lamberto Bava n'a jamais vraiment réussi à marquer de sa patte le paysage cinématographique. Il faut dire que ses oeuvres relèvent du pur produit dérivé de succès antérieurs...

LA MAISON DE LA TERREUR ne déroge pas à la règle et pille en vrac le catalogue de Dario Argento période TENEBRES, de Brian De Palma (avec une nette préférence pour BLOW OUT) et même de sir Alfred Hitchcock (PSYCHOSE toujours). Le film propose quelques bons ingrédients pour les amateurs: quelques meurtres particulièrement violents au cutter ou au couteau de cuisine qui font réellement mal, un décor unique lugubre plutôt bien exploité et une introduction stressante.

Seulement passé ces réjouissances, cette MAISON... s'enlise rapidement dans la banalité: le rythme retombe trop souvent dans la mollesse (les dialogues et plans inutiles sont légions) et les acteurs sont assez mauvais (mention spéciale au "héros" des plus amorphe et à sa fiancée tête à claques). Mais le plus gros défaut réside tout bonnement dans le scénario qui compile autant de clichés déjà vus (à ce titre le twist est des plus prévisibles si vous connaissez les classiques cités précédemment) que d'incohérences complètement absurdes: les gens rentrent comme dans un moulin dans cette fameuse maison, le tueur est à deux endroits à la fois, les protagonistes adoptent une attitude souvent débile (ne pas reconnaitre un ami en plein jour, se baigner dans une piscine alors que de la buée sort de la bouche des acteurs, et j'en passe....).

Bref malgré quelques bonnes choses, on finit vite par s'ennuyer ferme devant une mauvaise interpétation et une intrigue brouillonne avare en suspense qui louche dangeureusement vers le Z à certaines reprises. Préférez un giallo à la TENEBRES dans le même genre et/ou revoyez DEMONS du même Bava qui lui sont (nettement) supérieurs.

Portrait de Celestron1980 Celestron1980
Copycat Killer - 29 critiques
publié le 11/09/2008 - 02:00
4
 

La maison de la lenteur...

Je viens de terminer de visionner le film A Blade in the Dark et je me suis félicité d'avoir choisi de le louer, de cette façon, demain je le retourne au club-vidéo sans regretter d'avoir payé trop cher pour un film qu'on se lasserait de voit plus d'une fois. Pourtant, l'idée de départ semblait bonne; le compositeur de la musique d'un film d'épouvante se rend compte que le film sur lequel il travaille est en train de franchir la frontière de la réalité...Le problème, c'est que je n'y coyais pas, l'acteur qui personifie Bruno (le musicien) semble n'être doté que d'un nombre très limité d'expressions faciales; l'impassibilité et la nonchalance...pourtant il est dans la grosse majorité des scènes donnant ainsi le ton du film: mollasson. Pourtant visuellement, c'est un très beau film tourné dans une superbe villa italienne et la musique que notre Bruno "compose" est vraiment angoissante, rappellant parfois celle de The Beyond de Fulci. Et les meurtres, au nombre de quatre, cinq incluant la personne qui tue, sont d'un banal... Angela qui se fait cogner la tête emballée dans un sac de plastique (si mince qu'on se demande constamment pourquoi elle ne pense pas à le percer de ses jolis ongles) sur le comptoir de la salle de bain tellement doucement, que même ma pauvre grand-mêre s'en serait tirée sans la moindre écchymose. Un point que j'aimerais apporter aussi, le film pour lequel Bruno compose la musique, 2 gamins en forcent un autre (le même qui joue Bob dans House by the Cemetary, de Fulci) à aller chercher une balle qu'ils ont lancé au bas d'un escalier sombre et inquiétant, j'aimerais tellement que ça soit un vrai film, ça semblait beaucoup plus terrifiant et intéressant que ce que j'ai regardé pendant 1h48m...

Bref, un film à louer si vous avez envie de somnoler dans votre fauteuil un peu moins de deux heures, ou à acheter pour les fans finis de Lamberto Bava (ça existe?)

Portrait de Lebreihz Lebreihz
I am Legend - 2308 critiques
publié le 01/01/2007 - 00:00
8
 

Un peu lent

Le film est un giallo de ce qu'il y a de plus classique, avec 2 aspacts remarquables : la violence des meurtres, qui est très bien rendue, et l'ambiance tendue, très entretenue par la musique jouée au synthé. Dommage que le film soit gâché par beaucoup d'invraisemblances, c'est vrai !, on a l'impression que cette maison est un vrai moulin, que l'assassin est partout à la fois... et c'est dommage car sans cela le film aurait été très bon.
Portrait de Frank zito Frank zito
Graine de psychopathe - 103 critiques
publié le 01/01/2007 - 00:00
6
 

La maison de la terreur

Un jeune musicien loue une maison isolée pour composer sa symphonie en toute quiétude, hélas un tueur en série va finir par troubler sa tranquille créativité… Et pourtant il en faut beaucoup pour l’inquiéter, l’ami Bruno qu’interprète l’inexpressif Andrea Occhipini. Il flâne dans « la maison de la terreur » avec un flegme qui inspire le respect. Il faut dire que rien ne l’inquiète, Bruno. Des coups de cutters qui lacèrent méchamment ses partitions? Non, ça lui fait rien. Une fille cachée dans son placard en pleine nuit ? Pas plus… Du sang qui coule sur son pantalon ? Un jardinier patibulaire dont la simple vue fout la chiasse? Son mégaphone qui capte des voix inaudible venue d’outre tombe? Y a rien qui lui fait peur je vous dis… Serein qu’il est, Bruno. Entre deux disparitions, il retourne inlassablement jouer quelques notes de piano, les bras ballants et l’air de s’en foutre royalement. Et c’est bien dommage, car Lamberto Bava était à deux doigts de signer un très bon giallo. D’accord il pompe sans vergogne Argento, mais au moins il le fait bien. Et puis pour un film qui n’a été tourné que pour rentabiliser la maison que le producteur venait de s’acheter (Si, si, c’est vrai !) et qui devait être bouclé avant qu’il ne s’y installe avec toute la famille, on peut même parler de franche réussite ! Visuellement très soigné, parfois violent (le meurtre de la salle de bain est d’une brutalité encore éprouvante aujourd’hui) et parfaitement maîtrisé, on regrette d’autant plus ses longs tunnels de dialogue ridicule, le scénario invraisemblable de Sacchetti et ses ballades interminables dans la maison qui cassent le rythme et empêche la pression de monter. Quand ce n’est pas le catastrophique doublage français qui fait chavirer le tout dans la franche pantalonnade. Après tout, c’est aussi pour ça qu’il faut la voir, cette maison de la terreur, pour cette capacité à enchaîner les morceaux de bravoure avec du vaudeville (parfois) et du grotesque (souvent). Les années 80, quoi…
Portrait de Guill Guill
Serial Killer - 838 critiques
publié le 01/01/2007 - 00:00
6
 

A Blade in the Dark

Giallo tres influencer sur les oeuvres de Argento, celui-ci par contre possede quelque qualité comme les meurtres plutot violent mais il y en as peu. Le rythme du film est terriblement lent et le final est plutot sans surprise et sans emotion...bref préférer Demons du meme réalisateur.
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