Transmutations

Zzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz,hum!!!Ah oui oups, excusez-moi mais je viens de passer 1h25 d'un ennui mortel qui ne peux que susciter un endormissement même sans le vouloir, alors pour les insomniaques, c'est une bonne nouvelle. En revanche, pour les autres, c'est la grosse déception car il y a tromperie sur la marchandise car sur la jaquette c'est écrit "les grand classiques de l'horreur", non mais quelle connerie. J'ai vu plus de sang et d'horreur lors du mariage de ma soeur dimanche dernier que dans cette histoire de mutants signé d'une histoire de Clive Barker dont on pouvait légitimement attendre mieux, c'est lent à démarrer et quand ça commence enfin,on attend désespérement une quelconque scéne choc ou même un peu de gore à se mettre sous la dent mais au final il n'y a pas grand-chose à retenir de ce film qui ressemble plus à un polar qui mettent aux prises des truands qui affrontent des mutants pour une drogue ou je ne sais quoi. Bref, sans intêret et trés décevant.

J'avais ce film dans ma vidéothèque depuis pas mal de temps, et puis du fait des critiques je ne l'avais jamais regardé. Alors je me suis dit qu'il était peut-être bon de s'y mettre, sinon à quoi ça sert de le conserver n'est ce pas ? Et me voilà obligé de me consacré à cette lourde tâche mais néanmoins consiencieuse, qu'est le visionage de ce film. Disons que l'impression général est une impression d'ambiance très décallé, très années 80.Il faut comprendre que l'ensemble est très clinquant, luxe affichés, voiture m'a-tu-vu (une jag XK, et une Rolls), bref vous voyez le topo. Mis à par cela le visionnage s'est avéré très pénible, car en fait le scénario est quasi-inexistant, il ne se passe rien dans ce film. Et le sentiment de pénibilité es renforcé par le jeu des acteurs, c'est bien simple, on a l'impression qu'il ont apprit leur texte juste avant le début du tournage, tellement c'est convainquant, et que dire des déforamtions faciales dues à la droques !, carrément fendard !. Mais croyez-le, j'ai mis le temps à regarder cette merveille, car je suis obligé de faire des pauses régulières et de minimiser l'écran pour de temps en temps regarder l'heure, afin de constater avec ô désespoir ! qu'il reste encore beaucoup de temps à tenir avant la fin. Et enfin, voilà le final !, qui vous apparaît comme une délivrance. ça y'est mission accomplies !.