Cell 211
Critiques spectateurs
Réalisateur: Daniel Monzón Avec Luis Tosar, Alberto Ammann, Antonio Resines, Manuel Morón, Carlos BardemInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
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publié le 02/01/2013 - 17:48
Tres bon film!
publié le 01/01/2013 - 19:01
Faut-il abolir les prisons ?
Non pas que ce soit spécialement gore, mais plutôt très dérangeant sur le plan humain. Parce que les autorités espagnoles n'arrivent pas à gerer la situation, qui devient très médiatique, d'autant que des membres de l'eta sont pris en otage. D'ailleurs j'aime bien la réflexion que fait le chef des émeutiers à des membre de l'eta "nous quand on tue un homme on le regarde dans les yeux, on ne pose pas une bombe et on se barre", tu parle d'une leçon de morale !, ça c'est comme si Hitler avait reproché à Staline ses goulags !. Et curieusement le réalisateur n'hésite pas à critiquer les autorités qu'il décrit comme être de véritables pourris , un peu comme dans "tueurs nés" dans un tout autre registre.On retrouve un gardien en chef qui n'hésite pas à donner de la matraque sur des manifestants, qui ne sont ni plus ni moins les familles des détenus venu aux nouvelles, y compris sur une femme enceinte !, on se deamnde bien qui mériterait de se retrouver derrière les barreaux. Le réalisateur veut-il ainsi critiquer l'état Espagnol,qui ne l'oublions pas est une démocratie récente, souvent ravager par la violence au cour du 20 ème siècle (guerre civile, guerre larvée contre l'eta), et qui a du parfois utiliser des méthodes indignes d'une démocratie comme l'utilisation des GAL dans les années 80 (une sorte de terrorisme d'état), pourtant l'espagne ne connaît pas de taux de criminalité (de droit commun ) très élevés, même moins qu'en france apparrement.
J'entend pas ainsi critiquer l'espagne que j'admire beaucoup, mais c'est seulement une réflexion, et j'ajouterai qu'il y aurait beaucoup à en dire en France aussi !. Et là arrive ce qu'il doit arriver, une fin particulièrement dramatique, sans happy-end, dommage que le film fasse un l'impasse sur l'émeute en elle-même qui est réalisée par une quarantaine de détenu, alors que dans la réalité c'est plutôt des centaines.