Compte à rebours mortel
Critiques Spectateurs de Compte à rebours mortel
L'agent fédéral Jake Malloy sombre dans l'alcool après l'assassinat de sa compagne par un tueur de flics sur lequel il n'a jamais réussi à mettre la main. Devant l'insistance de son collègue, Malloy accepte de suivre une cure dans un centre, situé en pleines montagnes duWyoming, et fréquenté seulement par des flics en dépression.
Alors qu'un terrible blizzard s'abat sur la région, plusieurs pensionnaires sont retrouvé morts : le tueur de flics n'est pas loin...
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publié le 26/01/2025 - 09:18
Thriller à la Stallone
Voire Stallone jouer dans un thriller, réalisé en plus par Jim Gillespie, avait de quoi intrigué. Si son personnage, Jake Malloy, reste dans un style proche de ses autres interprétations, son côté tragique introduit dès le début du film lui offre un regain de sympathie, surtout que pour le coup Stallone est très bon dans son jeu émotionnel.
L'idée d'un policier au bord de la rupture émotionnelle suite à une enquête qui s'est avéré tragique pour lui et devant passer par une thérapie avec d'autres policiers tout aussi abîmés que lui, avec en plus un tueur en série rodant dans les parrages, tout l'emsemble forme un récit audacieux où des policiers deviennent des proies et où la suspicion rôde.
Ce film prend l'allure des néo-slashers comme "Scream" ou "Souviens-toi... l'été dernier" dans ce côté un tueur s'attaquant à un groupe dont l'objectif sera de démasquer et neutraliser le tueur. Là où il se démarque des films cités c'est que les protagonistes sont des policiers entraînés, même si fragilisés sur le plan psychologique, et non une bande d'adolescents vulnérables. Cet aspect du film est assez séduisant, l'idée que les défenseurs de la loi deviennent à leurs tours des cibles potentiels, brisant les codes habituels.
Là ou je trouve que ça manque en crédibilité c'est cette idée d'un centre de thérapie dans un endroit complètement isolé et avec un manque évident de personnel. Les décors sont extrêmement sobres, rien n'inspire une quelconque forme de gaieté, c'est un endroit morne qui n'incite pas à se détendre et à reprendre goût à la vie. On voit que ce centre n'est en fait qu'un prétexte pour situer l'intrigue du film et c'est dommage.
Le tueur est en soi efficace, son sadisme et ses méthodes sont assez mémorables, et le fait que l'on ne sache que tardivement son identité renforce l'aura de mystère l'entourant. De plus, son lien avec Jake demeure la partie la plus intéressante au vu de ce qui lui a fait subir en intro.
Robert Patrick qui joue les gros bras mais qui perd de sa superbe face au danger, ça mérite d'être vu.
Un thriller jouissif qui, si vous êtes fan de la filmographie Stallone, rappelera par certains aspects "Cliffhanger" en plus sombre et torturé.
publié le 21/06/2013 - 00:56
Quand stallone fait une dépression
publié le 21/01/2013 - 11:50
Fumée sans feu
Je savais que le film ne jouissait pas d'une bonne réputation (sauf sur ce site) mais je suis parti positif et j'ai passé un bon moment. Cependant, de nombreuses maladresses m'ont fait perdre mon engouement. Quand on veut faire un thriller et qu'il existe des références de haut niveau dans ce domaine, il y a un minimum de soin à apporter au scénario.
La première partie du film est plutôt bonne. Stallone assure dans son rôle de flic et nous entraine vite dans cette histoire de serial killer. Malheureusement, tout est très prévisible et surfait. Retrouver le tueur en déprimant seul sur un toit alors qu'une masse de flic fouille l'immeuble... Mais bon. On attend la suite dans le bunker où tout doit se régler.
Malheureusement, le huit clos n'est pas à la hauteur. On jubile en découvrant les personnages et leurs sales gueules. Mais il y en a tellement qu'on a du mal à se rappeler qui est qui, et à s'attacher à eux. On sait que le tueur est parmi eux mais les scènes sont assemblées de façon tellement brouillonne que si le rythme est bon, il est impossible de trouver les indices sois-même. La seule solution pour comprendre le film, c'est d'attendre que Stallone démasque le tueur. Et c'est tellement mal amené que je me suis torturé l'esprit en me demandant: "mais pourquoi lui et pas un autre ?"
L'ambiance est donc bien celle d'un thriller mais l'histoire est bateau et mal foutue. On n'y comprend rien alors qu'il n'y a rien de compliqué, et Stallone se débarrasse si vite du tueur que je n'ai pas non plus compris ses motivations. Mon cerveau s'est retrouvé frustré.
Autres défauts de D-Tox: les acteurs sous exploités. Pourquoi avoir engagé de telles pointures pour jouer de petits rôles sans consistance ? Seul Robert Patrick marque les mémoires. Frustration: les bagarres entre lui et Stallone sont toujours avortées. On ne profite pas du côté "gros bras " de Sly. Le côté désintoxication et affaiblissement des personnage est vaguement survolé. Visuellement, on est proche du téléfilm. Et côté horreur: les filcs retrouvent de beaux cadavres, mais dès que le tueur passe à l'action, l'image coupe et on change se scène.
D-Tox a pourtant de nombreux atouts. Stallone est bon et il est bien entouré. Mais le traitement trop brouillon de cette histoire lui fait rater la moyenne. Le film aurait-il été mis en boîte trop vite ? Le scénariste s'est-il perdu dans une tempête de neige ?
publié le 07/02/2012 - 16:25
Sly en désintox
publié le 12/01/2010 - 20:08
J’ai vu…
publié le 02/08/2009 - 11:02
Maîtrise et suspense au programme
publié le 01/01/2007 - 00:00
Mon Avis
publié le 01/01/2007 - 00:00
Pas mal