Shining
Critiques spectateurs
Réalisateur: Stanley Kubrick Avec Jack Nicholson, Shelley Duvall, Danny Lloyd, Scatman Crothers, Barry NelsonInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
- Connectez-vous ou inscrivez-vous pour publier une critique
Vous souhaitez soutenir Horreur.net ? N'hésitez pas à faire un don, même symbolique, sur Tipee.
publié le 05/02/2010 - 18:47
Shining
publié le 17/01/2010 - 15:57
Il y en a un qui est vraiment fou !
publié le 25/11/2009 - 17:26
Fantôme...
publié le 19/09/2009 - 08:49
L'avis de Gray
Si son intention était de se refaire une santé (suite à l'échec commercial de son précédent film), c'est un peu loupé sur celui-ci puisqu'il peine vraiment à comprendre le scénario d'autant plus qu'il peine à réaliser un film semblable au livre ! Le film est réussi, n'en déduisez pas autre chose, mais il ne respecte jamais l'idée fondamentale de King : la destruction du cadre familial !
Le scénario ne respecte pas le livre, je l'ai déjà dit. Mais en quoi me direz-vous ? Sauf Gory qui s'est déjà endormi dans le fond de la salle avant que j'ouvre la bouche ! Tout d'abord, Kubrick éjecte l'idée que Jack Torrance est devenu alcoolique et que c'est CE fait qui dissimule sa destructuration et sa destruction du cadre de la famille modèle ... avec ce réalisteur mégalomane, voici venir le père dingo (on se demande d'ailleurs comment il a pu faire un enfant à sa femme, il est dingue depuis le tout début du film), la mère affreuse et le gamin déglingué ... Ca fait beaucoup pour un seul film, non ? En outre, avec lui, difficile de dire si l'Overlook vit d'une vie véritable ou si Torrance est en fait Derwent, l'ancien propriétaire réincarné ... le scénario reste un fouilli notoire qui dévalorise des images d'une rare cruauté et surtout une interprétation sans faille !
Puisqu'on en parle, venons-en aux images ! Hôtel moins sophistiqué que dans le livre du King, l'Overlook dispose ici d'une vue fantastique, presque fantasmagorique sur les chaînes rocheuses du Colorado (même si l'hôtel ne s'y trouve pas !!!) ... l'image est belle, froide et chaude au même moment, dissipée et stricte en même temps ... les coloris, les tons, les gammes, les symboles, tout a été choisi pour renforcer l'impression première de l'Overlook : c'est un tueur (passons la connerie sur le cimetière indien - se croit dans Poltergeist, le père Kubrick ou quoi ? - dont les imageries se retrouvent partout même sur des boîtes de conserves !) ... Les gueules des employés sont très spécifiques à l'ambiance générale et on serait bien en veine d'en trouver de plus effrayants !
L'interprétation est sans tache, comme je l'ai déjà dit ... même si l'actrice Shelley Duvall n'aurait JAMAIS été le choix de King qui avait fait de sa Wendy (viens petite, Peter est dans ton lit qui t'attend, et sa bite n'est pas une ombre !!!) une belle blonde fort agréable à regarder ! L'unique visage de Nickolson nous rassure sur sa folie dès sa première image (ce qui, je l'ai aussi dit, au vu du livre, est un crime de lèse-majesté !), Danny Loyd nous livre un Doc plus jeune et plus effrayé que dans le bouquin, avec un tempérament joyeux, joueur et si proche de ses parents ... Shelley fait ce qu'elle peut pour nous convaincre de sa bonne foi, mais son visage ne fait malheureusement pas plaisir à voir ...
Enfin, un dernier point, si je ne suis pas d'habitude un grand amateur des VO (un film doit s'apprécier lors d'un moment de détente, pas pour associer lecture ambivalente et structuration syntaxique), préférez toutefois la VO à la VF parce que "Canard" c'est vraiment pas "Doc" ...
publié le 03/07/2009 - 10:55
Coucou chérie !
publié le 17/06/2009 - 14:17
Je crois que j'ai le shining.
publié le 10/05/2009 - 21:20
Très bon mais...
publié le 04/04/2009 - 18:42
Chef d'oeuvre
publié le 11/02/2009 - 20:31
Le dysfonctionnement presque parfait
Le cinéaste se réapproprie le livre de l'écrivain et exploite notamment un thème qui lui est cher et qui traverse toute son oeuvre: le dysfonctionnement. Kubrick souligne cette obsession par le contraste, en plaçant son film sous l'angle de la symétrie. Il montre aussi une utilisation très fine du montage, du cadrage et, bien sûr, du traveling. L'interprétation de Nicholson colle parfaitement au rôle et se trouve soulignée, à nouveau par contraste, par celle de l'enfant, sobre et convaincant.
Reste, et pour le plaisir de pinailler, que le film pèche par une inconséquence: la scène qui voit Jack se faire libérer par les fantômes, ce qui gâche l'interprétation purement psychologique du film.
9.5/10
publié le 17/12/2008 - 22:46
Magnifique et culte
Pages