La Maison du Diable
Critiques spectateurs
Réalisateur: Robert Wise Avec Julie Harris, Richard Johnson, Claire Bloom, Russ Tamblyn, Lois Maxwell, Fay ComptonInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
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publié le 11/07/2010 - 21:20
La maison du diable
publié le 12/03/2010 - 06:07
Une maison...
Voilà donc un classique. Oui ma bonne dame ! Voici le genre de film issu d'une période plus que prolifique en chefs d'œuvres, comme par exemple : Les Oiseaux (1963) d'Hitchcock ou encore mieux Psychose en 1960.
Mais revenons plutôt au réalisateur, Robert Wise, véritable caméléon, qui comme un certain M. Kubrick, s’essaya à plusieurs genres pour à chaque fois réaliser un des classiques du genre : la comédie musicale avec West Side Story ou La mélodie du bonheur, le film de guerre (la Canonnière du yang-tse, l'Odyssée du sous-marin nerka...), le péplum (Hélène de troie) ou la S.F. (le jour où la Terre s’arrêta, Star Trek). Pourtant une polémique, quant à la source d’inspiration du film, hante encore aujourd’hui sa pellicule. En effet, beaucoup de personne ne doute pas que Wise se soit inspiré ouvertement du film Psychose d’un certain monsieur à la silhouette prononcée. Allant même jusqu’à utiliser la même trame narrative… Sans prononcer le mot de plagiat, trop souvent galvaudé, qu’il y est inspiration consciente ou non, Wise s'en tire merveilleusement.
The Haunting constitue un des films étalons consacrés aux maisons hantées et une sacrée claque encore aujourd’hui. Ne vous y trompez pas, ceci n’est pas un film facile ou simple(iste). Wise nous force à réfléchir ou mieux à ressentir… La mise en scène, l’image, le son... Tout nous absorbe littéralement dans cet univers, nous rendant témoin privilégié. Mais surtout, multipliant les pistes de lecture, Wise nous entraîne peu à peu dans la folie de la protagoniste (Julie Harris). Ici, je m’autoriserai à citer une partie de l’analyse de Jérôme Peyrel sur ce film (Ceci pour appuyer un peu mon propos): « la profondeur ne se limite pas à ces tours de passe-passe (bruitage, traitements d’images,…) : le thème fondateur de l'intrigue, de la légende même de la maison, c'est la brisure, le renversement, le trauma infantile. Le cinéaste l'exprime en jouant à fond la carte du dérangement : fondus, cadrages déficients…, lors de la séquence d'ouverture du film : là est dite une des clefs du métrage, durant lequel le spectateur certes entendra, sentira, devinera mais ne verra rien de ce qui le terrifie. » La messe est dite !
M’étant un peu égaré, pour cette critique, je pourrais vous parler des acteurs (grandioses), de la maison (ou plutôt des maisons), de l’exemple parfait qu’est ce métrage que la surenchère ne vaut jamais un bon scénario porté par un réalisateur de génie appuyé par des professionnels de talents. Je pourrais… je pourrais… Mais en fin de compte, les mots ne sont rien fasse au ressentir, donc ne lisez plus ! Allez vous procurer ce merveilleux film et profité de ce retour dans le passé, qui légitime à lui seul le célèbre dicton : « C’était mieux avant ! »
publié le 10/02/2010 - 01:09
SUPERBEMENT INQUIETANT
publié le 30/12/2009 - 23:54
It’s alive ! Aliiive !
publié le 23/10/2009 - 21:06
Est ce bien réel??
publié le 10/05/2008 - 00:56
Demeure insolite
publié le 01/01/2007 - 00:00
Très bon!
publié le 01/01/2007 - 00:00
VO de Jackson!
publié le 01/01/2007 - 00:00
Mon Avis
publié le 01/01/2007 - 00:00
La femme du diable
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