The Grudge

Le voilà le fameux The grudge ! Remake d'un film d'épouvante japonais intitulé Ju-on qui fit à sa sortie un vrai carton dans son pays d'origine. Produit part la boite de prod de l'ami Sam Raimi et c'est justement ce détail qui m'a donné envie d'y jeter un oeil ! A tout les coups cela ne pouvait être au pire que pas mal. Je n'ai pas encore vu l'original, mais je trouve que ce film tient bien la route ! Bon il ne faut pas trop en demander pour ce qui est de l'originalité, pour moi les films de fantômes asiatiques se ressemblent tous plus au moins, mais je trouve que celui-ci est un cran au-dessus des autres ! Cela a beau être dans l'ensemble assez lent, mais on ne s'ennuie pas. C'est assez intriguant, parfois flippant avec un bon nombre d'apparitions fantomatique qui marchent assez bien sans être pour autant traumatisantes, mais cela maintient le spectateur dans l'intérêt d'un bout à l'autre ! Très bon casting également ! Avec la présence plus qu'apprécier de la toujours aussi craquante Sarah Michelle Gellar

J’ai été très déçu par ce film, les scènes horrifiques sont prévisibles, les acteurs ne sont pas si mal par contre. L’histoire est assez classique. Les effets spéciaux sont bons, mais dans l’ensemble ça donne un film assez médiocre.

D'ordinaire, les films de fantômes ou les trucs un brin surnaturel à la Ring me laissent de marbre. Mais j'avoue que The Grudge, sans aller jusqu'à me foutre la trouille, m'a pas mal scotchée et a su éveiller mon intérêt par les apparitions de l'enfant et cette atmosphère particulière. Et puis j'aime bien Sarah Michelle Gellar et je le trouve assez juste dans son interprétation.

C'est vrai que certaines scènes font complètement flippées, mais à part cela, je trouve que le rythme est trop lent et que l'histoire manque de profondeur.

Dans l'idée du fantôme effrayant et vengeur, cher au cinéma fantastique nippon, Shimizu réussit un bon film, évitant de trop américaniser l'ensemble. Sarah Michelle Gellar (la célèbre Buffy) trouve ici un rôle différent qui prouve tout son talent, face à Jason Behr (héros de la série Roswell). Un film intimiste qui joue bien avec nos nerfs (cf la scène dans l'immeuble, avec la caméra de surveillance, et celles dans la maison).