Le Diable dans le Sang

Ce qu'il y a d'intéressant dans ce film c'est le décryptage et la satanisation de la bible. pour un athée comme moi, c'est plaisant. On apprend beaucoup. Et puis on découvre ce personnage de Crowley qui a vraiment existé et pratiqué "l’ésotérisme sexuel"...et bah... La musique aussi est sympa, assez rock. Le tout est quoi qu'on en dise sacrément osé !
Osé oui, un peu trop même...de la débauche crade, limite vulgaire et impropre. Un côté même parfois ridicule. Et puis c'est pas franchement bien monté. C'est assez confus tout ça. Enfin ça fini par tirer en longueur...
Au final, un film moyen. A voir par curiosité...ou pas.

Film écrit par Bruce Dickinson chanteur du groupe rock Iron Maiden mettant en scène un professeur qui suite à une expérience pense être devenu la réincarnation de l'occultiste anglais Aleister Crowley... Un scénario ma foi très original, fallait y penser !

Le film comporte énormément de dialogue qui pourront paraitre lourd par moment, mais néanmoins riche en informations historiques sur divers dommaine. Si on prend la peine de bien rentrer dedans, cela devient vite passionnant, mais je pense que ça en ennuiera plus d'un.... pour le reste, personnages peut convaincants, à part l'acteur qui est censé représenter la résurrection de l'occultiste. Le mec est juste parfait et 100 % crédible on jurerait avoir ce taré de Crowley sous les yeux !

On a droit a certaines scènes pour le moins... surprenantes comme le professeur qui se met a uriné sur ses élèves à la fin d'un coure (si si xD), et d'autres gore, trash et déviante comme, un crane explosé, oeil traversé par une seringue, d'autre à la limite du porno avec un passage très hot avec une scène d'un groupe de personnes en pleine séance d'orgie sexuelle... Mais malgré quelques scènes assez dérangeantes cela reste très soft en comparaisons aux actes qui se sont réellement passé autour du personnage de Crowey !

Mauvais point va pour la mise en scène dégueulasse, les cadrages et la façon de filmé plus que moyen et un twist final beaucoup trop simpliste et pas assez recherché, dommage. Mais dans l'ensemble j'avoue avoir été très agréablement surpris !

Même si je partage 75% lds avis de ceux qui pensent qu’il s’agit là d’un navet pur jus, je trouve quand même un peu trop injuste de le qualifier aussi facilement de la sorte. Déjà, parce que le scénario, bien que complexe et finalement incompréhensible, essaie tant bien que mal de se sortir de la merde confortable et de nous donner quelque chose de nouveau. Bien que n’étant pas un fan de musique rock, je tiens à féliciter Bruce Dickinson. J’ai eu du mal à croire qu’un rockeur comme lui ait su pondre une histoire aussi « compliquée ». Non pas que ce genre de personne soit débile de natur,e mais il y a toujours ce cliché comme quoi rock égale satanisme, démons et j’en passe. L’histoire est prenante dès le départ et l’on se plait à suivre et surtout à essayer de comprendre tout ce charabia. Mais ce qui était intriguant et intéressant au départ s’amenuise au fur et à mesure pour devenir répétitif, longuet et incompréhensible. Ce dernier mot revient constamment, car je dois avouer que plus le film avançait, moins je comprenais ce qui se déroulait à l’écran. La complexité de départ, qui était fort intéressante à plus d’un titre, devient, à partir du milieu, simplement chiante. Ce qui nous faisait espérer des choses grandioses se transforme en séquences bien foutues mais inutiles, et frôlant bien souvent le ridicule. Il faut dire que l’interprétation de Simon Callow y est pour beaucoup ! Son jeu est à l’image du long-métrage : très bien au début, mais très mauvais sur la fin. Contrairement aux autres comédiens. Non pas mauvais mais trop effacés à mon goût. La complexité de l’écriture plombe tout à partir du milieu de la deuxième bobine. Ne comptez pas sur le réalisateur Julien Doyle pour vous dévoiler ce qu’est le Z truc, ni cette machine infernale et encore moins le pourquoi de tout ce boxon démoniaque ! A un tel postulat, je ne pouvais que me rabattre sur le côté choquant tant prôné par la publicité. Déception attendue ! Mise à part quelques belles petites paires de seins et une gentille séquence d’orgie, c’est aussi mort qu’une école un mois de juillet. Encore une fois, nous sommes tombés dans le piège… On nous promets monts et merveilles pour au final se retrouver avec un morceau de caviar intérieurement périmé. Seulement quelques petits clins d’œil d’imagination viennent nous redonner le sourire le temps d’éternuer un bon coup. Le fax « spermé » et la conférence au phalus valent à elles seules le détour. Mais, en aucun cas elles ne font de CHEMICAL WEDDING un film qui mérite d’avoir de la considération ! Car, avec autant de promesses pour au final nous donner ça ! Un scénario se transformant en un Einstein Schyzophrène qui délaisse ceux qui le regardent, un cabotinage d’interprétation qui saoule plus que Jar-Jar dans LA MENACE FANTOME, de violentes séquences sorties tout droit de la série animée CANDY … Alors, je dis qu’il vaut mieux aller voir ailleurs et ne pas perdre son temps. Tout n’est pas à jeter, mais le réel intérêt de ce film est sa complexité de départ, certaines de ses séquences bien imaginées et les vues aériennes de l’université de Cambridge.

Ha ha! la v'la la fameuse galette dont on nous rabache les oreilles (ou plutot les yeux..) depuis quelques temps! le v'la le brulot immoral scénarisé par Bruce Dickinson himself!! et bien autant vous prevenir tout de suite , prenez du recul de tout ce tapage...c'est pas parce qu'on nous met en surbrillance le nom de Dickinson, qu'il faut s'attendre à du Maiden cinématographique...bon, le film n'est pas mauvais , loin de là, mais il souffre de quelques défauts quand même...c'est très brouillon comme scénario, on y comprend pas grand chose à cette machine ,le Z-93 là, le truc qui ramène les morts,ou leurs esprits...De plus on n'est aidés ni par les dialogues ( faussement ) scientifiques qui complexifient inutilement notre vision des choses, ni par les obscurs rites de magies, la place des francs-maçons dans l'intrigue ou le charabia incompréhensible de Crowley...Aussi, autre point négatif, et pas des moindres, c'est qu'à l'issue de ce film, beaucoup, comme moi, penserons etre passé à coté de quelque chose qui aurait put etre bien plus fort ( Crowley et son monde sont un peu sous-exploités ici quand même, on à droit qu'à une vision simpliste et très "série-B pour ado" de la chose, malgrès la volonté évidente des responsables du film de corser un peu la chose avec des scènes qui frisent le mauvais gout et le choquant...(j'ai bien dit "qui frise"...faut pas s'attendre non plus à en etre révulsé...ça reste bien gentillet en somme...)...pas génial pour un film qui se targue d'etre outrancier, machin, ou truc... Bon, il nous reste quand même une bonne série-b qui divertit, et c'est là l'essentiel, mais qu'on n'oublieras au final assez vite, même si elle avait le mérite de nous présenter un Aleister Crowley, trop rare sur nos écran...