Psych 9

Psych 9 se déroule dans un hôpital qui vient de fermer. On y restera tout au long de cette histoire d'ailleurs en compagnie d'une jeune archiviste. Autant dire que je serais sévère car le film pouvait aussi bien s'intituler "SOS psy en dérangement". Se concentrent une somme de défaillances à la mesure des ingrédients prétendus s'y trouver. A commencer par une trame en parallèle : un serial killer qui sévit aux alentours qu'un policier voudrait démasquer avec une énergie proche de l'indifférence. Un climat qui ne s'instaure pas dans ce cadre pourtant de choix. Et des effets de base à répétitions : bruits étranges; ascenseurs et portes qui grincent; visions furtives; et entre deux couloirs l'effroi de stupeur de voir quelqu'un revenir de la machine à café. En revanche des tourments psychologiques entre le classement de deux dossiers on atteint l'overdose. Essayez quand même si vous voulez. En effet, il y a un truc amusant à trouver : blonde ou brune? Je ne plaisante pas, dans Psych 9 c'est un des éléments du scénario!. Si ce n'est pas de la bière, avec ce genre de film on a largement le temps de faire le pari entre ami(e)s en attendant la commande groupée de pizza!.