Critiques spectateurs de Re-animagore88

Pages

Hurlements 5: La Renaissance

Définitivement, le loup garou brille par son absence quasi total et est remplacé par un jeu d'acteur tirant vers le Z. Parcontre il est évident que le réalisateur veut absolument créer une ambiance ténébreuse avec ses murs briquelés et vieillôt. Et le gore se montre finalement le bout du nez vers la fin, cependant il est trop tard pour en tirer quelquechose de potable, vu le reste du film ou tous les meurtres sont hors champ. Un film qui se laisse regarder mais si votre attente était de voir des effets spéciaux de transformation, et bien passé votre chemin.

Publié le 9 Juin 2009

Steel Trap

Définitivement, on ne peut qu'avouer que ce film s'inspire du phénomène ''Saw'' comme ce dernier s'est lui-même inspiré du film ''The Cube'' dont ''saw II'' est une quasi copie conforme. On nous balance des personnages plus que cliché et le scénario nous donne même tout cru ( à l'aide de petites notes) dans la bouche leur caractérisation propre. Et que dire du twist final du genre ''Whodunnit'' et du motif de ce dernier. Imaginer tout les motifs du monde entier et bien ce ne sera pas celui-là, car il est si simpliste et classique que le spectateur ne se doute pas de recevoir la même soupe réchauffé scénario après scénario. Malgré l'ambiance de frayeur réussi, le film tourne en rond et vous donnera l'impression que le réalisateur vous à littéralement prit pour des cons tout le long du métrage.

Publié le 15 Mai 2009

Man with the Screaming Brain

Pauvre Bruce, pendant plus de 2 décennies il était à la recherche d'un producteur pour ce film. Rejet après rejet (malgré sa notoriété d'Evil dead I, II et III) il n'abandonne toujours pas la partie, jusqu'a ce qu'en 2004 la boîte de production ''Sci- Fi Picture'' lui donne les fonds nécessaire, mais à quel prix! En effet, des années d'effort pour finalement tournée un téléfilm au graphique simplet et sans envergure. Bruce y met tout son coeur mais la réalisation est bancale et sobre par moment. Des dialogues inintéressants et prévisibles surplombent ce téléfilm et nous plonge littéralement dans la lourdeur et l'ennui fatidique du sommeil. Les scènes d'action tardent à ce montrer le bout du nez et ce n'est pas Ted Raimi qui fait des bouffonneries de morons à n'en plus finir qui va sauver le film ( Même si je l'adore). Cependant mon coup de coeur réside sur les plans de l'énorme tunnel sous terrain qui son à mon avis fabuleux. Si on veut pleinement profité du plein potetielle du film, je suis d'avis qu'il vaut mieux écouter les commentaires audio de Bruce durant le visionnement; cela aide le spectateur à mieux comprendre la situation du film et du tournage et favorise la compréhension du pourquoi des choses. Du moins, Bruce à énormément apprit durant ce film et c'est pour le mieux, car il est revenu en force avec ''My name is Bruce'' qui est beaucoup plus abouti que ce dernier.

Publié le 15 Mai 2009

End of the Line : Le Terminus de l'horreur

Oui Devereaux est un véritable passionné du genre et du cinoche. Au début, je croyais bêtement avoir à faire à un film de démons dévoreurs d'âme, mais il s'est avéré que les monstres était en faites des humains ''brainwasher'' par une religion dérangeante. Les acteurs ne sont pas ce qui se fait de mieux pour la plupart mais comment peut-on rester de glace devant les efforts de Devereaux (pour nous divertir) alors que dans le making oft; on lui découvre une véritable passion cinématographique. Bien sûr le scénario n'est pas ce qui est de plus originale : Un groupe de personne prisonnier dans un metro essai de survivre. Cependant, les tueurs qui suivent aveuglément la prophétie de leur gourou paraît à mes yeux quelquechose d'intéressant, surtout de niveau mondial. Malgré un faible budget, Devereau à réussi à produire un film potable sans être un chef d'oeuvre et en nous laissant le soin d'interpréter à notre façon, la venu des démons visqueux. Il nous implante aussi à l'occasion, quelques scène choques. À voir afin d'encourager un cinéaste québécois donnant dans l'horreur.

Publié le 15 Mai 2009

X-Men Origins : Wolverine

Mais qu'est-ce qui à pu motiver ce film au yeux de la 20th century fox? Les dollars bien gras, bien sûr!! Ici oubliez tout ce que la série filmique des X-men vous a imposé jusqu'alors, car elle n'a tout simplement plus aucun rapport avec ceux-ci. L'intro ridicule nous marmonne des airs de combat entre Vador et Skywalker (du genre qui est mon vrai papounet?!!) sans nous ajouter de contenu à ce niveau, nous laissant dans l'ombre et passant rapidement à autre chose. De plus nous avons droit à l'avant Wolverine que nous connaissons tous, oubliez le Logan méchant, bête, solitaire et frustré ce n'est pas sa vraie nature et on nous le présente comme un chic type super sympathique, aimant les humains et la vie qui tombe dans le gouffre, jusqu'a tout perdre (comme si quelqu'un qui avait traversé toutes les guerres humaines pouvait être aussi sain d'esprit.) Des personnages et des mutants plus que sobres dans leur composition a part peut-être Blob qui est très amusant et constitue une belle surprise. Bref, ils nous présente une espèce de remake en reprenant les thèmes cléf du 2e opus et réinvente un tout autre motif et scénario. Un film inutile qui n'était motiver que par le fric, d'ailleur j'ai pu constater qu'il y aura probablement un autre Xmen origin apres wolverine 2, mais cette fois avec Magneto et réalisé par David S. Goyer.... mouais...

Publié le 13 Mai 2009

La Cité des Enfants Perdus

Des images d'une beauté exceptionnelle et un scénario au allure d'un conte semi infantile et enfantin. Un Ron Pearlman déconcertant avec un langage français douteux et accentué. Une oeuvre très spéciale à découvrir.

Publié le 9 Mai 2009

La Ligne du Diable

Assurément, l'intro du film m'a véritablement coupée le souffle avec ce début explosif et innovateur. Englund nous en met plein la vu avec des jeux d'ombres et des cadres très recherchés. Malheureusement l'étape suivante du scénario tourne en rond et le film à de la difficulté à s'imposer. On ne retrouvera plus la touche particulière qui nous avait frappée dès le début. Les plans vertigineux ce font rare et on à l'impression qu'Englund veut terminer le film au plus vite et foutre le camp chez lui. Cependant, la grande finale est digne d'intérêt et sauve maigrement le métrage. Mention spéciale pour l'actrice personnifiant la tante de notre héro, qui joue extrêmement mal. Inévitablement on sent à travers la pellicule que quelque chose n'allait pas pendant le tournage, ce qui explique peut-être pourquoi notre Freddy international n'a pas voulu retoucher à la réalisation depuis (il a retenter l'expérience 20 ans plus tard). À voir, afin de connaître une autre facette de l'artiste Robert Englund.

Publié le 9 Mai 2009

L' Enfer des Zombies

Quand j'étais tout jeune j'avais loué ce film sans savoir qu'il était sous l'influence de la censure. J'ai donc eu droit à un long-métrage décousu et dénué de sens et de gore. à l'époque je croyais regarder un film minable et qui à cause des nombreuses coupe perpétées détruisait sauvagement la fluidité du récit. Ce n'est que tout récemment que jai pu constater le génie de feu Fulci avec la version uncut, déniché sur internet. Superbe film qui cette fois m'a véritablement plus. Viva le cinoche Italien! À voir absolument!

Publié le 6 Mai 2009

The Refrigerator: L'Attaque du Frigo Tueur

D'accord, le scénario tient seulement sur un timbre poste. Par-contre, Quel bel effort de la par du directeur de la photographie avec ces angles et ces panomariques qui nous sortent littéralement du sommeil. oui en effet, si l'ambiance n'était pas aussi réussi et la mise en scène dynamique le marchand de sable nous ennivrerais en un instant. Un Z, peut -être, mais au moins le réalisateur nous sert une mise en scène inventive et original. Et l'ambiance ténébreuse est très réussi. Les acteurs font leur travail et quel domage que le réalisateur qui en est aussi le créateur, aurait pu aprofondir les raisons du flash-back de la jeune héroine. Un bon petit film qui aurait pu devenir un ''Street trash'' si ce dernier avait ajouter beaucoup plus de gore. Deplus sur le vhs on à droit à deux fois plutôt qu,un; une belle plubicité de la très pauvre comédie Louis 19 qui ne vous donnera nullement envie de regarder ce long-métrage ennuyant québécois.

Publié le 5 Mai 2009

Heavy Metal 2000

Lucas sort de ce corps. Un véritable mauvais star wars avec violence et sexe en plus. Histoire prévisible et méchant ridicule, tristement classique. Et bien sur, le technicien bavard qui fait office de Jar jar bing des pauvres. La musique heavy métal qui envahie le film n'a rien de véritablement accrocheur et ne laisse aucun air mythique dans nos mémoire, donc oublier la chanson culte ''takin' ride'' qui à bien harmonisée les scènes du premier opus. Un bel effort mais le coeur n'y ait pas car le scénario tombe dans la facilité avec son genre classique et hautement prévisible.

Publié le 5 Mai 2009

La Mutante 3

Définitivement plus les séries avancent plus elles tombent dans la basse qualité ''direct to DVD''. On retrouve le vilain du transporteur 3 dans un rîle un peu plus sympathique cette fois. Dès les première minute je n'ai pus cacher ma grande déception avec cette image visuel dignedes plus grand téléfilm jamais oublié. Passer cette étape nous divagons sur une fille qui comme à l'habitude de cette saga doit se mettre à poil pour nous tirer quelques émotions qui jusqu'alors volaient bien bas. Il est amusant de voir la régression des décors à cause du budget trop serré car dans les deux premiers épisodes, ils conservaient la dite créature dans un labo à l'impressionnante garnisson techno et voilà que pour ce troisième opus nos scientifiques travail dans un sous-sol bien équipé. Bref un film qui ne reste malheureusement pas dans les mémoires.

Publié le 30 Avril 2009

Boogeyman 2

Une belle surprise que cette suite (même si elle ne suit pas véritablement le scénario du premier opus.) Une ambiance qui fait frissonner et des meurtres surprenants. Même si on voit la grande finale venir à cent kilomètre à l'heure, on s'amuse bien et on passe un bon moment.

Publié le 27 Avril 2009

Bagman - profession: meurtrier

D'accord, la photographie et le jeu de lumière est inexistant, mais quel beau déconnage gore! Une histoire écrit sur le dessous d'une carte d'affaire et un acting surjoué et décaler. Un court-métrage qui ne se prend pas au sérieux et qui joue ses idées à travers le gore comique plutôt que sur un scénario plus aprofondi. Les amateurs du gore cheap seront servi. J'applaudi le travail de ces fans de l'horreur poussifs qui ont créer une oeuvre violente et suréaliste à la fois. Ca sent le caoutchout à fond mais tout de même, les Fx sont bien réussis dans l'ensemble. Un court-métrage gore à la sauce québécoise!

Publié le 26 Avril 2009

The Tripper

Voilà un bel exemple de cabotinage. Une histoire qui tient sur un bout d'épingle et on étire la sauce pour en tirer 90 min. Pas question d'un ''whoduneit'' ici, on sait très bien qui est le tueur et ses motivations semblent plutôt faible. Un long-métrage basé sur ''on se défonce la gueule'' et la morale classique du slasher: tu commets un péché, tu meurs. Bref, des meurtres plus ou moins inventifs une réalisation sur l'acide et on nous resssert l'histoire d'une bande d'hippie timbrée. Un gros cliché qui apporte peu d'originalité avec son tueur tourmenté et vengeur.

Publié le 26 Avril 2009

Executive Koala

Une histoire qui à première vue parait tout à fait dijonctée, cependant nous avons toujours l'impression d'être en terrain connu et que la seule véritable originalité que constitue ce film japonnais réside dans son personnage tout à fait attachant... un koala géant vivant parmi les humains. Parcontre, on navigue sur un scénario intéressant mais qui sera bien inévitablement comparé à ''Total recall'' (voyez le film et vous comprendrez). Donc un métrage rempli de suspense, de combats, d'actions, de drame, d'amour, d'humour, de violence, d'horreur et même d'un numéro musicale. Une oeuvre inégale qui ne se prend pas au sérieux, une seule seconde et c'est mieux ainsi. Malgré un titre trash et ressemblant à un film ovni, le spectateur ne se retrouvera pas dans l'inconnu. Un film pour tous et dont le clou du spectacle est un koala qui malgré un faciale quasi de marbre peut faire ressortir beaucoup d'émotions à travers sa gigantesque tête poilue. Un bon petit film à voir et à ne pas essayer d'oublier après le visionnement.