Body Bags - Sacs à Cadavre
Critiques spectateurs
Réalisateur: John Carpenter, Tobe Hooper, Larry Sulkis Avec John Carpenter, Tom Arnold, Mark Hamill, Robert Carradine, Stacy Keach, David NaughtonInscrivez-vous ou connectez-vous pour ajouter votre avis !
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publié le 03/03/2014 - 01:14
Doggy bag?
publié le 31/03/2012 - 15:38
Mon avis
publié le 16/01/2012 - 16:10
Fendard!
publié le 13/08/2010 - 11:58
Regardable
publié le 27/01/2009 - 13:10
L'historique de sac à cadavres
Le premier (classique) d’une femme pompiste lors de sa première nuit, se retrouve à devoir sauver sa peau d’un serial killer, mais le beau David Naughton (le loup-garou de Londres) lui prêtera main forte. Bon faisons abstraction d’une héroïne pas très top, niveau comédie (se sentant vachement concerné lorsqu’elle se fait traqué) mise à part cela ce sketches sans réel surprise se laisse visionner sans trop de problème.
Le second, un homme (Stacy Keach) trouve par le biais d’un docteur le moyen de retrouver ses cheveux. Assez innovateur dans le domaine capillaire, le seul problème c’est que cette histoire est trop courte, l’approfondir, n’aurait pas été un mal, d’autant plus que Stacy Keach dans son rôle avait l’air de s’amuser, sentant bien qu’il avait bien plus à nous offrir avec son personnage.
Puis la dernière, un joueur de base-ball (Mark Hamill) perd son l’œil droit suite à un accident, se voit recevoir un œil de substitue, mais celui-ci appartenait à quelqu’un de peu recommandable, cet épisode demeure le meilleur, c’est crade, et les visions de meurtres et d’hallucinations nous font monté un léger sourire quand Mark Hamill en est victime, proposant une fin avec un Mark Hamill cabotinant de très bonne facture nous amenant dans un de ces derniers accès de rage sur sa personne un très bel effet gore.
John Carpenter, s’amuse à nous présenter ces épisodes reliés entre eux par les cadavres d’une morgue, et de sur c’est que Big John s’amuse comme un petit fou à tous nous les présenté.
Body Bags reste un film d’horreur honnête et plaisant, pas parfait certes, mais ô combien fun.
publié le 10/10/2008 - 20:46
Vraiment sympa
publié le 01/01/2007 - 00:00
Très fun, très bon
La Morgue – Ce sketch de base a pour but de lier trois histoires différentes, mais toutes à caractère horrifique. Il vaut pour son sens de l'humour macabre, et surtout pour l'interprétation savoureuse de John Carpenter himself, dans le rôle d'un cadavre animé, enfermé dans une morgue, qui prend un malin plaisir à nous présenter chacun des trois récits, de façon certes assez brève, mais des plus enthousiasmante. Pour les inconditionnels de ce cinéaste de genre à la personnalité réservée, ce segment introductif vaut son pesant de cacahuètes.
1. La Station-Service – En tête du trio, La Station-Service n'est pas sans rappeler le fameux Halloween de par son thème et le lieu de son déroulement: à Haddonfield, une jeune femme (la très mignonne Alex Datcher) travaillant en tant que caissière dans une station-service s'avère subitement la victime d'un serial-killer qui rôdait dans les parages. Ce premier sketch, petit monument de thriller horrifique, angoissant à souhait, sombre et d'une efficacité à toute épreuve, demeure sans doute le plus réussi. Robert Carradine campe un terrifiant tueur psychopathe, qui va transformer la paisible nuit de labeur d'Anne en un sanglant cauchemar; à l'instar de Michael Myers, cet assassin-là semble invincible, se relevant de chaque blessure infligée par sa victime dans le but de se défendre. L'on notera les jouissives apparitions de Wes Craven, en Dom Juan porté sur la bouteille, de David Naughton, la bestiole du Loup-Garou de Londres, ainsi que de Sam Raimi, même si le rôle que joue ce dernier demeure purement figuratif. La Station-Service se révèle également le segment le plus réussi de Body Bags sur le plan de la réalisation: Carpenter a beau ici œuvrer sur le petit écran, il n'en livre pas moins une remarquable mise en scène, carrée et mouvante à la fois, qui n'a rien à envier à celle d'Halloween. Le tout se suit avec un plaisir coupable et ne régresse pas en intérêt lors des revisionnages.
2. Les Cheveux du Docteur Miracle – Pour ce second segment, l'excellent Stacy Keach (American History X, Prison Break) se met dans la peau d'un quinquagénaire tourmenté par le fait de perdre ses cheveux et ainsi de ne plus paraître séduisant aux yeux de sa compagne, laquelle lui avoue pourtant rester indifférente face à cela. Il va découvrir une méthode révolutionnaire élaborée par un docteur qui ne l'est pas moins, lui permettant de recouvrer toute l'ampleur et la vitalité de sa chevelure, non sans reprendre goût à la vie. Mais le bonheur cèdera bien vite sa place au calvaire. John Carpenter se retrouve une fois encore derrière la caméra, signant un deuxième sketch nettement plus axé sur l'humour noir que le suspense, contrairement à La Station-Service. L'histoire, réellement surprenante, prend une tournure pour le moins répugnante et effroyable lors de son dernier quart, même si le second degré ne disparaît guère la moindre seconde. Rythmé par une très bonne musique blues, Les Cheveux du Docteur Miracle se présente comme une fort habile descente aux enfers confinant à la comédie horrifique, qui propose par ailleurs quelques effets spéciaux relativement réussis (les cheveux-reptiles). Assurément divertissant.
3. Œil pour œil – C'est cette fois-ci Tobe Hooper qui occupe le post de réalisateur pour ce troisième et ultime récit illustrant la démence progressive d'un joueur de base-ball ayant subi une greffe d'œil révolutionnaire à la suite d'un accident de voiture qui l'avait rendu borgne. Il ne se doute pas que son nouvel œil droit, ayant autrefois appartenu à un assassin névrosé, va le plonger dans une dangereuse schizophrénie d'abord caractérisée par des hallucinations particulièrement macabres, puis des actes de violence impossibles à contrôler. Œil pour œil se veut le sketch le plus spectaculaire de Body Bags dans le sens où il ne lésine guère sur les scènes-chocs sans pour autant verser dans les effets sanglants. Cauchemardesque et impressionnante, cette histoire-là s'avère tout aussi captivante que les deux précédentes, même si l'on remarque vite les différences entre le style de Hooper et celui de son illustre collègue Carpenter: la mise en scène est ici plus simpliste dans sa globalité (l'on notera toutefois un très beau travelling ascendant) et la direction d'acteurs moins réussie; en témoignent les interprétations passables de Mark Hamill et de la comédienne Twiggy. Aussi Œil pour œil paraît trop court, car son scénario ambitieux aurait mérité un développement plus étoffé. Cela n'ôte pourtant rien à la plénitude que nous procure ce dernier segment, d'autant plus qu'il figure dans le panier des meilleures œuvres mineures de Tobe Hooper.
Body Bags fait partie de ces délicieuses pièces horrifiques de série B dont on ne parle jamais assez. Trois excellents sketches qui se valent ou presque, celui de La Station-Service méritant une mention particulière, plus un intermède anthologique dans lequel Big John est la star. Un véritable petit concentré de bonheur, qui n'a pas à rougir face à bon nombre de films respectivement mis en scène par ses deux auteurs.
publié le 01/01/2007 - 00:00
Mon Avis
publié le 01/01/2007 - 00:00
Un sac le fun à déballer
publié le 01/01/2007 - 00:00
Amusant
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