Fright Night
Critiques Spectateurs de Fright Night
Le jeune Charlie est convaincu que son nouveau voisin est un vampire.
Sa mère est déjà tombé sous le charme hypnotique de la créature.
Charlie va alors contacter un magicien de Las Vegas, Peter Vincent qui se présente comme un expert en extermination de vampires.
Alors que le meilleur ami de Charlie, Evil Ed, rejoint le culte des vampires, Charlie et sa copine Amy pensent trouver en Peter Vincent et son assistante l'aide nécessaire pour éliminer ce terrifiant voisin...
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publié le 22/10/2025 - 18:29
Remake de qualité
Ce remake offre une nouvelle vision du récit initié par Tom Holland, que ce soit par son modernisme ou par ses personnages qui sont vraiment très différents de leurs modèles originaux.
Charley a droit ici à un vrai développement psychologique de par son tiraillement entre ses amitiés passés et ses nouveaux amis, ou par son regard sur le surnaturel qui évolue drastiquement au cours du récit. La mère a également droit à un meilleur développement, participant pleinement aux péripéties de son fils à un moment donné. David Tennant tient ici le rôle d'un Peter Vincent bien plus jeune et extravagant, une différence pour le moins radicale mais qui aide le film à trouver son autonomie.
Colin Farrell est l'élément le plus intéressant, son interprétation de Jerry en donne une vision plus bad boys, moins subtil et plus direct que la version précédente. De plus, sa méthode de chasse renvoie à des actes de psychopathe, notamment les séquestrations.
Il y a bien plus de dynamisme que dans l'original, avec des courses-poursuites bien tendus et des affrontements bien orchestrés. Reste que le sang numérique gâche un peu l'immersion.
Un remake de qualité qui a su proposé du neuf, je préfère l'original dont l'ambiance et le récit restent intemporel mais cette relecture n'est pas pour me déplaire et Colin Farrell assure en figure du mal.
publié le 24/08/2013 - 14:01
Une putain de mauvaise nuit
publié le 14/05/2012 - 12:01
Du remake et de sa difficulté.
Ou bien on se contente de transposer l'original à la sauce actuelle, se permettant parfois une légère relecture et ajoutant/modifiant/supprimant certaine scène. C'est la méthode actuellement dominante. exercice lucratif et plus simple en apparence. Il est cependant bien plus casse gueule si l'originale à eu du succès et s'il bénéficie d'un capital sympathie important auprès des spectateurs dans ce cas il espère être à peu prêt aussi bon que l'original dans l'espoir de n'être qualifié que de remake inutile par un public avertit. De toute manière il mise souvent sur le public n'ayant pas vu l'original, jouant à fond la carte d'un cinéma de service des masses à grand renfort d'effets spéciaux et de tête d'affiche aguicheuse et serre les fesses en espérant que ça passe.
Fright night appartient à la deuxième catégorie, il s'éloigne scénaristiquement parlant que peu de l’½uvre de 1985 rajoutant ça et là des scènes d'actions, et décide que la modernisation passera par un changement de ton se voulant plus noir que l'original il gomme l'aspect comédie pour n'en garder que quelques marqueurs et tout les remaniements de personnages, de lieu ainsi que la mise en scène ira dans ce sens.
Je ne reviendrai pas sur les changements opérés sur les personnages si bien expliqué en dessous à plusieurs reprises, si d'une manière générale on sera tous d’accord pour dire qu'ils ne sont pas très heureux, il se justifie par le désir de se détacher de la "naiveté" que dégage l’½uvre original.
Malheureusement Gillepsie ne va pas assez loin dans sa relecture et n'effectue que des modifications de surface qui changent certes la dynamique du film par rapport à l'originale mais également en retire le charme sans proposer en retour grand chose qu'un film facile à regarder ou le "divertissement horrifique" prime sur le frisson, On accélère le rythme, on appuie un peu sur le regard inquiétant de Colin Farell, on équipe la maison du vampire de quelques pièces d'isolement à l'aspect clinique, on fait de Peter Vincent un personnage cynique et dégoutant ..etc... mais malgré tout il ne parvient pas à créer une ambiance qui trancherait net avec le référent. Du coup la bascule ne se fait pas, le spectateur est incapable de se libérer de l’½uvre original et comme il parvient à peine à l'égaler dans ses similitudes, ça devient difficile de contenter ceux qui ont aimé la film de 1985.
Un film qui au final laisse une impression mitigé un désir de relecture visible plombé par une culture du remake spectacle facile à regarder et aussi vite oublié qui majoritairement (et celui ci ne fait pas exception) suce l'âme de l’½uvre originale pour vous la recracher au visage en numérique et avec des "boum" "splach", "bim".
Mais de fait c'est un film facile à regarder avec de l'action, des sfx et une réalisation propre, une photographie qui flatte l’½il, du coup si c'est un mauvais remake ça reste un divertissement efficace.
publié le 26/03/2012 - 11:28
Colin Farrell "a crocs" à son voisin
publié le 19/02/2012 - 13:03
Qu'est ce que vous avez dis ?
publié le 29/01/2012 - 23:00
Fright remake...
publié le 28/01/2012 - 04:18
Un remake... encore...
publié le 25/01/2012 - 15:36
Adolescents vs Vampires
publié le 19/01/2012 - 11:15
Remake ... vous avez dit remake ?
N'est pas Tom Holland qui veut ... c'est certain. Au bout du compte, qu'est-ce qu'un remake ? Pour faire plus agressif que mon ami Philou qui a dit cela avec le panache inégalé, la prestation impeccable qui est sienne lorsqu'il s'y met ... certains petits cons avec leur tête de granule vont encore me lacher ... histoire de dépoussiérer le mythe ... vous avez remarqué combien ces pecnots new age s'expriment par stéréotype, souvent en repompant expressions et mots qu'ils ne comprennent par ailleurs point. DIANTRE ! C'est du vieux François, c'est Mitterand qui m'a dit de le replacer là de temps à autre ! Dépoussiérer le mythe ... le mythe pour eux signifie déjà "mensonge" ... donc, dépoussiérer le mensonge ... s'ils pouvaient au moins se dépoussiérer le cerveau du nombre incalculable de conneries qu'ils ont emmagasiné là-dedans sans distinction aucune de ce qui est réussi de ce qui est raté ... dépoussiérer le mythe, pour ces braves d'jeunes, c'est changer la donne, transformer un scnéario trop complexe à leur mode pour un truc lourdingue où tout est schématique et systématique, arpentant volontiers même les couloirs du systémique, car sortis de leurs propres perceptions, ces jeunes sont ... vides, creux et déjà délabrés ... sorry, c'était la minute académique ... et pourtant, c'est exactement ce qui est arrivé ici au film de Tom Holland. Voyons cela en réflexion de connard : comment un jeune comme Charley pourrait-il être ami avec le vieux bonimenteur de foire qu'était Peter Vincent ? Putain, devait y avoir une relation pas nette là-dessous ... on va pas faire la même gaffe les gars ! Niet ! On va donner aux jeunes d'aujourd'hui (Ferrat disait d'ailleurs, c'est toujours avec les jeunes imbéciles qu'on fait les vieux cons !) un discours plus musclé, plus hétéro avec deux héros (zéros ouais !!) troncheur de poufiasses à qui mieux mieux ... putain, McDowall quoi ! L'était PD le gars ! Sale fiotte ! J'en rajoute ? Pas tellement non ! Dépoussiérer dans le langage actuel signifie clairement "rendre plus con, plus basique, plu simple, plus compréhensible" ... en clair, on fait le chemin inverse de celui de Socrate ... quand la maïeutique se transforme en langage de rentrée charetière, on obtient souvent un enfant mort-né !
Avec tout ça, je n'ai pas encore dit le pourquoi, le comment, le qui, le qu'est-ce que déjà j'entends hurler ceux du fond qui n'ont rien écouté et qui ont déjà interprété les paroles ... commençons donc, chers amis téléacheteurs ! Le scénario brille par sa copie qui auarait pu être quasi-parfaite ... mais mais mais ... des oublis stigmatisent l'ensemble : les relations entre les personnages sont à peine entamées qu'il faut déjà les sortir pour en établir d'autres ... les personnages eux-mêmes sont creux, moralement et physiquement ... Les actes se suivent avec plus de bruit, de fracas, de sourderie, et cela donne-t-il un plus au film ? Pour quelqu'un comme moi, non ! Clairement, exit la sobriété judicieuse et les idées loufoques du premier opus, voici la grosse artillerie et les canons à haut rendement ... ça fuse, ça pulse, ça pête un max ... pourquoi ? Pour les couilles à papa ! Il faut de l'action, de la sauvagerie, encore de l'action, surtout pas de réflexion, pas de moments de tension, non, juste des sursauts, des actes forts, de la violence ... tension c'est un truc électrique, non ?
Les acteurs ??? Faut-il vraiment les comparer ? Si le niveau scénario est à ce point basique et formaté pour une compréhension rapide et un simple face - off, comment s'étonner de cette pauvreté de casting ? Anton Yelchin est joli, mignon, poli, polissé (c'est pas lui qu'on verrait mettre popaul à l'air pour une séance de pignolage en live devant les caméras !) mais creux, vide, insipide, banal à pleurer, David Tennant ... l'erreur formidable de ce film est connard au plus haut point, vantard, odieux, stupide, dégoûtant, menteur et falsificateur ... quand l'autre Peter Vincent était un rôle drôlatique, sympathique, aussi doux qu'une sucrerie de grand-papa, celui-ci ressemble à un cauchemar d'après sortie de derrière les fagots, Colin Farell est assez bluffant au début pour redevenir ennuyeux et incapable dès la moitié du film, s'adonnant seulement à un surplus de violence gratuite sans foi ni loi, Imogene Poots est à mille lieux de l'original, scarifiant ce rôle pourtant fondateur et cimenté du premier film, mais le best of the best, l'attaque qui rend fou, l'erreur secondaire de casting (la plus grossière étant Tennant, je l'ai dit) qui fait le plus mal, la palme de connerie revient à Christopher Mintz-Plasse qui démolit en un rien de temps le personnage attachant, triste et malheureux d'Evil Ed Thompson ! Une tromperie sans nom qui puise dans la mentalité sursosée américaine qui semble pourtant faire de spetits dans nos contrées verdoyantes ... où est le temps où les hommes étaient fiers de LEUR pays ???
Continuer mon attaque serait forcer la pression et ce n'est pas mon intention ... pour quelqu'un qui regardera ce film comme étant un film à part entière, il passera avec un certain succès puisqu'il n'est pas dépourvu d'humour, ne manque pas d'actions, a des effets spéciaux plutôt rassurants ... pour celui qui comme moi regardera ce film avec les yeux du rêveur d'autrefois ... plus longue sera la chute ! Rideau !
publié le 04/12/2011 - 17:23
Mon avis
publié le 30/11/2011 - 03:44
Mon avis
publié le 10/09/2011 - 00:27
Vampire... Ça aurait pu être pire !
"Fright Night" (au titre VF idiot "Vampire... Vous Avez Dit Vampire ?"), est un petit bijou de 1985, qui est resté gravé dans le coeur de la génération d'alors. Et si les nouvelles générations sont assez stupides pour se détourner d'oeuvres jugées "trop vieilles", ignorant totalement des films pourtant inégalés; les vrais amoureux du cinéma, toutes générations confondus, savent que le temps ne doit pas altérer la passion. Les "vieux" de 40 ans comme moi, qui étaient émerveillés à l'époque, passent le "relais de la mémoire" aux vrais passionnés, pour qu'ils fassent de même plus tard.
"Fright Night" donc, était un film tout simplement magique, qui réunissait tout ce qu'il fallait pour qu'il soit plus qu'un simple bon moment passager. Un casting fabuleux, un excellent scénario sachant habilement alterner terreur et comédie, un musique envoûtante, des FXs surprenants et magnifiques... Dur cahier des charges pour un remake !
Alors, le remake est-il à la hauteur de tout ça ? NON ! Désolé, mais non ! On sent la réelle volonté de bien faire et d'innover, d'aller au-delà du simple désir de ramasser de la thune sur un excellent concept, mais certains choix sont contestables et nuisent à ce qui faisait le charme du premier film.
Premier problème, et de taille: le casting ! Un casting réussi fait parti des choses qui donne "le truc en plus" à un film. Dans l'original, tous les acteurs étaient inoubliables. Dans ce remake, il y a un grave déséquilibre. Anton Yelchin dans le rôle de Charley Brewster est plutôt attachant, mais à des années-lumière de l'excellent William Ragsdale, qui savait allier force et naïveté, humour et détermination, décontraction et peur, avec un talent fou. Christopher Mintz-Plasse dans le rôle de son meilleur ami Ed est transparent, alors que Stephen Geoffreys avait livré une interprétation étonnante, à la fois drôle et émouvante, pour un personnage qui à la base n'était que secondaire. En fait du côté des gentils, les acteurs sont très lisses. Beaux, mais sans réelle profondeur, ou en tout cas originalité.
J'ai parlé des gentils et pas de Peter Vincent... mais pourquoi donc ? Et bien car les choix scénaristiques sur ce personnage sont très contestables, et ne le place plus vraiment d'emblée dans cette catégorie. Des choix bien vus au départ, mais mal négociés. Là où dans l'original Peter Vincent était un loser attendrissant, lâche mais finalement très disponible; ici il devient un connard avec un grand C ! D'accord vers la fin, il change et fait ce qu'il faut pour se faire apprécier du spectateur, mais le mal est fait. Si l'idée de le rajeunir et d'en faire un magicien prétentieux et grossier est amusante et peut donner d'excellentes séquences de comédie, le fait de le présenter juste comme un abruti fini, narcissique et égoïste, méprisant avec son entourage, le rend finalement trop antipathique pour le public, malgré le fait qu'il soit bien divertissant; et chose plus grave casse complètement l'incroyable connection qu'il y avait entre les deux héros du film d'origine. L'alchimie parfaite entre William Ragsdale et Roddy McDowall ne se retrouve absolument pas dans ce remake. Et c'est catastrophique sachant que c'est ce qui faisait une des plus grandes forces du film de 1985. Pourtant, David Tennant en Peter Vincent est juste incroyable, vraiment épatant ! Mais l'incapacité des scénaristes à le rendre sympathique suffisamment tôt, et surtout à créer le lien si fort avec le jeune Charlie qui faisait le squelette du 1er film, le mettent en dehors de l'histoire, pour finalement l'y réintroduire de manière trop superficielle à la fin.
Pour ce qui est de Jerry Dandridge, notre cher voisin aux dents longues, le choix de Colin Farrell s'avère judicieux, celui-ci livrant une interprétation fiévreuse et perverse qui convient parfaitement au personnage. Il éclipse facilement les "gentils", ce qui créé un dangereux déséquilibre de casting, qui n'existait pas dans le 1er film. Tous les interprètes existaient fortement à l'écran dans celui-ci. Mais, car il y a un mais, Colin Farrell ne peut faire oublier Chris Sarandon, qui en plus d'être terriblement inquiétant, était avant tout terriblement sensuel. On sent bien que Colin Farrell y a pensé dans son interprétation, mais il mise plus sur l'agressif que l'inquiétant. Chris Sarandon était inquiétant à force d'être séduisant mais impitoyable; Colin Farrell délaisse un peu trop la perversité suggérée de son ainé. Néanmoins, son interprétation reste suffisamment forte pour convaincre.
Et cela fait parti des problèmes: les meilleurs acteurs (Colin Farrell, David Tennant), sont ceux sur les personnages qui ont été finalement le moins bien négociés scénaristiquement, et éclipsent totalement de leur présence ceux censés mener l'histoire.
Autre problème: Certaines "scènes-hommage", passages obligés sont carrément ratées au regard de celles de 1985. Pas question de les repomper bien sûr, mais il faut au moins qu'elles aient la même force. Ici la scène de séduction entre Jerry et Amy est totalement à côté de la plaque. Il n'y a plus du tout l'incroyable séquence de séduction, envoûtante, presqu'hypnotique d'alors. Ici tout se passe très vite sur une musique de merde. Et Dieu sait que la musique de Brad Fiedel à ce moment précis, outre une mise en scène impeccable, apportait énormément à l'ambiance si particulière de cette séquence inoubliable. Ici on a le droit à une musiquette techno pourissime et à Charlie qui s'affole, sûrement plus parce que le DJ est minable que parce que sa copine est en train de se faire mordre. Pareil pour la séquence où Amy l'attaque, avec une bouche démesurée. Dans l'original, est paraissait au départ toute innocente, dans une belle robe blanche, sur un grand lit, dans une ambiance étrange et poétique visuellement; mais dans ce remake, le tout se passe avec une trivialité à faire peur. Aucune ambiance, aucune poésie, juste un vague "choc" scénaristique.
Dernier problème: les effets spéciaux. Ils sont certes beaux, de belles images de synthèse, soignées... mais à mille lieux des fantastiques effets "live" de 1985, vraiment à mille lieux ! Ils n'ont pas de charme particulier. Et vous avez remarqué que certains acteurs pas vraiment beaux (Jean-Paul Belmondo par exemple) ont un charme fou, là où d'autres gravures de mode ne dégagent rien... à part l'intérêt que l'on aurait pu avoir pour eux ? Pour les FXs c'est pareil...
En fait, malgré mes nombreuses réserves qui pourraient largement rebuter, le film est plutôt bon, et une personne ne connaissant pas l'original pourrait en donner un bon avis, voire excellent. Le film a été fait avec une bonne volonté certaine. Mais quelqu'un comme moi, particulièrement attaché à l'original, ne pourra éviter la comparaison, et elle n'est pas toujours flatteuse ! S'il est nécessaire, indispensable, de s'affranchir de son modèle et de présenter des idées nouvelles pour justifier de refaire un film qui n'en a pas besoin; il faut être capable de prolonger intelligemment les nouvelles idées et de recréer une osmose, une "magie" entre elles qui donne "le truc en plus". Ici le casting est déséquilibré, les relations entre les personnages mal négociées, la caractérisation de certains personnages en décalage avec les enjeux relationnels du film, la musique n'accompagnant pas toujours bien les images, les FXs trop... FXs... Rien qui fasse que l'on ait envie de passer le "relais de la mémoire" aux générations suivantes malgré de réelles qualités.
Donc un bon film en lui-même, mais un remake raté, auquel on préfèrera même la suite "Vampire... vous avez dit vampire? II" de 1988, qui pourtant avait déçu en son temps, mais gardait tout de même beaucoup de charme... Et oui, le charme. Tout est là !
publié le 30/08/2011 - 14:22
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