Razorback (1984)

Voir la fiche complète du film : Razorback (1984)

Vous êtes ici

Réalisé par Russell Mulcahy
Razorback1984
Tuez-la ou elle vous tuera...

Après la disparition de sa femme journaliste, Carl part à sa recherche dans les contrées sauvages australiennes. Il va y être confronté à l'hostilité des habitants du coin mais surtout à un sanglier géant sanguinaire...

Voir le filmAcheter ce film sur PriceministerAcheter ce film sur Amazon
Razorback
Voir la bande-annonce
6.5/10
Note Horreur.net
17 critiques
5.9 /10

Ma note

Critique

Considéré comme une œuvre culte, Razorback ne démérite pas pour imposer son style viscéral à travers une plongée inéluctable dans l’outback australien. La qualité du métrage tient autant à sa créature monstrueuse qu’à ses idées de mise en scène pour développer une atmosphère singulière, voire anxiogène dans ce qu’elle suggère. En dépit de quelques points formels désuets, un film qui vieillit bien.

Pays : Australie
Durée : 95 min.
Sortie France : 30 Janvier 1985
Sortie US :
Budget : 5 500 000 $ AUD
Sortie DVD/VOD France :

Critiques Spectateurs

Tuez-la... avant qu'elle ne vous tue !

"Objet filmique inclassable entre le Jaws de Spielberg et El Topo d'Alejandro Jodorowsky avec une pincée de Duran Duran pour la musique synthétique, Razorback est une œuvre à voir et revoir qui démontre que Mulcahy était peut-être le plus doué de tous les cinéastes venus du clip des années 80 grâce à une mise en scène opératique qui arrive à magnifier les scripts de Razorback et Highlander.Lire la suite

Oh le cochon !

Une intro débile, en mode nanar, où le jeune Scotty se retrouve victime d'une bête féroce... Quelques années plus tard, le gros cochon rode toujours dans les parages... Une bonne ambiance et des visuels enchanteurs dans un beau paysage austral. C'est envoûtant et un peu barré dans l'esthétique, tout comme dans l'écriture d'ailleurs parfois ; y'a un (tout) petit côté Evil Dead plutôt sympa. Un scénario maigre et pas très captivant mais qui a le mérite de ne pas rentrer dans les clichés ; par exemple qui aurait cru...Lire la suite

Terrine de razorback

Ca commence aussi simplement qu'un bon nanar ....la maison d'une famille est sur la route d'un razorback en course et ça fait CrAcK!!! wouhouuu l'histoire est lancée... Tous est clichés, du voyou punk a la blondasse journaliste jusqu'au razorback dundee....bref moi je préfère le sanglier en terrine plutôt qu'en filmLire la suite

De l'idées mais pas suffisament étoffées

Agglomération presque parfaite grâce à une atmosphère environnementale vieillie, sale et désespérée. Razorback est à ce titre artistiquement réussi : un sentiment de perdition où l'évolution n'est plus. L'image granuleuse offre une flore usée et étouffante avec une lumière âcre et migraineuse. Pour ma part Razorback a autant sa place qu'un Mad Max pour son monde en désolation. A l'instar d'un intérêt relativement sommaire quant à l'histoire même du film c'est-à-dire un ze big sanglier pas très amical d'avantage suggéré que présente à l'écran (...Lire la suite

Mais où est Obélix ???

Il y aurait de quoi rassasier tout un village d'irrésistibles gaulois avec cet imposant paquet de bidoche ambulant, qui rôde telle une créature démoniaque dans l'outback australien ... C'est en délirant avec des potes à propos des films d'horreur, et des nanars en particulier, que m'est venu l'idée de regarder ce cultissime "Razorback" . J'utilise ici cet adjectif élogieux, car le film a acquis un certain statut depuis sa sortie au milieu des années 80, en Australie tout d'abord, fierté nationale oblige, puis à travers le monde entier, pour...Lire la suite

Devinez le film par sa tagline :

Woman. Warrior. Queen.
Score actuel : 0
1 pt par bonne réponse, sinon -1 !